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Communs

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Sans titre. Sans titre. Practice Article Authors: Charlie Schweik , University of Massachusetts Amherst, US About Charlie My research focus is on public sector information technology, environmental management and policy, and the intersection of these domains.

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X close Jeremy Smith, About Jeremy Jeremy Smith is the Digital Projects Manager at the University of Massachusetts Amherst. Abstract INTRODUCTION An estimated 53% of the world’s population do not have Internet access. DOI: How to Cite: Schweik, C., Smith, J. and Meyer, C., 2018. Views Downloads. Telecom reclaimed web double page. Sans titre. Sans titre. Cette instance de l'édition communautaire de Gitlab vous est proposée par Framasoft dans le cadre de son opération « Dégooglisons Internet » et est soumise à acceptation des Conditions Générales d'Utilisations.

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Sans titre. Préambule Le numérique facilite la collaboration en invitant les organisations provenant de tout secteur confondu, à se rapprocher sous ce langage commun.

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Ainsi, la transformation numérique des organisations les amène à entrer dans une démarche d’ouverture et de collaboration, facilitée par le perfectionnement d’outils de travail collaboratif. Toutes les organisations sont naturellement amenées à s’ouvrir vers l’extérieur afin de développer en interne des projets créés à l'extérieur, et réciproquement de valoriser à l’extérieur des projets initiés en interne. Pour toutes ces raisons, des acteurs de secteurs très divers s'intéressent aujourd'hui de près aux modèles ouverts. Conscients qu’ils ne peuvent plus maintenir leur compétitivité en innovant seuls, ils souhaitent aborder le marché sous un angle nouveau.

Sans titre. Sans titre. Framagit Cette instance de l'édition communautaire de Gitlab vous est proposée par Framasoft dans le cadre de son opération « Dégooglisons Internet » et est soumise à acceptation des Conditions Générales d'Utilisations du réseau Framasoft et des conditions spécifiques à Framagit.

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Attention, pour cause de spam récurrent, nous avons bloqué l’accès à Framagit des pays suivants : Leurs Communs numériques ne sont (toujours) pas les nôtres ! En 2017, j’ai déjà écrit un billet intitulé : « Les biens communs d’Emmanuel Macron ne sont pas les nôtres !

Leurs Communs numériques ne sont (toujours) pas les nôtres !

« . Quelques mois après son accession à la fonction présidentielle, Macron s’était en effet essayé à glisser régulièrement des allusions aux « biens communs » dans ses discours, notamment au sujet de sa stratégie en matière de numérique. Mais il le faisait en donnant à cette expression un sens très différent de celui employé par les militants des Communs numériques et j’avais éprouvé alors le besoin de rappeler quelques fondamentaux… Depuis, les tentatives de récupération politique des Communs se sont multipliées, à tel point que le Commons Washing semble en passe de devenir un nouveau sport national. Les « biens communs » d’Emmanuel Macron ne sont pas les nôtres ! Il fallait bien que cela finisse par arriver… Emmanuel Macron s’est emparé du vocabulaire des biens communs, lors du sommet européen qui s’est tenu à Tallinn la semaine dernière.

Les « biens communs » d’Emmanuel Macron ne sont pas les nôtres !

Il a prononcé à cette occasion un discours pendant une conférence de presse pour présenter une stratégie sur le numérique pour l’Union européenne, articulée autour de quatre piliers. Or le troisième de ces piliers porte précisément sur le « financement des biens communs » (cliquez ici pour voir la vidéo à partir de 9.12 minutes). Voici la transcription de cette partie du discours telle qu’on la trouve sur le site de l’Elysée : Sur quoi reposent nos infrastructures numériques ? - OpenEdition Press. Aujourd’hui, la quasi-totalité des logiciels couramment utilisés sont tributaires de code dit « open source », créé et maintenu par des communautés composées de développeurs et d’autres talents.

Sur quoi reposent nos infrastructures numériques ? - OpenEdition Press

Ce code peut être repris, modifié et utilisé par n’importe qui, entreprise ou particulier, pour créer ses propres logiciels. Partagé, ce code constitue ainsi l’infrastructure numérique de la société d’aujourd’hui… dont les fondations menacent cependant de céder sous la demande ! En effet, dans un monde régi par la technologie, qu’il s’agisse des entreprises du Fortune 500, du Gouvernement, des grandes entreprises de logiciel ou des startups, nous sommes en train d’accroître la charge de ceux qui produisent et entretiennent cette infrastructure partagée. Or, comme ces communautés sont assez discrètes, les utilisateurs ont mis longtemps à en prendre conscience.

Tout comme l’infrastructure matérielle, l’infrastructure numérique nécessite pourtant une maintenance et un entretien réguliers. Pour une économie politique des Communs. Les "Communs" reviennent en force dans le débat public.

