background preloader

CULTURE - CULTURE INFORMATIONNELLE - PRATIQUES CULTURELLES JEUNE

Facebook Twitter

La Société du spectacle (livre) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La Société du spectacle est un essai de Guy Debord publié initialement le 14 novembre 1967 chez Buchet/Chastel. Le livre connut un retentissement considérable après les événements de Mai 68. L'ouvrage est composé de 221 « thèses » et subdivisé en neuf chapitres comme suit : I. « la séparation achevée »II. « la marchandise comme spectacle »III. « unité et division dans l'apparence »IV. « le prolétariat comme sujet et comme représentation »V. « temps et histoire »VI. « le temps spectaculaire »VII. « l'aménagement du territoire »VIII. « la négation et la consommation dans la culture »IX. « l'idéologie matérialisée » Le livre est agencé comme un essai politique et vise à exposer son sujet de manière assertive. En effet, Debord ne cherche pas à démontrer ni même à convaincre, mais à montrer. Il rejoint ainsi la conception de Marx en disant que la philosophie doit trouver sa réalisation et non plus sa discussion[1].

FRANCE rapport 2014. B. pierrat. bibliographie eam emi. Cprospective09 1. Texte hersent rouen. Pour un humanisme numérique. Le livre de Milad Doueihi, La grande conversion numérique 1, a connu un tel retentissement que, privilège rare pour ce genre d’ouvrage, il est désormais disponible en poche. Il faut dire que son auteur, au départ historien des religions, a su aborder le sujet, largement rebattu, avec un autre regard, puisant dans une culture immense des considérations nouvelles, qu’il a récemment prolongées dans un nouveau livre, Pour un humanisme numérique 2.

La journée organisée par le Labo de la Bibliothèque nationale de France le 10 janvier 2012, et qui portait le même titre, proposait, elle aussi, d’amplifier la réflexion, autour de trois tables rondes habilement menées, qui tirèrent parfois à hue et à dia le sujet – pour notre plus grand plaisir. Milad Doueihi essaya en préambule d’expliquer ce que c’est que l’humanisme numérique. Tâche ardue, car l’informatique est avant tout une science, transformée en industrie, puis en culture, paradigme entièrement nouveau en épistémologie. SensPublic MVitaliRosati Milad Doueihi. Instruction, éducation et transmission entre générations. Mon propos, dans les pages qui suivent, est de resituer le rôle de l’école dans le cadre des relations entre générations, ce qui me conduira à distinguer entre éducation et instruction, et à souligner le fait que l’éducation, la socialisation constituent une base nécessaire pour l’acquisition de connaissances [1][1] Ces réflexions s’appuient sur mes recherches en anthropologie....

La relation entre ce propos et les préoccupations du MAUSS est assez évidente. L’être humain, comme on sait, se constitue sur la base d’une double transmission, génétique et culturelle. La transmission de connaissances par l’enseignement ne constitue qu’une part des connaissances qu’acquiert un enfant (il assimile également des connaissances à travers la vie quotidienne). Et les connaissances ne constituent elles-mêmes qu’une partie de la transmission culturelle intergénérationnelle : l’enfant assimile également, par mimétisme, des manières d’être, des pratiques relationnelles et des savoir-faire.

Etudes - Programme de travail « Education artistique et culturelle en France et en Allemagne – une approche comparée » Kulturelle Bildung et éducation artistique et culturelle sont considérées aussi bien en Allemagne qu’en France comme des missions importantes pour l’avenir d’une politique éducative et culturelle réussie. Dans les deux pays, les différents concepts de médiation culturelle, Kulturvermittlung, éducation artistique et culturelle, kultureller Bildung, sont discutés et éprouvés depuis plusieurs années déjà. Certains questionnements comme l’accès de tous aux arts et au patrimoine ou encore le rôle de l’art et de la culture dans le développement des individus et la construction du lien social sont des sujets communs aux deux débats.

Les priorités et les méthodes ne sont pas les mêmes, en partie en raison de systèmes politiques et éducatifs très différents mais aussi de définitions différentes des termes art et culture. Un colloque de recherche franco-allemand a eu lieu sur ce thème du 3 au 5 novembre 2011 au Château de Genshagen (Allemagne). Mémoire, Histoire, Oubli. Quelle culture sur le socle. Sauf à rester dans des jeux stériles d’opposition entre utilitarisme et encyclopédisme, réfléchir sur le socle nécessite de reconnaitre les différentes dimensions que comprend nécessairement un curriculum. Le socle commun de connaissances et de compétences s’est vu complété dans la loi de refondation par le terme de « culture ». Le Conseil supérieur des programmes a tenté de donner une substance à cette nouveauté, en mettant au centre de ses recommandations le concept de « culture commune ». On peut penser qu’il ne s’agit en l’occurrence que de concessions faites à ceux qui pensent, pour des raisons diverses, que le principe même de socle commun pose problème.

On peut aussi avancer que la difficulté de l’exercice même du socle commun consiste à répondre de façon unique à des questions différentes. En trois dimensions Le curriculum, dans chaque pays, possède en effet plusieurs dimensions. Culture et disciplines scolaires Sur la librairie. Zakhartchouk. 221 education et culture paul inchauspe. Une culture pour la société de l'information ? Position théorique, définition, enjeux. Claude Baltz Volume 35, N° 2, paru le 1 mars 1998, page(s) 75-82 Présentation de l'article La définition et les conséquences d'une culture spécifique liée à la "société de l'information" était le thème d'une récente journée d'étude intitulée "Pour une culture informationnelle".

En introduction à cette manifestation, et pour en fixer le cadre théorique et conceptuel, Claude Baltz devait insister sur la nécessité qui se fait actuellement sentir d'"analyser notre rapport à l'information, à la communication, et à un environnement de plus en plus structuré par leurs technologies".

La société d'information est en effet bien autre chose que la résultante mécanique de la seule accumulation de technologies, et elle ne prendra sa véritable dimension qu'avec l'apparition d'une culture spécifique, aux contours et aux contenus encore mal dessinés. Après avoir évoqué les multiples représentations réductrices que l'on peut se faire de cette culture, l'orateur a présenté quelques-uns des n? Lire l'article. Pratiques culturelles chez les jeunes et institutions de transmission : un choc de cultures ?

Notes Chargée d’études au deps. Au total, comme le signale Olivier Donnat, on distingue trois générations dans leur rapport aux nouvelles technologies. « Celle des moins de 25 ans qui se sont massivement emparés de ce nouveau moyen de distraction, de communication et d’accès à l’information apparu alors qu’ils n’avaient pas encore atteint l’âge adulte ; celle des 25-55 ans qui l’ont aussi assez largement intégré dans leur univers de loisir, d’autant plus facilement que beaucoup d’entre eux avaient eu l’occasion de le découvrir dans le cadre professionnel ou par l’intermédiaire de leurs enfants ; celle enfin des retraités qui sont restés assez largement à l’écart du processus d’équipement » (Olivier Donnat, Pratiques culturelles et usages de l’internet, Paris, deps, Ministère de la Culture et de la Communication, coll. « Culture études », 2007-3). Hervé Glevarec, Libre Antenne. La réception de la radio par les adolescents, Paris, Armand-Colin/ina, 2005.

Octobre.