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Etudes & Previsions / Studies & News

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Les bacilles de la tuberculose auraient 3 millions d'années. Les travaux de chercheurs de l'Institut Pasteur montrent que les bacilles à l'origine de la tuberculose seraient contemporains des premiers hominidés . Des études génétiques , menées sur des souches exceptionnelles de patients tuberculeux d'Afrique de l'Est, ont montré que ces bactéries et Mycobacterium tuberculosis , l'agent majeur de la tuberculose, ont tous évolué à partir d'un ancêtre commun vieux de 3 millions d'années. Cette étude publiée online sur le site de la Public Library of Science (PLoS), apporte un nouvel éclairage sur l'origine de M. tuberculosis et les bases moléculaires de son évolution.

Mycobacterium tuberculosis , l'agent majeur de la tuberculose infecte un tiers de la population mondiale et tue plus de 2 millions de personnes chaque année. En raison du faible taux de variation génétique entre les différentes souches de ce bacille, on estimait jusqu'à aujourd'hui que la tuberculose était une maladie relativement récente, apparue depuis environ 35 000 ans seulement. Quel type d’intelligence mesurent véritablement les tests de QI ? Voici une étude récente qui viendra idéalement compléter le précédent article du Guru : notre civilisation a-t-elle rendu l’humanité moins intelligente ? Tous les dix ans, le QI moyen augmente d’environ 3 points. Le psychologue James Flynn a passé des décennies à documenter ce fait étrange, qui a finalement été surnommé l’effet Flynn.

La question est : l’effet Flynn veut-il dire qu’on devient plus intelligent ? Non, selon Flynn, qui soutient que l’effet révèle simplement que le QI mesure les compétences de l’apprentissage plutôt que celles innées. Comme l’éducation a changé au fil du temps, les enfants se sont améliorées aux tests standardisés tels que celui du QI. Et ainsi leurs scores ont augmenté. Mais certains penseurs s’accrochent à l’idée que le QI mesure une intelligence innée qui transcende la culture et la scolarisation. Les personnes qui ont obtenu des résultats moyens il y a 50 ans seraient inférieures à la moyenne aujourd’hui. Pourquoi ? Selon Mitchum : Actualité des sciences et de l'environnement avec Maxisciences. Sciences | Au coeur de la science avec Futura-Sciences.

Cet homme a-t-il percé le secret de la matière noire ? Peut-être... La science vient d’inaugurer un nouvel instrument de communication: le sourire. C’est en effet l’indication principale donnée par Samuel Ting, prix Nobel de physique en 1976 avec Burton Richter, pour la découverte d’une nouvelle particule subatomique, lors de la conférence annuelle de l’American Association for the Advancement of Science qui s’est tenue du 14 au 18 février 2013 à Boston. Pressé de questions sur les résultats engrangés par le spectromètre AMS arrimé sur la Station spatiale internationale (ISS) depuis le 19 mai 2011, Sam Ting, professeur au MIT et principal responsable de l’expérience qui a coûté 1,5 milliard de dollars, est resté très évasif. publicité Il s’est contenté de laisser entendre que les résultats obtenus donneront aux hommes une meilleure idée de ce qu’est la matière noire.

Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Rien de moins. La matière noire fait partie des trous béants de la physique actuelle. Positrons et WIMPS Suspense À lire aussi sur Slate.fr. L'Hypnose Ericksonienne. Qu'est-ce que l'hypnose ericksonienne ? L'hypnose ericksonienne est une nouvelle conception de l'hypnose et de son utilisation à des fins thérapeutiques du à Milton H. Erickson (1901-1980), psychiatre américain qui a consacré l'essentiel de sa carrière à l'étude scientifique de l'hypnose et à son utilisation en psychothérapie. Milton Erickson a obtenu des résultats thérapeutiques incroyables avec des patients considérés comme impossible à traiter par les autres psychiatres américains de l'époque.

Erickson était surnommé "The Wizard", le magicien, par ses collègues. Différence avec l'hypnose classique L'hypnose ericksonienne (on dit aussi parfois "nouvelle hypnose") s'oppose à l'hypnose classique du début du 20e siècle, par les moyens mis en oeuvre pour induire l'état d'hypnose et par la façon dont cet état est utilisé.

Induction Dans l'hypnose classique, l'induction est autoritaire, l'hypnotiste donne des ordres au patient: "dormez", "fermez les yeux", etc. Utilisation Milton Erickson. 'Grassroots' neurons wire and fire together for dominance in the brain. (Medical Xpress)—Inside the brain, an unpredictable race—like a political campaign—is being run. Multiple candidates, each with a network of supporters, have organized themselves into various left- and right-wing clusters—like grassroots political teams working feverishly to reinforce a vision that bands them together. While scientists know that neurons in the brain anatomically organize themselves into these network camps, or clusters, the implications of such groupings on neural dynamics have remained unclear until now. Using mathematical modeling, two researchers from the University of Pittsburgh have found that neurons team up together to sway particular outcomes in the brain and take over the nervous system in the name of their preferred action or behavior.

