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Le bruit, le pire ennemi des salariés français. Travail : les ambivalences de la motivation. On parle même de « fatigue studies » dans le mensuel Sciences Humaines qui consacre un dossier à la motivation au travail. Philippe Zawieja, psychosociologue spécialiste de l’épuisement professionnel, explique que les phénomènes apparemment opposés du burnout lié au stress et du boreout lié à l’ennui de tâches dénuées de sens, trouvent leur dénominateur commun dans la fatigue, « que ce soit par sous-stimulation ou par surcharge ». La fatigue étant un vécu éminemment personnel, le chercheur en santé au travail à Mines-ParisTech plaide pour « une approche subjective et qualitative » contre la « tentation rationaliste, voire positiviste, d’absolument tout quantifier sur un sujet pareil ».

D’autant que si les études sur le stress ou le burnout sont nombreuses, elles « ne sont pas facilement comparables ». Le salarié, "acteur assigné" Flexibilité et polyvalence sont devenus les maîtres-mots de la « gestion en flux tendus ». "New management" Par Jacques Munier. Les maladies professionnelles et les accidents du travail au plus bas niveau depuis 75 ans. Une baisse historique. En 2017, la branche accidents du travail et maladies professionnelles de la Sécurité sociale a enregistré son plus bas taux d'accidents du travail depuis les années 1940, selon des chiffres publiés par la Sécurité sociale et relayés par le quotidien Les Échos. Un peu plus de 33 accidents pour 1.000 salariés ont été comptabilisés, alors que 48.522 cas de maladies professionnelles ont été reconnus.

Les accidents et les maladies ont baissé de 0,5% par rapport à l'année 2016. Cette tendance positive doit néanmoins être relativisée. Les accidents du travail dans le secteur du bâtiment restent très élevés par rapport à la moyenne générale avec 56,8 accidents pour 1.000 employés. Le secteur de l'aide à la personne est également particulièrement touché. >> À lire aussi - Le vaccin contre la grippe va coûter encore plus cher à l'assurance maladie. Intérim : les conditions de travail passées au crible. Moins soumis au stress, les intérimaires sont plus exposés à certaines contraintes physiques, selon une étude de la Dares du 9 ocobre. Quel est le sort des ouvriers travaillant en intérim, comparé à celui des autres ouvriers ? La réponse n’est pas univoque : ils sont moins soumis au stress, mais plus exposés à certaines contraintes physiques, selon une étude diffusée, mardi 9 octobre, par la Dares, la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques, dépendant du ministère du travail.

Les intérimaires étant à 80 % des ouvriers, l’enquête concerne uniquement cette catégorie de travailleurs affectés à des missions temporaires. L’activité qu’ils exercent se trouve, bien souvent, dans des secteurs où les « risques professionnels » sont « élevés » : construction, industrie, logistique… Deux facteurs de pénibilité sont plus prégnants pour eux que pour l’ensemble des ouvriers : le travail répétitif plus de dix heures par semaine et les vibrations des membres supérieurs. Lutte contre l’absentéisme : l’entretien de ré-accueil a la cote.

Connaître les 7 souffrances au travail (pour s’en débarrasser) Olivier Delorme publie aux Editions Géréso un ouvrage de management d’une belle richesse, intitulé Humaniser la performance au travail, lequel propose en sous-titre des voies pour y « réconcilier bien-être et efficacité » … L’ouvrage est largement documenté, et peut concerner tout manager soucieux de confronter son regard aux connaissances. Or on sait qu’une des fragilités des cultures managériales en France, réside souvent dans le déficit de formation continue permettant leur bon exercice. Certes : tous les managers ne sont pas déficients ; et tous ceux qui le sont, ne le sont pas par bêtise ou par cruauté. N’en demeure pas moins que la souffrance au travail est une réalité, qui ne se soigne pas uniquement à coup de soirées festives, de séminaires ludiques supposés redonner peps, tonus, et motivation. Et qui par ailleurs, coûte chaque année, dans tous les pays d’Europe, entre 3 et 4 points de PIB.

Les RPS (risques psycho sociaux), sont une réalité avérée. Séminaire « Management et gestion des ressources humaines : stratégies, acteurs et pratiques » - Les indicateurs sociaux : du contrôle de gestion aux développements récents du pilotage et du reporting. Gérard Naro, professeur des universités, Institut des sciences de l'entreprise et du management (ISEM), université de Montpellier I La mesure sociale, traduite par la mise en œuvre d'indicateurs sociaux, ne constitue pas une problématique récente. Elle s'inscrit dans une longue quête, depuis les expérimentations en matière de comptabilisation des ressources humaines durant les années 1960 aux États-Unis sous la direction d'Éric Flamholtz (voir note 1) , jusqu'aux approches récentes de mesure du capital humain, développées notamment dans les pays scandinaves. En France, la législation sur le "Bilan Social" mise en œuvre à partir de la fin des années 1970, a donné une forte impulsion à la recherche d'indicateurs sociaux.

