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Seize biais qui empêchent de se connaître et de faire les bons choix

Lycéens, étudiants, professeurs, parents, jeunes diplômés... « Le Monde » vous donne rendez-vous pour de nouveaux événements O21 /S’orienter au 21e siècle. Des conférences et des rencontres inspirantes pour trouver sa voie. Prochaine étape à Nantes le 17 décembre 2019. Conçu pour « Le Monde » par Véronique Bourgogne-Sayad et Emilie Chapuis, de l’agence Strategy Scenarists, l’atelier « ikigai » (littéralement, « raison d’être », en japonais) aide à déjouer les biais cognitifs, ces mécanismes de pensée qui mènent à une appréciation erronée de la réalité. Non conscients, ils sont à l’origine de nos difficultés de choisir. Le plus à craindre est celui dit de la « tache aveugle », qui nous laisse croire que nous sommes plus objectifs et exempts de biais que les autres. Autrement dit, la grande majorité d’entre nous sommes experts dans l’art de voir la paille dans l’œil du voisin tout en ignorant superbement la poutre dans le nôtre. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16.

https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/01/20/seize-biais-qui-empechent-de-se-connaitre-et-de-faire-les-bons-choix_5411906_4401467.html

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Pourquoi la « pensée Ikigai » a réussi à pénétrer le monde du travail Slashers épanouis, gourous de l’entrepreneuriat social, cadres en quête de sens, DRH à court d’idées pour réenchanter le travail… Dans le monde de l’entreprise, on ne jure plus aujourd’hui que par l’ikigai. Présenté comme l’art de l’épanouissement en société, ce concept philosophique japonais exhumé par des experts en développement personnel date pourtant du XIIe siècle… Dans un article fondateur publié en 2001, le professeur de psychologie clinique Akihiro Hasegawa définit l’ikigai comme une démarche de lente introspection permettant à chacun de trouver un sens (« gai ») à sa vie (« iki »).

Biais cognitif Les biais cognitifs peuvent être organisés en quatre catégories : les biais qui découlent de trop d'informations, pas assez de sens, la nécessité d'agir rapidement et les limites de la mémoire. Modèle Algorithmique: John Manoogian III (jm3) Modèle Organisationnel: Buster Benson. L'étude des biais cognitifs fait l'objet de nombreux travaux en psychologie cognitive, en psychologie sociale et plus généralement dans les sciences cognitives. Certains de ces biais peuvent en fait être efficaces dans un milieu naturel tel que ceux qui ont hébergé l'évolution humaine, permettant une évaluation ou une action plus performante ; tandis qu'ils se révèlent inadaptés à un milieu artificiel moderne. Définition[modifier | modifier le code]

Élégance relationnelle : agir face à l’agressivité (1) Le monde du travail, devrait respecter un pacte de non-agression mutuelle pour garantir la possibilité d’œuvrer paisiblement dans un environnement serein, ponctué d’interactions courtoises. Et pourtant, il y a toujours, au détour du chemin un bipède ombrageux ou mal embouché dont le verbe acerbe vient vous bousiller l’humeur et la journée. En trois volets, voyons voir comment éviter les volées de bois vert et et s’y prendre Sans peur et sans reproche à la place, bref: avec panache! Entendons-nous bien : par agressivité, dans ce billet, nous allons simplement parler de comportement ordinaire agressif, Il ne s’agit ni de manipulation perverse, ni d’agression physique, mais bien d’agressivité verbale comme on en rencontre à tous les étages de nos entreprises et qui prend la forme de la brutalité sémantique de celui qui se croit « cash » et le ton acide, belliqueux ou provocateur qui va avec.

