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DOSSIER COGNITION

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Web des données. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Web des données (Linked Data, en anglais) est une initiative du W3C (Consortium World Wide Web) visant à favoriser la publication de données structurées sur le Web, non pas sous la forme de silos de données isolés les uns des autres, mais en les reliant entre elles pour constituer un réseau global d'informations. Il s'appuie sur les standards du Web, tels que HTTP et URI - mais plutôt qu'utiliser ces standards uniquement pour faciliter la navigation par les êtres humains, le Web des données les étend pour partager l'information également entre machines. Cela permet d'interroger automatiquement les données, quels que soient leurs lieux de stockage, et sans avoir à les dupliquer[1]. Tim Berners-Lee, directeur du W3C, a inventé et défini le terme Linked Data et son synonyme Web of Data au sein d'un ouvrage portant sur l'avenir du Web sémantique[2].

Principes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Linked Open Data. WikiMindMap. Base de données hiérarchique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une base de données hiérarchique est une base de données dont le système de gestion lie les enregistrements dans une structure arborescente où chaque enregistrement n'a qu'un seul possesseur. Par exemple, le canard appartient à la famille des anatidés qui elle-même appartient à l'ordre des ansériformes qui lui-même appartient à la classe des oiseaux qui elle-même appartient au sous-embranchement des vertébrés qui lui-même appartient au règne animal.

Les structures de données hiérarchiques ont été largement utilisées dans les premiers systèmes de gestion de base de données de type mainframe. Elles ont toutefois montré des limites pour décrire des structures complexes, répondre aux besoins réels et suivre l'évolution des systèmes d'information. Cette évolution nécessaire donnera naissance aux bases de données relationnelles. Termes employés[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] CODASYL Portail des bases de données. Ontologie (informatique) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Par analogie, le terme est repris en informatique et en science de l'information, où une ontologie est l'ensemble structuré des termes et concepts représentant le sens d'un champ d'informations, que ce soit par les métadonnées d'un espace de noms, ou les éléments d'un domaine de connaissances.

L'ontologie constitue en soi un modèle de données représentatif d'un ensemble de concepts dans un domaine, ainsi que des relations entre ces concepts. Elle est employée pour raisonner à propos des objets du domaine concerné. Plus simplement, on peut aussi dire que l' « ontologie est aux données ce que la grammaire est au langage ». L'objectif premier d'une ontologie est de modéliser un ensemble de connaissances dans un domaine donné, qui peut être réel ou imaginaire.

Les ontologies informatiques sont des outils qui permettent précisément de représenter un corpus de connaissances sous une forme utilisable par un ordinateur. Notes. Prise de décision. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La prise de décision est un processus cognitif complexe visant à la sélection d'un type d'action parmi différentes alternatives. Chaque processus de la prise de décision produit un choix final.

Le résultat peut être une action ou une opinion d’un choix. La prise de décision[modifier | modifier le code] La prise de décision concerne tout organisme vivant doté d'un système nerveux. Elle intéresse chaque individu et chaque groupe. Il s'agit d'une méthode de raisonnement pouvant s'appuyer sur des arguments rationnels et/ou irrationnels. Ce processus est activé lorsque nous ressentons le besoin d'agir sans savoir comment diriger notre action. La prise de décision rationnelle est un aspect important des professions scientifiques. La vie quotidienne est pleine de situations faisant appel à la prise de décision : organiser son week-end, faire les courses, voter, etc. La théorie étudiant la prise de décision est la théorie de la décision.

Portail du droit. Philosophie du langage. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Ménines de Diego Velázquez (1657). « Mais le rapport du langage à la peinture est un rapport infini (...) Ils sont irréductibles l'un à l'autre: on a beau dire ce qu'on voit, ce qu'on voit ne loge jamais dans ce qu'on dit, et on a beau faire voir, par des images, des métaphores, des comparaisons, ce qu'on est en train de dire, le lieu où elles resplendissent n'est pas celui que déploient les yeux, mais celui qui définissent les successions de la syntaxe. Or le nom propre, dans ce jeu, n'est qu'un artifice: il permet de montrer du doigt, c'est-à-dire de passer subrepticement de l'espace où l'on parle à l'espace où l'on regarde, c'est-à-dire de les refermer commodément l'un sur l'autre comme s'ils étaient adéquats (...)