Le contrôle de gestion sociale s'est ainsi fortement développé au sein des entreprises comme un système de contrôle à part entière. La présente communication traite en premier lieu de l'utilisation des indicateurs sociaux dans le cadre du contrôle de gestion sociale (I). Besoin d'un renseignement ? | TMS Pros. Diagnostiquer et agir sur les TMS. Youtube. Les troubles musculo squelettiques, c'est quoi ?

Motivation au travail et Risques psychosociaux. RPS ou QVT à vous de choisir - risques psychosociaux / qualité de vie au travail. Michel Cymes : quels sont les signes avant-coureurs du burnout ? Quels sont les symptômes d'une personne souffrant de burn-out? Reconnaitre la maladie professionnelle - Avocat-Prudhommes. Qu'est ce qu'un accident de travail ? - Avocat-Prudhommes.com. Exosquelettes. Identification des risques - Risques. Les premières études expérimentales1 tendent à démontrer que les exosquelettes peuvent s’avérer efficaces pour limiter les contraintes musculaires locales.

Leur usage en situation réelle de travail soulève néanmoins de nombreuses questions pour la prévention des risques professionnels liés à la charge physique et, en particulier des troubles musculosquelettiques (TMS). Si l’avancée actuelle des travaux scientifiques ne permet pas de définir clairement les bénéfices liés à leur utilisation, plusieurs risques potentiels issus à la fois d’observations de terrain et des connaissances acquises ont été clairement identifiés. Les exosquelettes, portés sur tout ou partie du corps, peuvent se révéler inefficaces dans leur rôle premier de réduire la charge physique s’ils ne sont pas adaptés à leur utilisateur et à la situation de travail.

Risques en lien avec la charge mentale de travail. Les salariés aux carrières précaires plus exposés aux risques psychosociaux. "À métier identique, les hommes et les femmes aux carrières précaires déclarent être davantage exposés aux risques psychosociaux que ceux aux carrières stables", à cause notamment de "tensions" avec leur entourage professionnel, indique le service statistique du ministère du Travail. Avec "des périodes de chômage et d'inactivité de longue durée", des parcours "descendants" et "des changements d'emploi assez fréquents", ces carrières précaires concernent davantage les femmes (68% des salariés précaires) que les hommes (32%) et "plus souvent des personnes peu diplômées et ayant une santé altérée".

À l'inverse, 35,4% des salariés connaissent des parcours stables, changeant peu ou pas d'emploi, sans aléas de carrière. On y compte 55% d'hommes et 45% de femmes. Ils sont parmi les plus diplômés: 40% ont au moins un niveau bac +2, contre seulement 26% des salariés précaires et 35% de l'ensemble de la population. Le "vidage de poste", une technique de harcèlement de plus en plus utilisée. On connaissait la mise au placard. Curieusement, cette pratique qui fleure bon les années soixante dix connaîtrait un certain regain. Malgré la crise. Ou à cause de la crise, précisément. Un cabinet de conseil aux salariés, l’Institut du salarié, attire l’attention sur la montée d’un phénomène : le vidage de poste.

Le salarié se voit petit à petit retirer ses responsabilités. Une forme de harcèlement pour pousser à la démission, ou à la demande d’une rupture conventionnelle. Dans une position de faiblesse. Le cabinet a étudié cent cas de vidage de poste. Dans un position de faiblesse, déstabilisé par cette guerre des nerfs qui dure le plus souvent entre trois et six mois, la plupart des salariés finissent par chercher un accord avec l’entreprise pour partir. Il faut alors constituer un dossier, qui atteste le changement d’organigramme, la baisse du nombre de mails, les pertes de mission et le fait de ne plus être invité aux réunions.

Burn out

Où en est l'absentéisme en entreprise ? Ludovic Gautret, Toujours quasiment au même taux, l'absentéisme n'évolue pas dans les entreprises privées françaises. Les raisons principales sont les arrêts maladies et les accidents du travail... (Boursier.com) — Comme lors des deux années précédentes, le taux d'absentéisme en entreprise n'a pas beaucoup évolué.

