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Veille Technologique. Lecture critique de « À quoi rêvent les algorithmes » À quoi rêvent les algorithmes, Nos vies à l’heure des big data, Dominique Cardon, La république des idées - Seuil, Octobre 2015.

Lecture critique de « À quoi rêvent les algorithmes »

Le travail de Dominique Cardon apparaît à la fois d’une grande nécessité, et souffrant de plusieurs défauts. L’auteur focalise son discours et notre attention sur les algorithmes sans chercher à donner de définition de ce qu’il considère comme tel. Cette imprécision dans les concepts le conduit à faire des raccourcis qui fragilisent son argumentation. Ce livre ne parle pas des algorithmes mais d’outils informatiques. Il est vrai que les outils informatiques sont constitués de programmes, qui implémentent des algorithmes. L’informatique n’est pas Internet. À l’heure où d’importantes discussions sont en cours à propos des programmes à introduire dans l’enseignement secondaire sur l’informatique, il est important de faire entendre cette différence. Malgré les réserves que j’ai pu avancer, je crois que l’auteur fait ici une alerte importante.

Une usine chinoise sans ouvrier. Une I.A. remplace 34 employés d'une assurance au Japon - Tech. Une assurance japonaise utilisera une I.A. pour remplacer 34 de ses employés.

Une I.A. remplace 34 employés d'une assurance au Japon - Tech

La machine devra effectuer des activités de vérification et des procédures d'analyse sur les dossiers des clients. Une I.A., la « IBM Watson Explorer », remplacera 34 employés d’une assurance vie japonaise, la Fukoku Mutual Life Insurance, dans les jours à venir. Notamment, l’I.A. devra analyser les certificats et les antécédents médicaux des clients, déterminer les paiements et facturer les dépenses médicales. Ainsi, elle devra gérer toutes les procédures d’élaboration d’un dossier jusqu’à le faire arriver dans les mains d’un superviseur humain qui s’occupera de l’approbation et du paiement final. L’entreprise a dépensé 200 millions de yen (1,7 million de dollars) sur ce nouveau système, qui nécessitera une maintenance annuelle d’un coût de 128 000 dollars. L’époque où les emplois de service seront remplacés par des machines semble se rapprocher.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles. Des chercheurs de Google DeepMind Oxford ont prévu une manière de désactiver un programme d’IA, sans que celui-ci ne réussisse à la contourner.

Pourquoi Google a conçu un « bouton rouge » pour désactiver des intelligences artificielles

LE MONDE | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Une intelligence artificielle (IA) est-elle capable d’empêcher un humain de la désactiver ? C’est de ce postulat que sont partis deux chercheurs pour réfléchir à une façon d’éviter que cela n’arrive. Laurent Orseau travaille pour DeepMind, l’entreprise de Google spécialisée dans l’intelligence artificielle qui est notamment à l’origine d’AlphaGo, le programme ayant réalisé l’exploit, en mars, de battre l’humain au jeu de go. Avec Stuart Armstrong, du Futur of Humanity Institute de l’université d’Oxford, ils ont publié début juin les résultats de leurs recherches.

Les deux chercheurs s’intéressent au cas de ces « agents » capables d’apprendre, qui fonctionnent avec un système de « récompenses », qui les pousse à atteindre un but. « Réfléchir à un certain futur » Ethique et communication. Sophia, le robot de Hanson Robotics qui va vous faire peur. INTERVIEW.

Sophia, le robot de Hanson Robotics qui va vous faire peur

Ah, quel chemin parcouru depuis Frankenstein ! En ce mois de mars 2016, le "créateur" a pour nom David Hanson - c'est un entrepreneur américain dont la société, "Hanson Robotics", s’est spécialisée dans la fabrication de robots anthropomorphes (Human-like, disent les anglo-saxons, voire même very human-like pour les plus ressemblants). Quant à la "créature", il s'agit de Sophia.

Sans nul doute le chef-d'œuvre de David Hanson ! Sophia est un humanoïde capable d'imiter de façon stupéfiante les expressions humaines. Crédit : CNBC Crédits : Hanson Robotics. Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual Humain — Quel est le but de la vie ?

Une intelligence artificielle de Google capable de discuter du sens de la vie

Machine — Etre au service du plus grand bien. Humain — Quel est le but des êtres vivants ? Machine — Vivre éternellement. Humain — Quel est le but des émotions ? Cet échange est extrait d’une conversation entre des chercheurs de Google et une intelligence artificielle qu’ils ont eux-mêmes développée. . « Ce qui distingue ce chatbot des autres, c’est qu’il utilise des techniques d’apprentissage », explique Jean-Gabriel Ganascia, chercheur au laboratoire d’informatique de Paris 6 et auteur d’Idées reçues sur l’intelligence artificielle. . « Quand le programme repère telle phrase ou tel schéma, il répond telle phrase. Or, l’agent conversationnel développé par les chercheurs de Google n’a, lui, pas de réponse préconçue. . « Qui est Skywalker ? Humain — Qui est Skywalker ?

Un résultat que les chercheurs jugent prometteur, comme ils l’écrivent dans leur article : Le test de Turing est encore loin.