Peut-être y a-t-il, dans ce tableau de Velázquez, comme la représentation de la représentation classique, et la définition de l'espace qu'elle ouvre. » Michel Foucault, Les mots et les choses, introduction. Schème (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le schème est une structure ou organisation des actions telles qu'elles se transforment ou se généralisent lors de la répétition de cette action en des circonstances semblables ou analogues[1]. Il s'agit d'un noyau ou squelette de savoir-faire, adaptable à un grand nombre de situations. Cette construction propre n'est donc pas un pur automatisme car elle est adaptable.

Les unités élémentaires de l'activité intellectuelle ne sont pas des sensations, des perceptions ou des actions mais des schèmes. Par exemple, le schème d'une action est l'ensemble structuré des caractères généralisables de l'action, c’est-à-dire qui permettent de répéter la même action ou de l'appliquer à de nouveaux contenus[2] : Schème de réunions : l'enfant rassemble des cubes/classe les gommettes...Schème de succion.Schème réflexes. Les schèmes se transforment en devenant plus généraux (exemple : succion d'autres objets), plus nombreux et donc deviennent plus « mobiles ».

Schème (philosophie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un schème (du grec σχῆμα (skhêma) "esquisse") est, dans la philosophie d'Emmanuel Kant, un procédé ou moyen par lequel un concept pur devient effectif par l'implication d'une intuition. Selon Kant, il est possible de distinguer : Le schème de la quantité est le nombre.Le schème pur de la réalité est sensation et renvoie à ce dont le concept implique une existence dans le temps.Le schème de la substance est la permanence du réel dans le temps.Le schème de la cause est la succession réglée;Le schème de la communauté est la simultanéité réglée.Le schème de la possibilité est l'accord de la synthèse des représentations avec les conditions du temps.Le schème de la nécessité est l'existence en tous temps.

Portail de la philosophie. Jean Piaget. Jean Piaget en 1967-1968. Jean Piaget, né le 9 août 1896 à Neuchâtel et mort le 16 septembre 1980 à Genève, est un biologiste, psychologue, logicien et épistémologue suisse connu pour ses travaux en psychologie du développement et en épistémologie à travers ce qu'il a appelé l'épistémologie génétique (ou structuralisme génétique). Ses travaux apportent un éclairage sur l'« intelligence », comprise comme une forme spécifique de l'adaptation du vivant à son milieu, sur les stades d'évolution de celle-ci chez l'enfant et sa théorie de l'apprentissage. Cet éclairage exercera une influence notable sur la pédagogie et les méthodes éducatives[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Jean Piaget est le fils aîné d'Arthur Édouard Piaget (1865-1952), professeur de littérature médiévale, et de la française Rebecca Susanne Jackson (1872-1942)[2], fille de William Fritz Jackson (petit-fils de James Jackson).

Son intérêt pour les mollusques se développe après l'adolescence. Estimations : Concept. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les différents philosophes ne sont pas nécessairement d'accord sur ce qu'est exactement un concept, au-delà de cette définition générale, bien que des lignes centrales puissent être dessinées.

Ainsi, un concept est souvent une idée générale (le concept de chien rassemble tous les chiens existants et possibles), mais pas nécessairement (chez Leibniz, la notion complète exprime la substance individuelle et ne correspond qu'à elle ; par ailleurs, un nom propre peut être considéré, selon certaines théories philosophiques, comme exprimant le concept d'un individu[1]). Sens étendu[modifier | modifier le code] Par extension (et, selon plusieurs, par abus), on désigne comme concept toute idée, le plus souvent commerciale, plus ou moins novatrice. Le concept dans la philosophie du langage[modifier | modifier le code] Au XXe siècle, Frege et Carnap, opposés au « psychologisme », préféraient considérer les concepts comme des entités abstraites[3].

Percept. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un percept est la forme perçue d'un stimulus externe ou de son absence. Le terme est principalement utilisé en philosophie et en psychologie comme un sense data (en) pour expliquer la perception. Il est important de distinguer le percept du stimulus ou de son absence. Les stimuli ne sont pas nécessairement convertis en percepts ; en fait, un seul stimulus ne le devient que rarement. En outre, l'absence de stimuli adéquats à une situation donnée peut donner lieu à de multiples percepts, éprouvés à la suite et de façon aléatoire, comme dans certaines illusions sensorielles.

