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Théories et sources diverses

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Grand résumé de Socio-analyse des raisons d’agir. Études sur la liberté du sujet et de l’acteur, Québec, Presses de l’Université Laval, 2010. 1Que la socio-analyse existe depuis plus d’un demi-siècle ne suffit évidemment pas à expliquer pourquoi j’ai, en ce qui me concerne, été amené à m’inscrire dans ce courant de pensée et à y élaborer ma propre démarche.

Grand résumé de Socio-analyse des raisons d’agir. Études sur la liberté du sujet et de l’acteur, Québec, Presses de l’Université Laval, 2010

C’est là le résultat d’un long processus de réflexion, commencé au début des années 1970, sur l’idée de « relation sociale », et inspiré depuis par l’évolution de la sociologie elle-même au cours des vingt ou trente dernières années. Pour des raisons qui me sont encore assez obscures – et qu’il faudra bien que j’élucide un jour ! –, la notion de « relation sociale » est, pour moi, une véritable obsession depuis quarante ans : je n’ai jamais cessé de construire et reconstruire ce concept, avant, pendant et après toute recherche empirique. 4C’est ici qu’intervient l’évolution culturelle de nos sociétés. 5C'est par la socio-analyse, démarche sociologique qui situe l’individu-sujet-acteur-libre au cœur de son approche, que je cherche à éclairer cette boîte noire.

La théorie des représentations sociales. La représentation sociale [2] est un mode spécifique de connaissance.

La théorie des représentations sociales

Dans un groupe social donné, la représentation d’un objet correspond à un ensemble d’informations, d’opinions, et de croyances relatives à cet objet. La représentation va fournir des notions prêtes à l’emploi, et un système de relations entre ces notions permettant aussi, l’interprétation, l’explication, et la prédiction. Travailler sur une représentation, c’est : « observer comment cet ensemble de valeurs, de normes sociales, et de modèles culturels, est pensé et vécu par des individus de notre société ; étudier comment s’élabore, se structure logiquement, et psychologiquement, l’image de ces objets sociaux ». Herzlich (1969).

Qu’est que la représentation sociale ? C’est à un sociologue Français que l’on doit l’invention du concept de représentation : Durkeim (1898). C’est à Moscovici (1961), que l’on doit reprise et renouveau des acquis Durkeimiens. Les constituants de la représentation sociale En conclusion. Interaction (sciences sociales) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Interaction (sciences sociales)

Une interaction est un échange d'information, d'émotion ou d'énergie entre deux agents au sein d'un système. C'est une action réciproque qui suppose l'entrée en contact de sujets. "[...] Les interactions sont des actions réciproques modifiant le comportement ou la nature des éléments, corps, objets, phénomènes en présence ou en influence. " (Edgar Morin, 1977, p. 51[1]) Il est possible de définir l'interaction sociale chez les hommes comme une « relation interhumaine par laquelle une intervention verbale ou une attitude, une expression significative ou une action provoquent une action en réponse, qui retentit sur l'initiateur (échanges). » [réf. nécessaire] Celle-ci est fondamentale pour les individus et favorise les processus de neurogenèse[3]. Préjugés & Stéréotypes. Communication. Le dialogue est une forme de communication orale avec échange.

Communication

Hlddc.pdf (Objet application/pdf) Rationalité limitée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rationalité limitée

La rationalité limitée est un concept utilisé en sociologie et en micro-économie. Théorie de l'acteur stratégique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Théorie de l'acteur stratégique

La théorie de l'acteur stratégique a été élaborée par Michel Crozier et Erhard Friedberg au cours des années 1970. Il s'agit d'une théorie centrale en sociologie des organisations, développée au sein de l'analyse stratégique. Elle part du constat suivant : étant donné qu'on ne peut considérer que le jeu des acteurs soit déterminé par la cohérence du système dans lequel ils s'insèrent, ou par les contraintes environnementales, on doit chercher en priorité à comprendre comment se construisent les actions collectives à partir de comportements et d'intérêts individuels parfois contradictoires. Au lieu de relier la structure organisationnelle à un ensemble de facteurs externes, cette théorie essaie donc de l'appréhender comme une élaboration humaine, un système d’action concret. Principes[modifier | modifier le code] En outre, le comportement des acteurs s'ajuste au comportement possible d'autrui en fonction des atouts dont il dispose.

Attitude (psychologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Attitude (psychologie)

Pour les articles homonymes, voir Attitude. L'attitude est « l'état d'esprit » d'un sujet (ou un groupe) vis-à-vis d'un autre objet, d'une action, d'un individu ou d'un groupe. Le savoir-être de quelqu'un. C'est une prédisposition mentale à agir de telle ou telle façon. Elle désigne surtout une intention et n'est donc pas directement observable. L'attitude est un concept indispensable dans l’explication du comportement social et une notion nécessaire dans l'explication des réactions devant une tâche. Il existe autant de définitions de la notion d'attitude que d'auteurs. Théorie tri-componentielle des attitudes : Rosenberg et Hovland (1960) Bien que la théorie tri componentielle des attitudes, comme beaucoup d'autres concepts majeurs de la psychologie sociale, fut une idée développée dès le début du siècle, nous nous reposerons sur la description qu'en ont fait Rosenberg et Hovland (1960).