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Economie

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L’entreprise libérée : une bonne ou mauvaise nouvelle ? Les pratiques de management favorisant l'innovation via la diffusion d'une culture de l'autonomie et de la prise d'initiatives se multiplient. La libération d'entreprise constitue l'une d'elles. Depuis la parution d’un ouvrage choc d’Isaac Getz « Freedom & cie » et un documentaire « L’entreprise libérée » diffusé sur le Web, on observe un petit raz-de-marée auprès de certains dirigeants et entrepreneurs remettant ainsi au gout du jour les idées plus anciennes de quelques grands noms du management tels que McGregor et Herzberg sur la motivation au travail. Au diable le contrôle donc, libérons nos salariés pour plus d’innovation, de bien-être et de performance ! Tous les secteurs sont concernés. Si le concept d’entreprise libérée est loin d’être récent (voire notamment l'ouvrage de T.

Transformation radicale, cette redéfinition des rôles n’est pas toujours bien vécue. La vraie question, une fois avoir répondu au « pourquoi ? Vous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine. XEnvoyer cet article par e-mail Vous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine XEnvoyer cet article par e-mailVous avez aimé la crise financière de 2008, vous allez adorer la prochaine La Chine n'est pas la seule à faire peur Le krach de la bourse chinoise remet en avant notre analyse des facteurs de risques d'un "remake" de la crise de 2008 par Philippe Plassart Article mis en ligne la première fois le 8/05/2015 Surabondance de liquidités, écrasement des taux d’intérêt, sophistication des outils financiers, garde-fous illusoires.

C’est un signe révélateur. “L’idée même du risque semble avoir disparu de la tête des investisseurs. “Les marchés d’actions surperforment et voient la vie en rose, alors que l’économie réelle continue de donner des signes de souffrance. Un déversement de liquidités sans précédent Pour éviter un effondrement financier, feu Milton Friedman préconisait un largage de liquidités “par hélicoptère”. Où est passé alors cet argent ? Goldman Sachs, enquête sur une société secrète. M le magazine du Monde | • Mis à jour le | Par Marc Roche CONTENT DE LUI, de son sort, de son employeur, Yoël Zaoui affirmait sans broncher que tout allait bien dans le meilleur des mondes. C'était en octobre 2008, la clameur de la crise financière semblait bien éloignée de la salle de réunion glacée de Goldman Sachs International à Londres où le Français, à l'époque codirecteur de la banque d'investissement en Europe, nous avait longuement reçu dans le cadre d'une enquête du Monde sur la banque la plus puissante de la planète.

Trois ans et demi plus tard, le petit prince de cette finance impitoyable est tombé de son piédestal. Après vingt-quatre ans de bons et loyaux services à Goldman Sachs, celui qui avait obtenu le statut d'associé en 1998 avant d'être désigné au saint des saints de la banque d'affaires - le management committee (comité de gestion) – a démissionné début avril, à 51 ans. L'histoire – et celle des entreprises n'y échappe pas – a souvent de mordantes ironies.

Loi du 3 janvier 1973

Quelle est la capacité de la France à innover. La France peine à retrouver une dynamique industrielle positive, revendiquant plus souvent la préservation du passé que la définition de l’avenir. Il y a 2 semaines le ministre du Redressement productif était même interpellé sur le plateau de David Pujadas « Des paroles et des actes » pour être trop exclusivement focalisé sur la défense désespérée de l’industrie d’hier sans faire la promotion de celle de demain. Ceci n’est pas nouveau, il y a 4 ans, les Etats Généraux de l’Industrie étaient passés quasiment inaperçus, sans définir clairement les domaines d’excellence sur lesquels la France souhaitait se positionner.

Nous souffrons du syndrome du généraliste là où beaucoup tirent profit de spécialisations de pointe. Mais ceci est également dû à un prisme d’éclairage médiatique et politique, le projecteur étant systématiquement tourné vers les difficultés davantage que vers les réussites. Frontline Story: "Fraud Was the F-Bomb" The Untouchables. Portrait des «1%» français.

Mouvements «Occupy...», polémiques en France sur le quotient familial... Des deux côtés de l'Atlantique, la question des niveaux de revenus est au coeur du débat politique. Avec pour cible les «1%», cette catégorie de la population qui capterait, selon ses détracteurs, un niveau excessif de richesses. Qui sont-ils en France? Slate fait le point en chiffres à l'orée de la campagne présidentielle. On peut distinguer deux manières de faire partie des «1%» : par ses revenus annuels ou par sa fortune accumulée. Texte: Jean-Marie Pottier. Actualisé le 19 janvier: contrairement à ce qu'indiquait une première version, le montant total du patrimoine des Français n'est pas de 10,4 milliards mais 10.400 milliards.

Portugal : Ce qu'il faut savoir sur l'incendie Powered by. Ces groupes français qui aimeraient se débarrasser d'Obama et financent l’ultra-droite américaine - Elections aux Etats-Unis. Aux États-Unis, le financement des campagnes électorales, que ce soit pour entrer à la Maison Blanche ou au Congrès, ne souffrent de quasiment aucune restriction, ni véritable obligation de transparence. Depuis deux ans, les dirigeants de sociétés cotées en bourse peuvent ainsi financer les campagnes, sans limites, via des comités d’action politique, appelés « Super PACs » (Lire notre article). De grandes entreprises françaises participent à cet afflux massif de dollars. Leur objectif premier : empêcher toute mesure significative de lutte contre le changement climatique, et toute régulation environnementale en général. Leurs financements favorisent également la frange des républicains la plus réactionnaire.

Avec des donations déclarées de 728 000 dollars, au 1er octobre 2012, auprès de candidats au Sénat et au Congrès, les entreprises françaises se placent au quatrième rang des firmes étrangères qui interviennent financièrement dans les élections. Financer le créationnisme. Les profits des négociants de matières premières dépassent ceux des banques.

Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Mathilde Damgé Les chiffres donnent le tournis. Les vingt plus gros négociants de matières premières au monde ont empoché près de 250 milliards de dollars (191 milliards d'euros) au cours de la dernière décennie, devant les géants du secteur automobile (179 milliards d'euros sur la même période de 2003 à 2012 pour Toyota, Volkswagen, BMW, Renault et Ford) et bancaire (171 milliards d'euros pour JPMorgan, Goldman Sachs et Morgan Stanley). Les négociants, pierre angulaire des échanges mondiaux de matières premières, font traditionnellement le lien entre producteurs et consommateurs. Pourtant leurs noms (Glencore, Vitol, Trafigura, Gunvor, Cargill, Archer Daniels Midland, Louis Dreyfus, Wilmar, Noble, Mitsubishi, Mitsui) ne sont pas encore connus du grand public.

Lire : "Les négociants prennent la main sur le marché des matières premières" Lire : "Le cuivre joue en sourdine" (édition Abonnés) Lire aussi : "Genève, l'eldorado des négociants" (édition Abonnés)