background preloader

Vulgarisation scientifique

Facebook Twitter

Vulgarisation scientifique : fait d'adapter un ensemble de connaissances techniques, scientifiques, de manière à les rendre accessibles à un lecteur non-spécialiste.

Les revues prédatrices. « Quand “Jane” s’est orientée vers les médecines alternatives, elle avait déjà reçu de la radiothérapie, de la chimiothérapie et d’autres traitements classiques pour son cancer du sein.

Les revues prédatrices

Son médecin prescrivant des médecines alternatives avait partagé avec elle un article sur une thérapeutique à base d’infusions vitaminées. Pour elle et son médecin, c’était une authentique source d’espoir. Mais quand Jane montra cet article à son gendre, il réalisa qu’il provenait d’une revue prédatrice, impliquant que les promesses étaient douteuses et que la validité de traitement n’avait probablement pas été évaluée correctement » (extrait traduit de [1] 1). L’émergence de revues scientifiques dites prédatrices ou trompeuses date de la fin des années 2000. Ce phénomène est la conséquence des rapides changements en cours dans le système de diffusion des résultats des recherches. Le loup et l’agneau, Jean-Baptiste Oudry (1686-1755) Du « lecteur-payeur » à l’« auteur-payeur » Un objet de convoitise.

Presse scientifique sous pression. Vulgarisation scientifique et médias. Jacques-Marie Bardintzeff est un volcanologue renommé.

Vulgarisation scientifique et médias

Très sollicité par les media, il est l’expert à interviewer dans son domaine. Chercheur, professeur à l’Université Paris-Sud et à l’Université de Cergy-Pontoise, il est également l’auteur ou co-auteur de plus de 350 publications et communications scientifiques. Agent Majeur : Vous avez écrit de nombreux ouvrages à destination du grand public, comment cela a-t-il débuté ? Vulgarisation scientifique : 3 outils pour réussir. En tant que lecteur, vous avez sans doute déjà eu entre les mains un rapport si complexe que vous aviez envie de le refermer après en avoir survolé quelques pages.

Vulgarisation scientifique : 3 outils pour réussir

En tant qu’orateur, vous avez peut-être fait face au regard lointain d’un auditoire que vous aviez perdu. C’est bien connu, un communicant doit s’adapter à son public. Et quand celui-ci n’a pas le même niveau de connaissances que lui, il doit faire de la vulgarisation scientifique. Le célèbre généticien français Albert Jacquard est à l’origine d’une formule très amusante à ce sujet : C’est un défaut français de dire « Personne ne me comprend, donc je suis plus intelligent que les autres. ». Je crois qu’au contraire il faut dire : « Si personne ne me comprend, c’est que je me suis mal exprimé. » Dans cet article, découvrez 3 outils pour vulgariser vos propos. Humour et science, mode d’emploi. Auditoire qui rit est à moitié conquis… car l’humour éveille l’intérêt du public et crée une connivence.

Humour et science, mode d’emploi

Encore faut-il savoir le manier ! Si, comme nous, vous êtes scientifique et cartésien, voici deux bonnes nouvelles. L’humour s’adresse à l’intellect. Et il s’appuie sur des techniques que nous avons décortiquées pour vous. Dans cet article, retrouvez un tour d’horizon de ressorts qui font rire… sans vous faire perdre en crédibilité ! Arrêtons de nous prendre au sérieux Selon André Comte-Sponville, « tout sérieux est coupable ! Parmi les vecteurs usuels du rire, certains sont à éviter dans un milieu professionnel.

Vulgarisation scientifique pour les jeunes. Julien Bobroff est enseignant-chercheur au Laboratoire de physique des solides (LPS) de l’Université Paris-Sud.

Vulgarisation scientifique pour les jeunes

Au sein de l’équipe « La Physique Autrement », il travaille depuis plusieurs années sur de nouvelles façons de vulgariser la physique et ses découvertes récentes au grand public. Il nous livre aujourd’hui des conseils pour mieux parler de science aux lycéens et étudiants. Agent Majeur : Quel type d’interventions faites-vous auprès des jeunes ? Julien Bobroff : Nous intervenons dans les lycées et les classes préparatoires depuis 2005. En tant que chercheurs, nous venons parler d’un sujet de physique en lien avec les recherches actuelles et présenter de petites expériences en direct. Quels sont les objectifs de ces interventions ? Nos objectifs ont changé en cours de route.

Avez-vous défini un déroulement pour vos interventions ? Oui, nous avons amélioré le modèle au fur et à mesure. Comment bien vulgariser. Présenter sa thèse en 180 secondes. A l’occasion du concours Ma thèse en 180 secondes, Agent Majeur a formé les doctorants du Campus Paris-Saclay à la communication scientifique.

Présenter sa thèse en 180 secondes

Notre mission : leur permettre de vulgariser et synthétiser leurs travaux de recherche en seulement 3 minutes. 4 doctorants nous livrent ici les leçons qu’ils ont tirées de cette expérience. Agent Majeur : Comment vous êtes-vous préparés à cet exercice ? Alice Mizrahi : Nous avons d’abord bénéficié d’une formation d’une demi-journée en grand groupe, dans un amphithéâtre. Puis, dans un second temps, nous avons été formés par groupes de 5 doctorants. Benjamin Vest : Cet exercice demande beaucoup de travail personnel. Aliénor Togonal : Pour ma part, je suis aussi allée voir sur internet les exercices similaires qui avaient été réalisés auparavant, comme les vidéos de la finale 2013 du Concours Ma Thèse en 180 secondes au Québec. Sur quoi étiez-vous jugés ? Charles Cernay : Sur le fond et la forme de notre présentation. Vulgarité. Biais de confirmation. Sociologie des réseaux sociaux.

Discours médiatiques.

Livres

Vulgarisation scientifique. Chaînes scientifiques sur Youtube. Mickaël Launay.