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Anthropologie - Ethnologie - Psychologie

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Pourquoi l'évaluation/rémunération sur indicateurs ne marche pas. Robert Lucas L’un des premiers à aborder ce sujet est Robert Lucas, au début des années 70. Lucas énonce dans sa Critique qu’il faut éviter de se baser naïvement sur des statistiques passées pour prédire le comportement futur des agents économiques. En pratique, cela signifie qu’une corrélation observée peut devenir trompeuse si elle est utilisée dans un but de prévision ou d’évaluation.

Lucas critique le postulat qui présume que les agents ne vont pas modifier leur comportement (dans un sens imprévu) face à un nouvel indicateur qui les concerne. Prenons un exemple concret : les médecins qui utilisent des quantités importantes de solution antiseptique pour le lavage des mains sont habituellement précautionneux de leur hygiène. La consommation d’antiseptique est donc initialement corrélée à la qualité des soins. Vous trouvez que je prête de bien mauvaises intentions aux soignants ? Je laisse Charles Goodhart vous répondre. Charles Goodhart Pourquoi Goodhart a-t-il intégré la Loi de Murphy ? Civilisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les villes sont les accomplissements significatifs auxquels sont parvenues les civilisations de l'Humanité (ici un panorama de Manhattan à New York). Exemple d'un monument à caractère civilisationnel : la Grande Mosquée de Kairouan, en Tunisie, est à la fois la plus ancienne mosquée d'Afrique du Nord (fondée en 670)[1] et l'une des œuvres majeures de l'architecture islamique ayant servi de modèle à de nombreux lieux de culte musulmans[2].

En plus de son importance artistique et architecturale, cette mosquée fut, notamment entre le IXe et le XIe siècle, le principal centre de culture et d'enseignement dans toute l'Afrique du Nord[3]. Ainsi cette mosquée est l'un des monuments les plus importants de la civilisation arabo-musulmane[4]. Le terme civilisation — dérivé indirectement du latin civis signifiant « citoyen » par l'intermédiaire de « civil » et « civiliser » — a été utilisé de différentes manières au cours de l'histoire. – le Japon ; ICRA International - Accueil.

Survival International - Le mouvement pour les peuples indigènes. Liste de concepts logiques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article liste les principaux concepts logiques, au sens philosophique du terme, c'est-à-dire en logique générale (issue de la dialectique).

Nota : Liste des concepts logiques de la philosophie. Quatre causes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie aristotélicienne de la causalité désigne la conception de la causalité développée par le philosophe Aristote. Forgée au IVe siècle av. J. -C., cette vision de la causalité s'écarte grandement de ce qu'on nomme « cause » à l'époque contemporaine. Pour Aristote, la cause n'est pas simplement ce qui précède l'effet : c'est une notion métaphysique complexe. La cause matérielle[modifier | modifier le code] Il s'agit de la cause la plus inaccessible, la moins connaissable, bien qu'elle soit en même temps la plus évidente. Et s'il est possible à l'intellect de l'homme de dégager la forme de la matière, ce qui rend la connaissance possible, il ne lui est pas possible d'envisager la matière seule, pure.

Dans les concepts fondamentaux d'Aristote, la puissance est associée à la matière. La cause formelle[modifier | modifier le code] La cause motrice ou du changement[modifier | modifier le code] La cause finale[modifier | modifier le code] Qu'est-ce que la conscience - Le cerveau à tous les niveaux. Parmi toutes les approches philosophiques proposées au fil des siècles pour tenter de résoudre , le dualisme et le matérialisme recueillent l’adhésion d’un nombre considérable de penseurs. Ceux-ci ont toutefois été amenés à nuancer ces deux positions théoriques générales afin de faire face aux critiques formulées à leur endroit. Pour éviter les pièges du dualisme de substance par exemple, on a proposé un « dualisme de propriété ».

Celui-ci reconnaît que tout est matière mais que cette matière peut posséder deux types de propriété : des propriétés physiques et des propriétés mentales, ces dernières n’étant pas réductibles aux premières. On qualifie d’ailleurs souvent le dualisme de propriété de «physicalisme non réductible». La douleur aurait par exemple une propriété physique (les fibres C qui émettent des potentiels d’action) et, en même temps, une propriété consciente (le sentiment douloureux).

D’après Valentine, E.R. (1982) et. Hédonisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’hédonisme (du grec ancien : ἡδονή / hēdonḗ, « plaisir » et du suffixe -ισμός / -ismós) est une doctrine philosophique grecque selon laquelle la recherche du plaisir et l'évitement du déplaisir constituent l'objectif de l'existence humaine. Acceptions possibles[modifier | modifier le code] Pensée philosophique[modifier | modifier le code] Dans le même temps, les douleurs et les déplaisirs à éviter sont: les relations conflictuelles et la proximité des personnes sans capacités contractuelles (sans paroles), le rabaissement et l'humiliation, la soumission à un ordre imposé, la violence, les privations et les frustrations justifiées par des fables, etc. Ainsi, il n'y a pas d'hédonisme sans discipline personnelle, sans ascèse, sans connaissance de soi, du monde et des autres.

