Etes-vous un formateur connectiviste
Comment en prendre compte les changements induits par les technologies de l’information et de la communication électronique (TICE) dans l’acte d’apprendre – et dans celui de former ? Le statut du savoir lui-même n’est il pas modifié ? Telles sont certaines des questions auxquelles le connectivisme ambitionne de répondre. Le connectivisme, une théorie de l’apprentissage pour l’ère numérique Georges Siemens et Stephen Downes sont les deux principaux théoriciens du connectivisme. Les principes fondamentaux en sont les suivants : Une théorie qui fait ressortir une nouvelle conception du savoir, et une nouvelle approche de l’acte d’apprendre Le savoir n’est plus, dans cet approche, « localisable », on ne peut pas le trouver à un endroit précis (dans un manuel, par exemple). Quelles applications pratiques pour la formation ? En reprenant quelques points clés de la vidéo mise en ligne par Patrick, on trouve en quoi les MOCC incarnent la théorie connectiviste :
Blog de M@rcel
Introduction : répondre ou débattre Ce billet portera sur la contribution de deux collègues, Alain Beitone et Margaux Osenda, qui ont publié « La pédagogie inversée : une pédagogie archaïque » (des extraits de cet article seront proposés en bleu ci-dessous) Il ne s’agit pas pour moi de « répondre » à leurs arguments ou de les démonter en tentant de démontrer combien le propos serait incorrect, inapproprié, fallacieux … Je l’ai souvent dit : en matière d’innovation (gardons ce concept pour le moment), il me paraît important de considérer tous les points de vue même ceux envers lesquels, personnellement et subjectivement, on ne peut d’emblée marquer son accord. Je reprendrai donc certains éléments de l’article en question (en bleu), non pas pour les démonter, mais pour les mettre en dialogue (socratique) avec d’autres interprétations permettant ainsi au lecteur de progresser et pourquoi pas d’expérimenter à son tour en praticien réflexif. La classe inversée n’a rien d’innovant ! I.1. I.2.
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Courants pedagogiques & TIC
Les fondations théoriques de la recherche en technologie de l'éducation se sont développées en lien étroit avec trois grands courants pédagogiques qui ont chacun représenté un support de réflexion dans la construction d'un environnement d'apprentissage numérique idéal : le courant béhavioriste qui a mis en évidence l’importance de l’environnement dans l’apprentissage, des feedbacks procurés à l’apprenant et la nécessité d'enseigner des domaines complexes par la décomposition en sous-domaines ; le courant cognitiviste qui a analysé les processus cognitifs mis en œuvre dans les différents types d'apprentissage et les conduites des individus en situation réelle de tâche ; le courant constructiviste qui a donné des pistes pour construire des connaissances en interagissant plus librement avec un environnement d'apprentissage. Le béhaviorisme Le rationalisme ou cognitivisme Le constructivisme et le socio-constructivisme Cette pédagogie est centrée sur le sujet.
Interaction sociale et apprentissage
EO 72280 - Ressources pour les groupes de projets de W. Tessaro Page tutorat Tessaro - Problématique Fondements théoriques Les structures d'interaction Facteurs favorisant les apprentissages Références bibliographiques Allal, L. (1985). Astolfi, J. Bourgeois, E. & Nizet, J. (1997). Brown, J.S., Collins, A. & Duguid, P. (1989). Cohen, E.G. (1994). Damon, W. & Phelps, E. (1989). Doise, W. & Mugny, G. (1981). Gilly, M., Fraisse, J. & Roux, J. Howden, J. & Martin, H. (1997). Pea, R. (1993). Perkins, D.N. (1995). Pléty, R. (1998). Proulx, J. (1999). Rouiller, Y. (1998).
Que signifie vraiment « intégrer les TIC » en pédagogie ?
Posons-nous la question suivante : comment un enseignant qui désire intégrer les technologies à sa pédagogie doit-il procéder ou quelles sont les étapes successives et requises visant à l’intégration des TIC par un enseignant ? Il existe quelques modèles qui nous permettent de bien situer les enseignants à l’égard de l’usage des technologies. Un premier modèle expérientiel global est celui proposé par Morin (2010) dans le cadre de son article intitulé « Ma petite histoire d’intégration des TIC en pédagogie » de la revue Pédagogie Collégiale, VOL 23, Numéro 2 (hiver 2010). Vu sous l’angle d’une progression dans le temps, Morin (2010) nous propose une intégration des TIC en six temps très distincts : « En intégrant les TIC à ma pédagogie, je me suis vite rendu compte que la compétence dans le domaine ne se limite pas à la connaissance des outils technologiques. Nos recherches nous ont permis de trouver quelques ébauches de définitions de l’intégration des TIC en pédagogie.