Pour une économie politique des Communs

Avec une force qui mérite qu'on creuse un peu cette notion, même si elle devient l'un des buzzwords que la toile affectionne. Les "Communs" avaient été un peu oubliés depuis quelques décennies. Malgré les travaux essentiels de l’économiste Elinor Ostrom, qui lui avaient valu un prix de la banque de Suède en matière d'économie (le "prix Nobel" d'économie), la sentence de Garett Hardin sur la "tragédie des communs" semblait définitive, dans un monde simplifié par une vulgate néolibérale assez prompte à sauter sur des conclusions rapides. En matière de communs, le travail de l’économiste Elinor Ostrom est incontournable. CAHIER FDD 69. La Culture est-elle « structurellement » un bien commun. Au début du mois, Henri Verdier, l’administrateur général des données de l’Etat et directeur de la DINSIC, a publié un billet important sur son blog, intitulé : «La Silicon Valley est-elle en passe de devenir la capitale de la culture ?».

La Culture est-elle « structurellement » un bien commun

Il y analyse les mécanismes qui ont placé les grands acteurs américains du numérique, type Google, Amazon, Facebook ou Netflix, en situation de quasi-hégémonie sur le plan culturel au niveau mondial. Mais c’est la conclusion de son billet qui attire tout particulièrement l’attention, car pour contrecarrer cette emprise grandissante des GAFAM, il appelle à une convergence entre le monde de la Culture et celui des Communs numériques : Outre le fait que l’on trouve en France bien peu de personnages officiels pour tenir ce type de discours d’ouverture, j’ai trouvé particulièrement intéressante la manière dont Henri Verdier fait un détour par le droit pour justifier le rapprochement entre Culture et Communs. Sans titre. Ni bien privé, ni bien public, un « commun » c’est : une ressource gérée par une communauté de partage qui s’auto-organise pour placer cette ressource en bien commun, en gérer les conditions d’accès, et pour la protéger contre les différents risques qui la menacent.

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Penser les communs du numérique c’est se donner le pouvoir de penser collectivement la culture numérique et la transmission des connaissances, se donner le droit de décider et d’agir socialement sur l’environnement informationnel de demain. Pour plus d’information sur cette notion lire : le blog Savoirs Com1 : « Politique des Biens communs de la connaissance » et le manifeste qui définit entre autres ce que sont les biens communs informationnels :"Biens communs qui peuvent être créés, échangés et manipulés sous forme d’information, et dont les outils de création et le traitement sont souvent eux-mêmes informationnels (logiciels). Biens communs numériques. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois exemples de communs numériques Les biens communs numériques correspondent à l'ensemble des ressources numériques produites et gérées par une communauté. Sans titre. Biens publics et biens communs[modifier]

Sans titre. Environnement. Elinor Ostrom ou la réinvention des biens communs, par Hervé Le Crosnier (Les blogs du Diplo, 15 juin 2012) La théorie des biens communs, ou plus précisément des « communs », suivant le terme anglais commons, qui est plus général et moins focalisée que la traduction française actuellement utilisée, a connu plusieurs périodes : les études historiques, l’analyse du fonctionnement des communs naturels et la construction des communs du numérique.

Elinor Ostrom et l’approche institutionnelle de l’économie politique des communs est essentielle dans ce parcours pour comprendre le renouveau de l’étude des communs et l’apparition de mouvements sociaux qui se revendiquent de la défense ou de la construction des communs. Leçons de l’histoire L’histoire de l’Angleterre et du mouvement des enclosures, qui opposa très violemment les pauvres des campagnes aux propriétaires terriens entre le XIIIe et XVIIe siècle a été la première incarnation des analyses et des mouvements sur les communs. De la tragédie à l’écologie. Des communs numériques pour l'émancipation et l'action. Vendredi, dans le cadre du sommet du Partenariat pour un gouvernement ouvert, je participerai à une table ronde avec Claire Legros, Yann Moulier Boutang et Bernard Stiegler sur les Communs numériques.

Les Communs, c'est un terme en vogue, avec tous les risques qui s'attachent aux buzzwords dans notre société de communication. J'y avais consacré un petit travail avec Charles Murciano, que j'ai présenté sur ce blog au début de l'année. C'est aussi un terme qui fait peur à ceux qui ne le comprennent pas, les uns craignant que tout cela ne conduisent à une sorte de nationalisation du numérique, les autres craignant que cela ne remette en cause le droit d'auteur, d'autres ne comprenant tout simplement pas pourquoi il faudrait ainsi créer de nouvelles catégories juridiques.

Dans l'ordre de l'opérationnel, pourtant, les choses sont assez claires. L'histoire est ancienne, mais elle est encore plus nette en matière de numérique. La Silicon Valley est-elle en passe de devenir la capitale de la culture ? En quelques années, l'économie numérique a établi son hégémonie sur les industries culturelles. Netflix représente désormais plus de 90 % de la consommation de video on demand aux Etats-Unis, 63 % du temps passé par les 2,3 millions de Français abonnés aux offres légales, et tâte désormais avec succès à la production.

Amazon écrase la vente de livres. L'audience de la presse vient massivement de Google et Facebook (et un peu Apple désormais) et est déterminé par des algorithmes bien précis. Sans titre.