The findings will be published in the November print issue of Nature Neuroscience. These significant fluctuations over long periods of time mimicked recorded activity in the spontaneously active brain. Discovery of gatekeeper nerve cells explains the effect of nicotine on learning and memory. Swedish researchers at Uppsala University have, together with Brazilian collaborators, discovered a new group of nerve cells that regulate processes of learning and memory. These cells act as gatekeepers and carry a receptor for nicotine, which can explain our ability to remember and sort information. The discovery of the gatekeeper cells, which are part of a memory network together with several other nerve cells in the hippocampus, reveal new fundamental knowledge about learning and memory.

The study is published today in Nature Neuroscience. The hippocampus is an area of the brain that is important for consolidation of information into memories and helps us to learn new things. The newly discovered gatekeeper nerve cells, also called OLM-alpha2 cells, provide an explanation to how the flow of information is controlled in the hippocampus. Humans think, learn and memorize with the help of nerve cells sending signals between each other. Sciences & Avenir. Blast it or paint it: Asteroid to threaten Earth in 2013. Study shows brain flexibility, gives hope for natural-feeling neuroprosthetics.

Opening the door to the development of thought-controlled prosthetic devices to help people with spinal cord injuries, amputations and other impairments, neuroscientists at the University of California, Berkeley, and the Champalimaud Center for the Unknown in Portugal have demonstrated that the brain is more flexible and trainable than previously thought. Their new study, published March 4 in the advanced online publication of the journal Nature, shows that through a process called plasticity, parts of the brain can be trained to do something they normally do not do.

The same brain circuits employed in the learning of motor skills, such as riding a bike or driving a car, can be used to master purely mental tasks, even arbitrary ones. Over the past decade, tapping into brain waves to control disembodied objects has moved out of the realm of parlor tricks and parapsychology and into the emerging field of neuroprosthetics. "This is something that is not natural for the rats," said Costa.

Californie: une nouvelle étude souligne les risques de tsunami. Bill Nye the Science Guy. Comment le cerveau détourne certaines de ces fonctions pour vous aider à retrouver votre précieux ? Après notre œil qui oublie ce qui n’est pas en mouvement, voici que notre cerveau désactive, ou plutôt réoriente ces propres fonctions pour améliorer notre radar. Quand nous sommes à la recherche d’objets importants, le cerveau active des régions spécifiques pour vous aider dans votre quête. En conséquence, les régions du cerveau habituellement employé à d’autres tâches, comme la reconnaissance des objets sans rapport ou la pensée abstraite, sont détournées de la mission de recherche.

Pour Tolga Cukur, un neuroscientifique à l’Université de Berkeley (Californie) et principal auteur de cette nouvelle étude (lien plus bas) : Nos résultats montrent que nos cerveaux sont beaucoup plus dynamiques qu’on ne le pensait précédemment, ils réaffectent rapidement les ressources en fonction des exigences comportementales, et optimisent notre performance en augmentant la précision avec laquelle on peut effectuer des tâches pertinentes. Toujours selon Cukur : Spider Silk Is Strong Because It's Smart | Wired Science. Spider silk is well known for some spectacular properties. It is stronger than steel and tougher than Kevlar yet flexible enough to be spun into a wide variety of shapes.

New research shows that the material is not only strong but also smart. “Spider silk has a particular way of softening and then being stiff that is really essential for it to function properly,” said engineer Markus J. Buehler of the Massachusetts Institute of Technology, who co-authored the new study, which appears in Nature Feb. 2. A spider web provides its occupant with a home and a way to catch prey. A light wind, for instance, softens the web, allowing it to lengthen but retain its overall structure. Furthermore, only the most extended silk threads get severed. The work provides insight into spiders’ success with catching prey, said biologist Todd A. Engineers could also apply the secrets of spider silk to other challenges, Buehler suggested.

Pour la Science - La référence de l'actualité scientifique. A Spark in the Sand. Narcissus beware! Scientists have created the world's first film that casts practically no reflection. A vast improvement over current nonreflective materials, the new technology could revolutionize solar cells, intensify light-emitting diodes, and possibly help solve mysteries in quantum mechanics by mimicking a "black body," an object that absorbs all light.

For years, scientists have been seeking ways to make certain materials less reflective. Solar cells, for example, would be far more efficient if they reflected less light and absorbed more of it as energy. To achieve this goal, researchers have concentrated on reducing a material's refractive index--a measure of its ability of to reflect light. Ice has a refractive index of 1.31, for example; air has an index of 1. A team of electrical engineers led by E. Related site More on refraction. Natura Sciences - Environnement, développement durable et société. Controversial research outlines physics behind how forests may bring rain.