Un percept associe également les stimuli liés à différents sens dans un ensemble cohérent. En philosophie, l'ambiguïté du stimulus est commentée par Ludwig Wittgenstein dans ses Investigations philosophiques (1953) et Rudolf Arnheim dans Art et perception visuelle : Une psychologie de l'œil créateur. Notes et références[modifier | modifier le code] Catégorisation. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La catégorisation est une activité mentale qui consiste à placer un ensemble d'objets dans différentes catégories (classes, types, taxons) en fonction de leurs similarités ou de critères communs. Il s'agit d'un processus cognitif fondamental dans la perception et la compréhension de concepts et d'objets, dans la prise de décision et dans toutes les formes d'interaction avec l'environnement[1]. Une catégorie cognitive est un ensemble d’objets « considérés comme équivalents » [réf. nécessaire], d'une certain point de vue, par l’individu.

Si catégorisation et classification sont à la base synonymes, le terme « classification » s'applique essentiellement aux processus et structures mathématiques ou techniques permettant la catégorisation, tandis que le terme « catégorisation » s'applique plutôt aux aspects psychologiques et au concept lui-même [réf. nécessaire]. Principe de catégorisation[modifier | modifier le code] ↑ M. I. Gestion des connaissances. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé.

Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. Les entreprises, les scientifiques ou même les particuliers sont maintenant obligés d'appliquer une stratégie dans le traitement et la transmission de l'information dans les activités de tous les jours : voter, travailler, chercher un emploi, gagner des marchés, etc. D'après des praticiens et des académiciens tels que R. C. Tisseyre[2], Larry Prusak[3], J.Y. SI MARIÉ(? Carte heuristique. Carte heuristique dessinée pendant un exposé.

Une carte heuristique[1], carte cognitive, carte mentale[2], carte des idées ou encore schéma heuristique, est un schéma supposé refléter le fonctionnement de la pensée, qui permet de représenter visuellement et de suivre le cheminement associatif de la pensée. Le terme anglais mind map est également parfois utilisé en français. Cela permet de mettre en lumière les liens qui existent entre un concept ou une idée, et les informations qui leur sont associées. La structure même d'une carte heuristique est en fait un diagramme qui représente l'organisation des liens sémantiques entre différentes idées ou des liens hiérarchiques entre différents concepts.

À l'inverse du schéma conceptuel (ou « carte conceptuelle »[3]), les cartes heuristiques offrent une représentation arborescente de données imitant ainsi le cheminement et le développement de la pensée. Origine[modifier | modifier le code] Mise en œuvre[modifier | modifier le code] Mémoire (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Mémoire. Les formes et fonctions de la mémoire en sciences. En psychologie, la mémoire est la faculté de l'esprit permettant de stocker, conserver et rappeler les expériences passées, des informations ou encore des gestes. C'est un domaine qui est traité par différentes approches : cognitivistes, comportementaliste, psychanalytique et en neuropsychologie. Pyramide des 5 systèmes de mémoires Le courant cognitiviste classique regroupe habituellement sous le terme de mémoire les processus d'encodage, de stockage et de récupération des représentations mentales. Beaucoup de recherches sur la mémoire en psychologie cognitive consistent à repérer et à décrire ses différents composants. Le plus influent des modèles structuraux de la mémoire est le modèle modal, qui divise la mémoire en trois sous-systèmes : registre sensoriel, mémoire à court terme et mémoire à long terme.

La mémoire sémantique ;la mémoire épisodique. Représentation mentale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La représentation mentale est une représentation que l'on se fait, par la pensée, d'une projection sensorielle, d'un concept ou d'une situation. Une représentation mentale peut être de l'ordre du réel ou du fictif. Généralités[modifier | modifier le code] La représentation mentale ne doit pas être confondue avec les techniques d'imagerie cérébrale.

Du point de vue du matérialisme identité, une représentation sera un état du système nerveux, ayant des relations avec des objets - états de l'organisme ou environnement. Statut de la représentation[modifier | modifier le code] Les représentations sont variées : images, mémoire, concepts, émotions... Il est également possible de distinguer représentations du monde et représentations de soi. La psychologie cognitive considère que toutes les représentations ne sont pas conscientes, bien que ce point diffère de la notion d' inconscient en psychanalyse.

Informations[modifier | modifier le code] Image mentale. Mémoire sémantique. Cognition. Psychologie cognitive. Processus cognitifs. Ergonomie cognitive. Design de l'information. Sémiotique. Sémantique. Sémiologie graphique.