Mais selon Nietzsche [8] la revendication de l'hédonisme chrétien n'est pas légitime. En ethnologie[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Bonheur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour le canard de fiction, voir Gontran Bonheur. Le bonheur se lit sur le visage de cet enfant. Définition[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Étymologiquement, ce mot vient de l'expression « bon eür ». « Eür » est issu du latin augurium qui signifie « accroissement accordé par les dieux à une entreprise ». Augere, auctus : « s'accroître » qui a donné augmenter…auctor : « qui fait croître », « fondateur », « auteur », qui a donné auteur, autoriser, autorité, octroyer… Du point de vue de l'étymologie, le bonheur est l'aboutissement d'une construction, qui ne saurait être confondue avec une joie passagère. Bonheur et plaisir[modifier | modifier le code] Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion.

En philosophie[modifier | modifier le code] Épicure (3eme s. av JC)[modifier | modifier le code] Blaise Pascal (XVIIe siècle)[modifier | modifier le code] Qu’est-ce que le bonheur ? Désir. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Désirs naturels[modifier | modifier le code] Les philosophes, depuis les origines de la philosophie, se sont demandé quelle place faire aux désirs. Les réponses sont très variées. Dans le Phédon, Platon expose l'idée d'une vie ascétique où l'homme doit lutter contre les turbulences de son corps ; les Cyrénaïques, au contraire, font de la satisfaction de tous les désirs le bien suprême. Toutes ces réflexions ont conduit à de nombreuses distinctions, comme on le voit par exemple chez Épicure. La classification des désirs[modifier | modifier le code] les dieux ne sont pas à craindre ;la mort n'est pas à craindre ;la douleur est facile à supprimer ;le bonheur est facile à atteindre.

C'est en vue de ce dernier qu'il faut plus particulièrement penser le désir. Cette classification n'est pas séparable d'un art de vivre, où les désirs sont l'objet d'un calcul en vue d'atteindre le bonheur. Le calcul des plaisirs[modifier | modifier le code] THEODORE MONOD, LA PHRASE DE LA SEMAINE: - ATTYPIQUE.COM: INTERVIEWS POSTHUMES DE PERSONNALITES REBELLES! Na t oyageur à la manière des encyclopédistes du XVIIIe siècle, grand connaisseur de l’Afrique saharienne, Théo Scientifique naturaliste, Professeur honoraire au Muséum d'Histoire naturelle, membre de l'académie des sciences, Théodore Monod est mort le 22 novembre 2000 à l’âge de quatre-vingt-dix-huit ans.

Naturaliste et voyageur à la manière des encyclopédistes du XVIIIe siècle, grand connaisseur de l’Afrique saharienne, il ne s'est jamais résigné, bible en main, lorsqu'il manifestait contre l'usage de la bombe atomique entre deux voyages au Sahara. Pour lui: "la préparation d'un crime est déjà un crime". Théodore Monod est l'auteur d'une trentaine de livres dont le premier fût publié en 1930. "Ne mourons pas résignés derrière nos ordinateurs, ayons enfin le courage des larmes" Pour la communauté scientifique internationale, ce fut un grand chercheur et pour le public, un humaniste généreux.

Klein.attypique@gmail.com eux. Paradoxe de Fermi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Pour les articles homonymes, voir Fermi. Le paradoxe de Fermi est le nom donné à une série de questions que s'est posée le physicien italien Enrico Fermi en 1950, alors qu'il débattait avec des amis de la possibilité d'une vie et d'une visite extraterrestre. Fermi, détenteur du prix Nobel en 1938, et alors qu'il est impliqué dans le projet Manhattan à Los Alamos aux États-Unis, déjeune avec plusieurs de ses amis et collègues (Emil Konopinski, Edward Teller et Herbert York). Lors du repas, il en vient à demander où sont les extraterrestres, et pose le principe du paradoxe qui porte son nom. Celui-ci est lié à la question de savoir pourquoi l'humanité n'a, jusqu'à présent, trouvé aucune trace de civilisations extraterrestres alors que le Soleil est plus jeune que beaucoup d'étoiles situées dans la galaxie.

. « S’il y avait des civilisations extraterrestres, leurs représentants devraient être déjà chez nous. Névrose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme névrose, en psychiatrie et en psychopathologie psychanalytique, désigne des troubles psychiques sans lésion organique démontrable. Le sujet reste conscient de sa souffrance psychique et vit dans la réalité[1]. Les névroses de l'adulte doivent être distinguées de celles de l'enfant (dominées par l'angoisse) et la névrose infantile qui est aussi un concept métapsychologique. Le mot fut inventé par le médecin écossais William Cullen en 1769[2].