Selon les chiffres du baromètre Ayming publié par le Figaro, les pointages des salariés n'ont pas évolué ces dernières années... Les femmes sont plus absentes que les hommes En 2015, les salariés des entreprises du secteur privé avaient manqué 16,6 jours dans l'année. Le taux d'absentéisme est, selon les révélations du Figaro, de 4,59% en 2016, mais très différents en fonction du secteur d'activité. Un absentéisme très coûteux Sans surprise, le taux d'absentéisme évolue avec l'âge, mais également en fonction des régions. En 2015, le taux d'absentéisme avait coûté 60 milliards d'euros aux entreprises. . ©2017, Boursier.com. Documentaire Pédagogique - Les Risques Psychosociaux. Intérim : quand le compte épargne temps sert d’outil d’optimisation sociale. Dessin animé sur le travail & l'amélioration des conditions de travail | Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (Anact)

Risques professionnels

TMS. INRSFrance. ARACT Languedoc-Roussillon. 2016.12.12 baro absenteisme 2016. Le taux d'absentéisme reste stable dans le secteur privé en France. Un peu plus de deux semaines d'absences par an. Si l'on en croît les résultats du baromètre établi par la société de conseil Ayming avec AG2R La Mondiale ce mercredi, l'absentéisme dans les entreprises du privé est toujours aussi stable. En 2016, le taux d'absence des salariés s'est établi en moyenne à 4,59%, contre 4,55% en 2015. Ce pourcentage correspond à 17 jours d'absence par an, et se base sur des données de 82.000 entreprises, représentant près 1,7 million de salariés. Il est calculé en fonction du temps d'absence, comparé au temps travaillé, et regroupe aussi bien les congés maternité/paternité, les événements familiaux, les formations, les grèves, ou les arrêts maladies et les accidents du travail.

Toutefois, ce pourcentage révèle des disparités significatives entre les différents secteurs d'activité. Ainsi, l'absentéisme serait plus important dans le secteur des services (5,48%), ou dans celui de la santé (5,04%), que dans l'industrie et le BTP par exemple (3,43%). EDF : un suicide reconnu maladie professionnelle. EDF : un suicide reconnu maladie professionnelle ût 2004, Dmnq Ptvynck, n tchncn sprr d l cntrl nclr d Chnn mttt fn ss jrs. DF dplrt lrs trs scds sr l mêm st n mns d sx ms.

L CGT dnnçt n «srchrg d trvl» ffctnt, sln n nqêt ntrn, l mrl d «33 % ds slrs d l cntrl». L fmll Ptvynck dps n rcrs dvnt l trbnl ds ffrs scls d Trs pr q l scd d ct hmm d 49 ns st rcnn cmm n mld prfssnnll t nn cmm n ccdnt d trvl. Cnfrmmnt x vs d dx cmts rgnx d rcnnssnc ds mlds prfssnnlls, l trbnl trnch n fvr ds plgnnts. «nxt».ty dns n xps d’n vngtn d pgs, l jgmnt xplq q «l dprssn dnt sffrt vnt sn dcès Dmnq Ptvynck tt ssntllmnt cs pr sn trvl hbtl», rlvnt «l prsnnlt scrpls d l’ntrss, gnrtrc d’nxt, vc n très grnd nvstssmnt prfssnnl». L jg tn cmpt ds plnts d slr, q vt, plsrs rprss, ft prt d «s lsstd t d sn nv d prtr».

Risques psychosociaux. Ce qu’il faut retenir - Risques. Sous l’effet des mutations du monde du travail telles que la complexité grandissante des tâches, la réduction des temps de repos, l’individualisation du travail ou encore les exigences accrues de la clientèle, la prise en compte des risques psychosociaux est devenue incontournable. Les risques psychosociaux (RPS) correspondent à des situations de travail où sont présents, combinés ou non : du stress : déséquilibre entre la perception qu’une personne a des contraintes de son environnement de travail et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face ; des violences internes commises au sein de l’entreprise par des salariés : harcèlement moral ou sexuel, conflits exacerbés entre des personnes ou entre des équipes ; des violences externes commises sur des salariés par des personnes externes à l’entreprise (insultes, menaces, agressions…).

Ce sont des risques qui peuvent être induits par l’activité elle-même ou générés par l’organisation et les relations de travail. Maladie professionnelle : principes | ameli.fr. EDF2010 BilanSocial vf. Amiante. Maladies professionnelles - Risques. La forte croissance du nombre de maladies professionnelles reconnues tient notamment aux pathologies induites par l'amiante, en particulier le cancer broncho-pulmonaire et le mésothéliome (cancer du mésothélium de la plèvre), tous les deux très graves. Compte tenu du long délai qui s'écoule entre l'exposition à l'amiante et les cancers qui peuvent en résulter (jusqu'à 40 ans), le nombre de décès par cancers imputables à l'amiante est toujours en phase de croissance mais tendrait à atteindre un palier.

Le nombre de déclarations de pathologies bénignes de la plèvre est quant à lui en phase de décroissance depuis 2010. Cela peut s'expliquer par la mise en place d’une réglementation spécifique à la prévention du risque amiante depuis 1997, notamment l’effet de l’abaissement des valeurs limites d’exposition professionnelle et l’interdiction de l’amiante. Quant aux cas d'asbestose, ils sont en nombre relativement constant depuis 2000. Suivi médical Réparation Pour en savoir plus.