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Dissonance cognitive

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La dissonance cognitive est l'expérience d'une contradiction entre une cognition et une action.

"Il est nécessaire de cerner les comportements qui vont à l'encontre de nos valeurs. Il est important de ne pas culpabiliser face à ces comportements.

La culpabilité pousse à combler des vides de la mauvaise manière par l'inconscient." Paul Pyronnet. Pourquoi et comment changer sa manière d'agir? [Paul Pyronnet] Dissonance cognitive. «Il n’y a pas de succès comme l’échec...»Bob Dylan, Love Minus Zero Théorie de la motivation humaine selon laquelle des cognitions contradictoires amènent un état de tension chez qui elles se présentent. Selon la théorie, cet état de tension est tel qu’il motive celui qui l’éprouve à changer sa cognition, son attitude ou son comportement. Elle a été étudiée en détail pour la première fois par le psychologue social Leon Festinger, qui la décrivait ainsi: La dissonance et la consonance sont des relations entre des cognitions, c’est-à-dire, entre des opinions, des croyances, des connaissances de l’environnement et des connaissances de ses propres gestes et sentiments.

Deux opinions, croyances ou concepts entrent en dissonance s’ils ne correspondent pas l’un à l’autre, si ils sont psychologiquement inconsistants, ou, si l’on ne considère que ces deux points, lorsque l’un ne suit pas nécessairement l’autre (Festinger 1956, p. 25). se mit à exulter. Autres lectures: Charest, Anne-Sophie. Comment foutre le bordel dans sa tête. J’adore ce titre. Il m’est venu alors que je m’intéressais à une théorie connue en psychologie sociale au doux nom de “dissonance cognitive”. La dissonance cognitive, nous la connaissons tous à un moment ou un autre quand nous ressentons un état de tension psychologique inconfortable à l’issue d’un conflit interne entre ce que nous croyons et ce que nous faisons.

Par exemple vous pouvez croire que fumer est mauvais pour la santé et pourtant vous fumez. Ou, si vous ne fumez pas, vous pouvez croire que vous êtes quelqu’un d’honnête et pourtant lâcher un petit mensonge de temps en temps “pour ne pas faire de peine”. Nous avions déjà abordé le sujet de la congruence dans un précédent billet. La plupart des gens ont une vision plutôt favorable d’eux-mêmes. Bref, en matière de cohérence cognitive, il y a quelques grumeaux dans la pâte. Le moment où la dissonance cognitive devient psychologiquement inconfortable dépend de son ampleur. “À quel point es-tu sûr(e) que ton choix est le bon ?” Dissonance cognitive. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie sociale, la dissonance cognitive ou distorsion cognitive au Québec[1] est la simultanéité de cognitions qui entraînent un inconfort mental en raison de leur caractère inconciliable ; ou l'expérience d'une contradiction entre une cognition et une action.

Dans sa théorie de la dissonance cognitive, Leon Festinger étudie les stratégies de réduction de la tension psychologique induite et de maintien de leur cohérence personnelle, y compris des stratégies d'évitement des circonstances identifiées comme source de dissonance. Relations entre les cognitions[modifier | modifier le code] Trois sortes de relations sont possibles entre deux cognitions ou entre une cognition et un comportement[1] : Ampleur de la dissonance[modifier | modifier le code] L'ampleur de la dissonance cognitive ou de la tension subie dépend de deux facteurs : L'effort pour réduire la dissonance est proportionnel à son ampleur[1].

Exemples[modifier | modifier le code] La dissonance cognitive [La Tronche en Biais] Schémas cognitifs. Jugements moraux. Distorsions cognitives. Rationnalisation. Troubles mentaux. Cognitive Dissonance. Léon Festinger. Leon Festinger est une figure centrale de la psychologie sociale du xxe siècle. Originaire de New York, titulaire d’un doctorat de l’université de l’Iowa sous la direction de Kurt Lewin, il a travaillé dans plusieurs universités prestigieuses, dont Stanford.

De nombreuses distinctions ont émaillé la carrière de ce chercheur et théoricien hors norme, loué pour son exceptionnelle créativité. Dans sa théorie de la comparaison sociale, dont il a jeté les bases dans un article publié en 1954, Festinger observait que les individus se comparent spontanément à autrui afin de parvenir à établir un diagnostic quant à leurs propres capacités et opinions. Par la suite, il a été proposé que le processus comparatif servait également des buts de valorisation de soi. La théorie de la dissonance cognitive, sa contribution emblématique, se fondait sur l’hypothèse d’un besoin fondamental de cohérence à l’œuvre chez l’individu (phénomène dont la recherche interculturelle modulera l’ubiquité).

Bibliographie.