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Agricultures alternatives (articles)

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Photos du journal - Mr Mondialisation. « On peut nourrir 10 milliards d’humains en bio sans défricher un hectare » La Ruche qui dit Oui ! Annuaire AMAP - Trouvez une AMAP dans votre région. Pierre Rabhi : « Si nous nous accrochons à notre modèle de société, c’est le dépôt de bilan planétaire » | Actuwiki#.UKYw4uSCAbB#.UKYw4uSCAbB#.UKYw4uSCAbB. Je ne me réjouis pas de cette situation, mais je me dis finalement que l’être humain a besoin d’entrer dans des impasses pour mieux comprendre.

Les impasses peuvent soit finir sur un chaos généralisé, soit permettre d’initier autre chose. Le chaos est tout à fait possible : une sorte de cocotte-minute d’incertitudes et d’inquiétudes est en train de miner les âmes et les consciences. Qu’une seule ville explose et toute la France explose. Le problème aujourd’hui n’est pas de se réjouir de cela, mais de voir ce qu’on peut tirer de cette évolution. Notre modèle de société montre son inadéquation, son incapacité à continuer. Si nous nous y accrochons, ce sera le dépôt de bilan planétaire. Tous les pays émergents veulent vivre à la moderne.

C’est parce que les citoyens ne sont pas véritablement conscients de l’enjeu de l’écologie que nous sommes obligés d’avoir une écologie politique pour lui donner une place au forceps. Qui enrichit ces gens-là ? Recueilli par Ivan du Roy et Agnès Rousseaux. Rechercher producteurs locaux - Trouver producteur local de ma région - Locavore. Semences paysannes : il faut s'organiser collectivement#xtor=ES-6#xtor=ES-6#xtor=ES-6. Constitué d'une soixantaine d'organisations, le Réseau Semences Paysannes prône gestion collective et protection des semences. Son coordinateur Patrick de Kochko, Ingénieur agronome et paysan, explique à Actu-environnement le peu de latitude laissé par le droit dans ce domaine.

Patrick de KochkoCoordinateur du Réseau Semences Paysannes Actu Environnement : Quelle est la situation des semences aujourd'hui ? Sont-elles toutes sous brevet ? Patrick de Kochko : Heureusement, les semences ne sont pas toutes sous brevet. Pour autant, malgré un cadre réglementaire de plus en plus restrictif et notamment en France par la loi de décembre 2011 sur les certificats d'obtention végétale, nous pensons que les semences paysannes ont un avenir, parce qu'elles sont adaptables et parce qu'elles sont échangeables.

AE : Quels sont leurs arguments ? AE : Quels seraient les moyens de conserver la biodiversité cultivée ? AE : Reste-t-il des interstices de liberté ? Des maisons de semences paysannes pour se libérer de l'agrobusiness - Souveraineté alimentaire. « Il faut nous organiser pour récupérer toutes les semences qui sont dans les banques de gènes et remettre ce trésor entre des mains sures, celles des paysans ». Au milieu d’une centaine de variétés de maïs, en plein cœur de la Dordogne, Bertrand Lassaigne raconte l’histoire de la première maison de semences paysannes en France. Installé depuis 20 ans près de Périgueux, Bertrand cultive principalement des céréales et des protéagineux – maïs, céréales à paille, soja, lentilles... Peu à peu, il développe son autonomie en semences et parvient en moins de dix ans à autoproduire la quasi-totalité de ses cultures, sauf en maïs où il continue chaque année d’acheter de la semence non reproductible qualifiée d’hybrides.

En 1999, une rumeur circule parmi les producteurs de maïs : des semences polluées par des OGM auraient été vendues. S’affranchir de l’industrie semencière Le début du projet est laborieux. Onze ans plus tard, les résultats sont là. Une idée importée du Brésil Un mouvement mondial. Un million de révolutions tranquilles : comment les citoyens changent le monde. Qui sont-ils ? Ce sont tous des citoyen(ne)s ordinaires. Ils vivent dans de petits villages d’Asie, d’Amérique latine ou d’Afrique, ou dans des villes comme New York ou Tokyo. Ils viennent de milieux sociaux très variés, ne se connaissent pas entre eux, ne sont pas célèbres et certains sont illettrés. Mais ensemble, ces hommes et ces femmes ont engagé localement de petites révolutions.