According to a controversial theory, forests—such as this one in Borneo—drive winds bringing rain from the coasts to continental interiors. Photo by: Rhett A. Butler. It took over two-and-a-half-years for the journal Atmospheric Chemistry and Physics to finally accept a paper outlining a new meteorological hypothesis in which condensation, not temperature, drives winds. If proven correct, the hypothesis could have massive ramifications on global policy—not to mention meteorology—as essentially the hypothesis means that the world's forest play a major role in driving precipitation from the coast into a continent's interior.

The theory, known as the biotic pump, was first developed in 2006 by two Russian scientists, Victor Gorshkov and Anastassia Makarieva of the St. Petersburg Nuclear Physics, but the two have faced major pushback and delays in their attempt to put the theory before the greater scientific community. Challenges and delays The theory So what about the theory itself? Enerzine, le portail de toutes les énergies - pétrole - gaz - électricité - nucléaire - solaire - éolien - biocarburants - éolien - bois - vagues. Science décalée : pourquoi les piverts n’ont pas mal au crâne ? Les piverts et autres membres de la famille frappent leur bec solide contre le bois pour trois raisons : pour se nourrir et attraper les insectes xylophages et leurs larves, communiquer durant la saison des amours et pour prévenir les rivaux des limites de son territoire, ou creuser un nid. Ils doivent avoir la tête dure. © Hans-Jörg Hellwig, Wikipédia, cc by sa 3.0 Science décalée : pourquoi les piverts n’ont pas mal au crâne ?

- 2 Photos Pour résoudre un problème, il faut d'abord regarder si la réponse n'est pas sous nos yeux. Le contexte : des piverts sans traumatisme crânien La boîte crânienne a une fonction : protéger le cerveau des chocs avec l’extérieur. Mais comment limiter leur occurrence ? Plusieurs équipes de chercheurs s’étaient déjà intéressés à cette faculté, une étude qui avait même valu un prix IgNobel d’ornithologie à Ivan Schwab, un ophtalmologiste spécialiste des oiseaux, en 2006. L’étude : bec plus long et os spongieux, la solution Qu’en ont-ils conclu ? Maladies cardiovasculaires - Il y a 4000 ans, nos ancêtres avaient de l’athérosclérose. Des plaques d'athérome ont été retrouvées dans les artères de momies datant de 4000 ans av J-C, jusqu'au dix-neuvième siècle.

Thierry Souccar commente ces résultats. Une équipe de chercheurs a examiné au scanner les artères de 137 momies couvrant 40 siècles. Ils ont découvert des signes «certains ou probables» d'athérosclérose – la présence de calcifications dans les artères - chez un tiers de ces momies. Les résultats ont été publiés dimanche 10 mars dans le Lancet. Pour les auteurs de cette étude, l'athérosclérose pourrait affecter l'humanité depuis au moins 4000 ans. Une étude de 2011 avait déjà trouvé des signes d’athérosclérose chez de nombreuses momies égyptiennes. C’est dans ce contexte qu’il a été décidé d'étendre leur enquête à d'autres groupes humains, de la fin du néolithique au dix-neuvième siècle.

. - 76 égyptiennes datant de 3800 ans avant J-C. à 100 ans après J-C. . - 51 péruviennes de 200 à 1534 après J-C. . - 5 amérindiennes de 1500 av J-C à 500 ans après J-C. Mais voilà ! Journal home : Nature. Raphael Lis, Charles C. Karrasch, Michael G. Poulos, Balvir Kunar, David Redmond, Jose G. Barcia Duran, Chaitanya R. Badwe, William Schachterle, Michael Ginsberg, Jenny Xiang, Arash Rafii Tabrizi, Koji Shido, Zev Rosenwaks, Olivier Elemento, Nancy A. Speck, Jason M. Butler, Joseph M. Scientists: Extinctions Just as Damaging as Climate Change. Amazon rainforest: Phil P Harris via Wikimedia Commons. A new paper in the prestigious science journal Nature assesses one of the big questions in ecology today: How do species extinctions rack up compared to other global change issues like global warming, ozone holes, acid rain, and nutrient pollution (overfertilization)?

"Evidence is mounting that extinctions are altering key processes important to the productivity and sustainability of Earth's ecosystems. " The answer: Just as nasty. In fact species loss is likely to rank among the top five drivers of global change. "Some people have assumed that biodiversity effects are relatively minor compared to other environmental stressors,” says lead author David Hooper of Western Washington University. "Our new results show that future loss of species has the potential to reduce plant production just as much as global warming and pollution.

" The stats: From the paper: The paper: David U.