Il est dérivé du grec « neuron » (« nerf-neuro ») avec le suffixe « ose » de « ôsis » servant aux mots désignant des maladies non inflammatoires. Classification[modifier | modifier le code] Selon Freud, les troubles psychologiques tels que l'hystérie, la névrose obsessionnelle, la névrose phobique, la névrose d'angoisse, la névrose actuelle, la neurasthénie et la psychonévrose (névrose de transfert et névrose narcissique) peuvent être classés dans la névrose. Genèse[modifier | modifier le code] Perversion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Avertissement dans la ville de Suita, préfecture d'Osaka, au Japon, citant « Prenez garde aux pervers ». La perversion désigne, dans un sens général, l'inclination à des conduites considérées comme « déviantes » par rapport aux règles et croyances morales d'une société. Le terme recouvre toutefois plusieurs champs sémantiques et différentes définitions.

Il est issu du verbe « pervertir », qui signifie littéralement « détourner », d'après l'étymologie latine pervertere : « mettre sens dessus-dessous »[1] et globalement « action de détourner quelque chose de sa vraie nature »[2]. Le sens moral du verbe pervertir (« convertir au vice ») date du XVIIe siècle et a longtemps eu une connotation religieuse. En psychiatrie, le terme se réfère la plupart du temps à des conduites immorales ou amorales considérées comme déviantes. Approche lexicale[modifier | modifier le code] Définition usuelle[modifier | modifier le code] perversion, sur le Wiktionnaire.

Psychose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychose (du mot grec ψυχή, psyche, « esprit, âme », et -ωσις, -osis, « anomalie ») est un terme générique psychiatrique désignant un trouble, ou une condition anormale, de l'esprit évoquant le plus souvent une « perte de contact avec la réalité. » Les individus souffrant de psychose sont nommés des « psychotiques ». La psychose qualifie les formes sévères d'un trouble psychiatrique durant lesquelles peuvent survenir délires, hallucinations, violences irrépressibles ou encore une perception distordue de la réalité.[2]. Le terme de « psychose » a une utilisation très variée et peut désigner toute expérience délirante ou aberrante exprimée dans les mécanismes complexes et catatoniques de la schizophrénie et du trouble bipolaire de type I[3],[4].

En outre, une grande variété de maladies liées au système nerveux central, causées par des substances étrangères ou des problèmes physiologiques, peuvent produire des symptômes de psychose. Persuasion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La persuasion, du latin persuasio, est l'action d'amener quelqu'un à quelque chose, à croire, à faire, à vouloir, à convaincre, « à la faveur d'une connivence »[1]. « L'art de persuader a un rapport nécessaire à la manière dont les hommes consentent à ce qu'on leur propose, et aux conditions des choses qu'on veut faire croire »[2]. Les anciens qui ont défini l'éloquence, le talent de persuader, ont distingué persuader de convaincre, le premier de ces mots ajoutant à l'autre l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur et joint à la conviction[3]. Avant-propos[modifier | modifier le code] La persuasion vise à faire, sans expliciter toujours son but.

On est confronté en permanence au désir, si ce n'est à la nécessité, de convaincre et de persuader. Introduction[modifier | modifier le code] Quelques méthodes de persuasion[modifier | modifier le code] Par l'appel à la raison (convaincre)[modifier | modifier le code] l'hypnose N.B. Influence (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie, l'influence est le processus par lequel une personne fait adopter un point de vue par une autre. L'influence opère une inflexion : celui qui aurait pensé ou agi autrement s'il n'était pas influencé se dirige dans le sens que souhaite l'influent de façon apparemment spontanée. Cette notion d'influence peut recouvrir aussi bien : des phénomènes de persuasion (A convainc B de la vérité d'une proposition X ou de la valeur Y, ou encore il le persuade d'adopter le comportement Z)que des phénomènes d'imitation ou mimesis, au sens où l'on dit, par exemple que B est sous l'influence de A parce qu'il l'admire, qu'il désire l'imiter, gagner sa reconnaissance, partager un peu de son prestige...

L'influence est souvent celle d'un groupe. La mode, l'imitation, le conformisme, mais aussi la conversion en sont des manifestations. Mais la notion d'influence s'emploie dans bien d'autres domaines : G. Perversion narcissique. Manipulation mentale. Effet Barnum. Expérience de Asch.

Biais cognitif. Pas d’accord avec ce que vous dites donc je vais rationaliser à mort ... W.Dalrymple Of Termites & Mad Dictators. Pouvoir (philosophie) Pouvoir (sociologie) Pouvoir politique. Pudeur. Séduction. Suggestion. Soumission. Théorie de l'alliance. Alliance (famille) Ce qui distingue l'artiste selon Paul Valery...ou lorsque le voyant n'est pas celui que l'on croit être. Exploring Corporate Stratégies. Management stratégique des organisations.