Ils sont les pionniers de nouveaux modes de vie, qui sont en train de transformer la planète. Ce livre est la chronique de ces transformations de terrain. Bénédicte Manier précise : "Délibérément, ce livre ne traite pas de l’action des grandes ONG, associations ou fondations : si celles-ci mettent également en place des solutions de terrain, leur travail est déjà connu et fait l’objet de nombreux ouvrages et articles de presse.

"En quelques décennies, ces actions se sont multipliées partout sur la planète, essaimant à l’identique dans les pays industrialisés, émergents et en développement. L’agroécologie. Cultiver sans Pesticides avec des bons rendements c'est Possible !! L'Inra de Dijon l'a démontré ... - Le blog de tair. Cette question tourne en boucle, est il possible de cultiver en gardant les mêmes rendements? Certains disent non et d'autres recherchent comment y arriver. C'est chose faite, l'Inra de Dijon après 10 ans d'expérimentations y est arrivée en revenant à des procédés ancestraux, nos anciens ont encore des choses à nous apprendre. En effet, à Epoisses (21) l'Inra a cultivé avec différents protocoles de protection intégrés sur 5 parcelles durant une décennie : sans labour, sans désherbage mécanique, ...

Les mauvaises herbes rencontrées n'étaient pas en nombres suffisant pour altérer le rendement tout en les utilisant pour renforcer les plantations. Ce travail raisonné du sol, la diversification de l'ensemencement des parcelles au cours du cycle annuel. Nicolas Munier-Jolain de l'Inra, explique qu'il est techniquement possible de cultiver à grande échelle des céréales sans herbicides ou du moins en réduisant drastiquement leurs usages avec un faible diminution à l'hectare.

TAIR Marc. Nature to Share. Réserve mondiale de semences du Svalbard. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce site a été choisi parce que le climat et la géologie du Spitzberg se prêtent parfaitement à un tel projet de conservation et que les pays scandinaves sont fortement impliqués dans ce dernier. Creusée près de la petite ville de Longyearbyen (1 900 habitants)[1] dans l'archipel arctique du Svalbard à environ 1 120 km du pôle Nord, cette chambre forte est gérée par un accord tripartite entre le gouvernement norvégien, l'organisation internationale Global Crop Diversity Trust et la banque génétique nordique (une coopération des États scandinaves sous l'autorité du Conseil des ministres nordiques).

La première pierre a été posée le 19 juin 2006 en présence des premiers ministres de Norvège, de Suède, de Finlande, du Danemark et d'Islande. L'inauguration officielle a eu lieu le 26 février 2008[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Financement[modifier | modifier le code] Construction[modifier | modifier le code] UN NOUVEAU LIVRE DÉNONCE L'AGRICULTURE ET DONNE L'ALERTE À TOUS LES FUTURS CANCÉREUX QUE NOUS SOMMES !

Www.notre-planete.info : environnement, développement durable et sciences de la Terre Vous recevez cette alerte car votre navigateur Internet bloque les publicités Malheureusement, la publicité nous est indispensable pour faire vivre ce média web et ses auteurs qui sont 100% indépendants autant moralement que financièrement.Si vous bloquez notre seul moyen de revenu qui reste discret, notre-planete.info est condamné à disparaître au profit de sites soutenus par des grands groupes financiers ou des lobbys. Vous n'aimez pas la publicité ? Nous non plus ! Pour visualiser la page demandée, merci de : Puis de copier-coller l'URL ci-dessous de la page que vous souhaitiez visualiserdans la barre d'adresse de votre navigateur : Procédure à suivre en fonction de votre navigateur Internet : Sous Internet Explorer Sous Firefox Sous Chrome Vous n'y parvenez pas ?

Vous pouvez : Le royaume himalayen du Bhoutan veut devenir le premier pays "100 % bio" Marie-Monique Robin: Le plus gros mensonge proféré par l'industrie chimique. Couronnée par une trentaine de prix internationaux, Marie-Monique Robin est l'auteure des films et livres Le monde selon Monsanto et Notre poison quotidien. Après avoir dénoncé les méfaits du modèle agro-industriel, elle boucle sa trilogie avec Les moissons du futur, un documentaire qui sera diffusé mardi 16 octobre soir à 20 heures 50, sur Arte. Le livre éponyme est édité par La Découverte et Arte Editions. "Ne faisons pas croire aux Français que l'on pourra cultiver des pommes, des poires ou des fruits sans aucun pesticide: ça a toujours existé et ça continuera d'exister...

