background preloader

Différenciation pédagogique

Différenciation pédagogique
• 22 % des enseignants en collège, en France, déclarent pratiquer un enseignement différencié, contre 44 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TALIS 2013. • 37 % des enseignants en collège, en France, déclarent avoir co-enseigné au moins à une occasion, contre 58 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TALIS 2013. • 15 % des enseignants de CM1 français déclarent avoir participé « plus d’une fois à une formation continue sur le thème de la gestion des besoins individuels des élèves, dans les deux dernières années », contre 42 % en moyenne dans les pays ayant participé à l’enquête TIMSS 2015.

https://www.cnesco.fr/differenciation-pedagogique/

Related:  Veille documentaire été/septembre 2021Différencier, gérer l'hétérogénéitéjeremiecheApprentissageDifférenciation

Le guide complet de la taxonomie de Bloom En 1956, Benjamin Bloom et ses collaborateurs Max Englehart, Edward Furst, Walter Hill et David Krathwohl ont publié un cadre de catégorisation des objectifs pédagogiques. Intitulé la taxonomie de Bloom, ce cadre a été appliqué par des générations d’enseignants de la maternelle au lycée et par des professeurs d’université dans leurs méthodes d’enseignement. En outre, le cadre élaboré par Bloom et ses collaborateurs se compose de six grandes catégories : connaissance, compréhension, application, analyse, synthèse et évaluation.

De petites bouchées d'apprentissage ne font pas un vrai repas Quand on ajoute le préfixe "micro" à un mot, on s'imagine l'infiniment petit. Alors, accoler à l'apprentissage à un terme comme "micro", cela semble saugrenu. Après tout, le sens commun veut que l'apprentissage soit grand, comme une vision d'ensemble de notre monde, de ses règles, etc. Et pourtant, le "microapprentissage" ou "microlearning" est de plus en plus populaire...

5 activités pédagogiques pour promouvoir un apprentissage en profondeur Lorsque nous enseignons ou formons, nous souhaitons évidemment que nos apprenants soient capables d’utiliser ce qu’on leur transmet dans des situations où ils seront face à des problèmes nouveaux, qu’ils n’auront pas vu pendant leur formation. Cette capacité s’appelle le transfert de connaissance. Mais quelles méthodes pédagogiques permettent de développer cette capacité ? Que faire faire à nos apprenants ? Cet article présente 5 activités pédagogiques ayant démontré leurs effets positifs sur le développement de la capacité de transfert des apprenants. Quels objectifs d’apprentissage ?

Les styles d’apprentissage : un concept qui perdure Temps approximatif de lecture : 3 à 4 minutes Depuis le début des années 2000, des recherches s’intéressent aux styles d’apprentissage et à l’efficacité des techniques d’enseignement qui s’alignent aux styles d’apprentissage des élèves. À ce sujet, des données suggèrent que l’efficacité de cette méthode n’a pas pu être démontrée. Malgré cela, une récente étude anglaise suggère que cette pratique est encore largement répandue dans le monde et que les enseignants interrogés sont en grande majorité convaincus de son efficacité.

[ANALYSE DE FOND] L’importance des émotions dans l’apprentissage Il n’y a pas si longtemps, on pensait qu’apprendre était un processus strictement rationnel dans lequel les émotions n’avaient pas grand-chose à voir. Une croyance qui s’est cristallisée avec une certaine définition de l’intelligence dérivée des « fameux » tests de QI, pourtant conçus pour détecter les difficultés d’apprentissage chez les enfants. On sait aujourd’hui que les émotions tiennent un rôle à ce point important dans la cognition qu’elles peuvent servir de levier ou, au contraire, devenir un frein.

Les principes d'un enseignement efficace Comment procède-t-on pour enseigner une nouvelle notion de manière efficace? Les recherches en psychologie cognitive sur le cerveau et l’apprentissage ainsi que celles sur les pratiques d’enseignement et d’apprentissage ont permis de dégager les principes d’un enseignement dit « efficace ». Cette infographie présente une adaptation du document « The Principles of Instruction », d’après les propos de Barak Rosenshine, professeur de l’University of Illinois. Pour consultation sur mobile, cliquez ici. Pour imprimer ce document, cliquez ici.

4 émotions de l’apprentissage Les enseignants comme les apprenants ont avantage à connaître les types d’émotions qui sont le plus souvent présents dans l’apprentissage; les premiers, pour être en mesure de les apprivoiser, puis de les gérer; et les seconds, pour développer des approches adaptées, mais aussi pour les reconnaître chez les apprenants et intervenir avec tact. Voici donc les 4 principaux types d’émotions qui ont un impact important dans l’apprentissage : 1. Émotions d’accomplissement Elles sont liées à des activités comportant un objectif ainsi que de la réussite ou de l’échec de ses activités.

4 ennemis majeurs du cerveau à éviter quand on apprend Face à ces ennemis, le cerveau perd ses moyens. Plusieurs processus nécessaires à l’apprentissage en sont affectés : la créativité, la mémorisation, la compréhension. 1. L’absence de sentiment de sécurité (physique et émotionnelle) Le besoin de sécurité physique et émotionnelle fait partie des besoins psychologiques et émotionnels des enfants. Faire peur à l’enfant est pourtant encore courant :

Le bien-être des enfants à l’école : fondements et enjeux État de la recherche par Christophe Marsollier, docteur en sciences de l’éducation, inspecteur général de l’éducation, du sport et de la recherche. Il mène des recherches sur l’éthique de la relation pédagogique. Septembre 2019 – 11 minutes © Monkey Business Images/Shutterstock De plus en plus, les enseignants cherchent à offrir aux élèves les meilleures conditions pour favoriser leur réussite scolaire et leur épanouissement personnel.

Related: