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Veille collaborative

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Les cellules de veille et la curation de contenu peuvent-elles co-exister ? - elCurator Blog. Nous ne le répéterons jamais assez : Knowledge Management et curation de contenus sont des pratiques totalement différentes : la première répond à un objectif d’entreprise, la seconde aide les curateurs à diffuser les savoirs.

Les cellules de veille et la curation de contenu peuvent-elles co-exister ? - elCurator Blog

Cependant, nous avons la conviction que la curation de contenus peut enrichir les travaux de la cellule de veille, ces pratiques pouvant être complémentaires. Historiquement, les cellules de veille sont des entités composées de une ou plusieurs personnes, ayant pour objectif d’aider les entreprises à connaître leur éco-système, se tenir informées et innover en analysant les contenus jugés pertinents. Ces cellules vont agréger un grand nombre de flux (RSS, blogs, articles, presse, vidéos, …) grâce à des mécanismes d’agrégation qu’elles mettent en place ou achètent. Ces flux sont analysés, traités, filtrés, et finalement restitués. Le format le plus courant de restitution est la lettre d’information (newsletter) ou le dossier de veille. Fédérer une équipe de veille. La motivation, moteur essentiel de la veille Les outils de veille, ce n’est pas ce qui manque sur le web.

Pratiques, conviviaux, souvent gratuits ou peu coûteux, on les adopte avec plaisir. Le choix des outils est certes un point crucial de la mise en place d’une veille, mais un autre peut-être plus critique encore est la manière dont on va constituer l’équipe de veille… et la motiver. La motivation est en effet un moteur essentiel au sein d’un projet de veille collaborative. La preuve : certains font de la veille bénévolement, animés par leur curiosité et leur goût du partage, comme les veilleurs de Légothèque, groupe de bibliothécaires engagés dans la lutte contre les stéréotypes. Cet article vous sera particulièrement utile si certaines de ces affirmations vous correspondent : 1) Avec soin, tes veilleurs tu recruteras Tout le monde n’a pas la bosse de la veille !

2) Le plus tôt possible, une dynamique de partage tu lanceras 3) L’activité de veille tu valoriseras. Veille Collaborative - Travail Collaboratif - Intranet - Intelligence Collective - Groupware. La veille - Comment organiser une veille collaborative. Travail collaboratif. La notion de travail collaboratif désigne un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un mode de travail (éventuellement intégré dans un modèle économique de production) où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication, notamment les plateformes internet.

Travail collaboratif

Les outils informatiques permettent de maximiser la créativité et l'efficience d'un groupe associé à des projets d’envergure même si elles sont très dispersées dans l'espace et le temps. Synoptique des communautés de production pair à pair (dont certains s'inspirent pour promouvoir le "collaboratif") Définitions[modifier | modifier le code] Pour certains consultants il ne faut pas confondre « travail collaboratif » et « travail coopératif »[citation nécessaire] : Prérequis[modifier | modifier le code] Pour comprendre et apprécier cette catégorisation des modes de collaborations, voici quelques pré-requis utiles[3] : (en) Huang, G. Comment faire réussir les “équipes virtuelles”

Pour le consultant Keith Ferrazzi, dans une tribune pour la Harvard Business Review, les équipes virtuelles, c’est-à-dire des équipes voire des entreprises constituées de personnes travaillant à des endroits physiquement distants sont à la hausse.

Comment faire réussir les “équipes virtuelles”

Selon un sondage de sa société d’étude auprès de 1700 travailleurs du savoir, 79% déclarent travailler toujours ou souvent en équipes dispersées. Reste que ces “nouveaux collectifs” ne sont pas simples à organiser. Une étude de 2001 montrait que 82% des équipes fonctionnant sur ce mode étaient en dessous de leurs objectifs et 33% en échec. Une étude de Deloitte (.pdf) en 2005 soulignait que 66% de ces groupes de travail ne parvenaient pas à satisfaire les exigences des clients.