" C'était le 21 février 2011, dans l'émission "Mots croisés" de France 2, animée par Yves Calvi. Intitulé "Du poison dans nos assiettes", le débat réunissait Bruno Le Maire, alors ministre de l'Agriculture, qui a prononcé cette phrase, Jean-René Buisson, le président de l'Association nationale des industries alimentaires (ANIA), José Bové, député européen d'Europe Écologie Les Verts, et moi-même. "Diantre ! WWOOF France - WWOOF World Wide Opportunities on Organic Farms (France)

Qu’est-ce que le wwoofing ? L'agroécologie est-elle l'avenir de l'agriculture française ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Angela Bolis Jacques Morineau dans son exploitation, le GAEC (Groupement agricole d'exploitation en commun) Ursule, près de Chantonnay en Vendée. Les parcelles sont entourées de haies, qui favorisent la biodiversité. › Accéder au portfolio Il faut un œil averti pour identifier de quoi sont plantés les champs de Jacques Morineau, de part et d'autre des chemins de son exploitation vendéenne où bringuebale son vieux 4x4 tout infiltré de poussière de terre.

Ce savant assemblage ne doit rien au hasard. Les cultures associées sont l'une des méthodes employées dans sa ferme, qu'il a convertie dans les années 1990 à l'agroécologie. Ces méthodes, si elles restent marginales en France, sont acquises au gré des expérimentations de quelques agriculteurs "pionniers", et de plus en plus explorées par la science agronomique : l'INRA en a fait l'un de ses deux champs de recherche prioritaires en 2010. Réformons la Politique Agricole Commune pour une agriculture et une alimentation d'avenir #PAC #ifieldgood. Au début de l'été 2013, l’Union Européenne doit acter la réforme de sa Politique Agricole Commune (PAC) pour les sept prochaines années.

Une réforme européenne dont les conséquences peuvent paraître lointaines… mais qui nous concerne tous, au même titre que les 500 millions de consommateurs et les 11,7 millions d’agriculteurs européens ! Mise en place il y a 50 ans, pour garantir l’indépendance... Mise en place il y a 50 ans, pour garantir l’indépendance alimentaire de l’Europe, la PAC fixe encore aujourd’hui des règles communes en matière agricole pour l'ensemble des 27 Etats membres. L’UE y consacre chaque année un peu plus de 50 milliards d’euros (soit 42% de son budget total en 2012) ; 9,5 milliards sont attribués à la France. Certes, la PAC n’est pas la seule responsable, mais son rôle dans l'orientation des systèmes agricoles et alimentaires est incontestable. De la même manière, elle reste l’un des principaux leviers pour offrir un nouvel horizon aux agriculteurs européens demain.

Les moissons du futur : comment l'agroécologie peut nourrir le monde. Le Doc Pour préparer son tour du monde, Marie-Monique Robin a travaillé en étroite collaboration avec Olivier de Schutter, le rapporteur des Nations Unies pour le droit à l’alimentation, qui a présenté un rapport sur l’agroécologie, le 8 mars 2011, à Genève. La réalisatrice a bien sûr filmé son allocution , qui ouvre (en partie ) le documentaire, puis l’a interviewé. Ci-dessous un extrait de cet entretien, où Olivier de Schutter explique pourquoi l’agroécologie est bien plus en mesure de nourrir le monde et de répondre au défi du changement climatique que l’agriculture industrielle, qui a échoué sur ces deux fronts : aujourd’hui, près d’un milliard de personnes souffrent de la faim, malgré les énormes moyens déployés depuis cinquante ans pour promouvoir le modèle agrochimique, qui, de plus, est responsable de 14% des émissions mondiales de gaz à effet de serre, alors que l’agriculture devrait être une activité captatrice de CO2 !

