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Bonheur et travail

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Et si demain on travaillait heureux ? Le laboratoire d’idées La Fabrique de l’industrie a étudié les expériences menées un peu partout et il présente aujourd’hui son rapport.

Et si demain on travaillait heureux ?

Et si demain, on travaillait, heureux? Et si, cerise sur le gâteau, être heureux au travail faisait prospérer l’entreprise ? C’est exactement l’objectif que s’est fixé une PME, qui au premier abord ne fait pas rêver. Maille verte, c’est une entreprise de textile, très loin du prêt à porter. Ici on fabrique des housses de siège de voiture, les alaises, des toiles cirées : du solide de chez solide. 2008, surtout dans l’automobile c’est la crise, et Maille verte fait faillite. En pratique : il y a le moins de chefs possible, et une implication maximale des salariés. Au départ, les mesures sont drastiques : ça commence par des licenciements. Avant, sur les lignes de fabrication, il y avait des contremaîtres. Avant quand il y avait un problème avec le fil qui cassait, c’était la monitrice qui comptait les arrêts et rapportait les accrocs.

Classement HappyAtWork : les entreprises où l'on est heureux. Faut-il aimer son travail pour être heureux. S’épanouir dans sa profession est une aspiration forte pour beaucoup d’entre nous.

Faut-il aimer son travail pour être heureux

Mais parce que nous n’exerçons pas le bon métier ou que nous l’exerçons dans de mauvaises conditions, cela n’est pas toujours possible. Quelles sont les vraies raisons de nos frustrations professionnelles ? Et comment remettre le travail à sa juste place ? Christilla Pellé Douel Sommaire « Un châtiment pour le péché originel, que l’on s’efforçait d’accomplir le plus rapidement possible puis d’oublier dans l’alcool et la religion »… C’est ainsi qu’était autrefois perçu le travail, raconte Alain de Botton, écrivain et journaliste, auteur de Splendeurs et misères du travail. Ne pas se réduire qu'à son activité A découvrir A lire Splendeurs et misères du travail d’Alain de Botton Une réflexion fine, originale et pleine d’humour sur le monde du travail (Mercure de France).

La Société malade de la gestion de Vincent de Gaulejac Le culte de la performance met tout le monde sous pression. Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ma fonction est d’être chef du bonheur". Il fait bon travailler dans cette start-up parisienne qui vend notamment en ligne des articles de mode et de décoration "faits main".

Envoyé spécial. Bien-être au travail : "Ma fonction est d’être chef du bonheur"

Pour sa cinquantaine de salariés, les réunions se font assis sur un canapé ou dans la salle de jeux… Et la journée commence par un petit-déjeuner offert par l’entreprise. C’est Sophie qui gère le café et les croissants : "L’idée est de créer un instant de convivialité entre les collègues. C’est un peu plus sympathique que d’être juste planté à côté de la machine à café où on se parle pendant trente secondes…" Sophie ne rend pas juste service à ses collègues… Elle fait son travail, qui est de créer une bonne ambiance au bureau. Après le petit-déjeuner, sa journée se poursuit à la supérette du coin où elle fait les courses pour préparer un barbecue que l’équipe va déguster.

Organiser des déjeuners ou des soirées est un travail à plein temps payé entre 2 000 et 2 500 euros par mois. Extrait de "Travail : tous bienveillants ? " Ces boulots qui ne nous rendent pas toujours heureux… Ces boulots qui ne nous rendent pas forcément heureux.

Ces boulots qui ne nous rendent pas toujours heureux…

Ces emplois, souvent précaires, qui s’exercent dans des conditions difficiles, épuisantes, sans toujours respecter la dignité humaine abrutissants, parfois dénués de sens… sont parfois appelés « boulots de merde » pour reprendre le titre de l’ouvrage de notre invité le journaliste Julien Brygo. D’ailleurs, de plus en plus d’employés revendiquent l’expression « boulots de merde » pour évoquer des conditions de travail difficile, dégradées, voire dégradantes. Et ce, quelques soient le secteur professionnel ou le type d’emploi. N’hésitez pas à témoigner sur notre adresse mail. Sur notre page Facebook, ou encore au standard de France Inter : 01 45 24 7000 avec : Julien Brygo, journaliste, co auteur avec Olivier Cyran de Boulots de merde ed.La découverte Partenariat Femme Actuelle Sabrina Nadjar, Rédactrice en chef adjointe.

Le bonheur au travail - Tout Compte Fait - 27 février 2016 #TCF.