Olivier de Schutter Bande annonce Extrait ... Livre et DVD. La loi scélérate du 8 décembre 2011 va-t-elle bientôt sévir ? La loi du 8 décembre 2011 relative au « Certificat d’Obtention Végétale » (COV), proposée par un sénateur UMP, soutenue par le gouvernement de Nicolas Sarkozy et votée par la majorité UMP, a gravé dans le marbre l’interdiction de semer le grain récolté et l’obligation, dans cette hypothèse, de payer des royalties aux semenciers-sélectionneurs dès l’usage en deuxième génération des semences vendues sur le marché. Bien que François Hollande, alors candidat à la présidentielle, se soit engagé1 à retirer ce texte, ses décrets d’application sont en cours de préparation. Pour comprendre les enjeux de cette loi, il faut en connaître le contexte technique : là où les méthodes de sélection agronomique n’ont pas réussi à rendre le grain stérile ou dégénérescent en deuxième génération (hybrides F1), les semenciers cherchent, par des méthodes juridiques cette fois, à recréer le marché captif extrêmement lucratif que les hybrides F1 leur ont permis de s’aménager.

Mais la réalité est toute autre. Terre de Liens - Et si vous faisiez pousser des fermes ? Trouver une AMAP. Vente directe du producteur au consommateur (1/3) : l'AMAP au banc d'essai. Face aux scandales alimentaires à répétition, les Français éprouvent de plus en plus le besoin de savoir ce qu'ils ont dans leur assiette. Selon une étude récente de 60 millions de consommateurs et de Mediaprism, plus de quatre consommateurs sur cinq font attention au caractère naturel des produits qu'ils achètent, et ils sont plus d'un sur deux à considérer désormais que le bio est une tendance pérenne. Les principaux responsables de ce changement de mentalité? Les industriels se retrouvent au premier rang des responsables de la malbouffe, mais pas seulement. Les consommateurs reconnaissent volontiers qu'en se tournant de plus en plus vers le prêt à consommer pas cher, ils participent au système.

Du coup pour éviter de se retrouver avec son chariot au supermarché du coin sans trop savoir ce que vous allez mettre dedans, vous pouvez vous tourner vers cette solution alternative qu'on appelle les circuits courts. Il en existe beaucoup. L'Amap, le plus médiatisé des circuits courts. Le moringa, un arbre miracle au service du développement rural. (crédit : Marie-Caroline Thorn) Petit arbre originaire d’Inde, le moringa suscite l'intérêt croissant d'ONG et d'organismes publics du monde entier. Et pour cause. Le caractère exceptionnellement nutritif de ses feuilles et les propriétés assainissantes de ses graines sont les principales vertus de cette plante surnommée « the miracle tree ». Projets nationaux L’industrie a déjà décelé et exploité le potentiel du moringa : Il est aujourd'hui facile de trouver des produits cosmétiques grand public contenant l'huile qui en est extraite.

Mais le réel potentiel de cette ressource est ailleurs, à l'échelle locale. Le moringa pousse en effet dans la majorité des pays tropicaux (Afrique, Asie, Amérique Latine), où il permet d’améliorer les conditions de vie et de faire reculer la pauvreté. L’engouement pour cette ressource a conduit plusieurs gouvernements à mettre en place des projets d’envergure nationale, comme aux Philippines, au Burkina Faso ou en Haïti. Biosanto: semences bio et rustiques facile à cultiver. L'agriculteur qui prépare la révolution open-source. (source : TED) Au cours de ses longues études, Marcin Jakubowski n'a cessé de s'interroger sur les capacités de la science à répondre à nos besoins concrets. Un doctorat de physique nucléaire en poche, cet Américian d'origine polonaise a délaissé les paillasses et les équations pour s'offrir une ferme dans le Missouri... et un tracteur. Jusqu'à ce jour de 2008 où la machine tomba en panne.

Refusant de débourser 30 000 dollars pour acquérir un nouveau tracteur, Jakubowski décide de fabriquer le sien : un outil simple, fonctionnel, que l'on peut mettre à niveau à souhait, et surtout, plus rentable qu'un tracteur classique sur le long terme. le "LifeTrac" (source : TED) Travailler ensemble Il ne lui faut que trois mois et 6 000 dollars pour mettre au point le premier LifeTrac, une machine obtenue grâce à l'assemblage de tubes d'acier.

Le "kit de construction du village global" (source : TED) Programme Femmes Semencières. - Fotosintesia. Via campesina : 200 millions de paysans s'unissent pour une autre agriculture - Alternative. La jardinière qui voulait protéger nos semences. Terre de liens normandie - convertisseur. Manger local créerait 600 000 emplois.