Soft skills, les 15 compétences douces à maîtriser en entreprise Les soft skills, ou compétences comportementales, suscitent de plus en plus l’intérêt des entreprises. Pour être recruté puis être performant au travail, les seules compétences techniques ne suffisent plus. Salariés et manager doivent développer des qualités non professionnelles telles que la créativité ou l’empathie. « A l’inverse des compétences techniques, il n’est pas possible de déléguer aux robots les compétences comportementales ». Panique décoloniale chez les psychanalystes ! On a pu lire dans les pages du journal Le Monde le jeudi 26 septembre 2019 une curieuse tribune, signée par quatre-vingts psychanalystes, suivant ainsi à la lettre « l’exemple » des quatre-vingts intellectuels qui s’étaient insurgés contre une hégémonie supposée de la pensée décoloniale (Le Point, 28 novembre 2018). Moins d’un an plus tard, la critique s’est transformée, avec l’aide de ces nouveaux signataires, en une mise en garde générale à l’intention des sciences humaines et sociales, des universités et de tou.te.s les citoyen.ne.s, visant rien moins qu’à préserver les esprits d’une « emprise » qui les mettrait à la merci de « revendications totalitaires » niant « la spécificité de l’humain » en imposant l’« identitarisme », le « particularisme » et le « communautarisme ». La psychanalyse ne se réduit pas à ce discours outragé et outrancier qui donne le sentiment d’un rejet pur et simple du débat avec les courants critiques contemporains.

Siesta ou Tagesrhythmus, les jeunes cadres internationaux veulent gérer leur temps Amédée a fait une prépa puis une grande école de management. Durant ses études il a appris à gérer son temps et en particulier son temps de sommeil : sachant très bien que la nuit de 8h est un construit social datant seulement du XVIIᵉ siècle, il avait choisi des nuits plus courtes et une sieste pour tenir le coup, dans sa chambre d’internat en prépa et dans le fauteuil club de l’association « bourse-finance » de l’école. Fraîchement diplômé, Amédée comme plusieurs de ses camarades de promo rejoint un cabinet de conseil à la réputation internationale situé dans le cœur de Paris. Et là c’est le drame ; Amédée a officiellement une pause déjeuné d’une heure, mais tous les midis il ingurgite son menu bistrot en 20 minutes au coin de la rue avec toute l’équipe. Ça permet de faire un point et de repartir de plus belle… sauf qu’à 14h, les cafés n’empêchent plus la somnolence post-prandiale, qui cumulée à la fatigue et au stress, se transforme en sacré coup de bambou.

Intelligence collective : nettoyeur de 188 biais cognitifs - Excellence décisionnelle - Agilité - Performance - Engagement Extrait du livre : L’excellence décisionnelle, la clé du succès dans l’excellence opérationnelle. Voir chapitre 6 du livre. Je vous invite à percevoir l’intelligence collective comme un élément majeur d’un système de prise de décision. Attention, il ne s’agit pas de décision collective (cf. mon article Décision collective = engagement ?) mais d’une façon de gérer les risques dans une prise de décision pour tendre vers l’excellence décisionnelle.

Spinoza (1632/1677) - Un art de la joie Sans opposer l’âme et le corps, l’éthique de Spinoza nous invite à produire et entretenir les affects joyeux pour augmenter notre puissance d’agir. Rien de plus abstrait, de moins « pratique », à première vue, que l’Éthique de Spinoza, avec son arsenal de propositions et démonstrations censé nous conduire « comme par la main » à la connaissance de Dieu et de la vie éternelle. Comme l’écrit, railleur, Nietzsche : « Que reste-t-il de cette éternité de Spinoza, sinon un cliquetis d’ossements ?

Les compétences du 21e siècle Avec l’industrialisation massive, le développement d’une économie et d’une politique mondiales, ainsi que des moyens de transport et de communication, et l’invention d’Internet, qualifier le 20e siècle d’ère de changement résonne comme un euphémisme. Toutefois, en comparaison avec le début du 21e siècle, le monde en était alors possiblement encore seulement aux premiers pas d’une courbe exponentielle de changements ayant le pouvoir de balayer entièrement la manière de vivre que nous connaissions jusqu’ici. Shutterstock / Monkey Business Images La problématique soulevée ci-dessus agit comme trame de fond du rapport de Cynthia Luna Scott qui affirme la nécessité de redéfinir et d’enseigner de nouvelles compétences pour faire face aux principaux défis du 21e siècle.

Comment gérer une crise psychotique ? - Dandelion - Medium Je me suis rendu compte que c’était un sujet assez tabou, et que même moi j’en parlais peu. J’ai pris l’habitude forcer pour ne surtout pas les faire en public. Ce qui fait que je fais généralement des crises au carré… et les rares fois où j’en ai faites en public, les réactions sont allées de “pas terribles” à “extrêmement dangereuses”. Lorraine : 17.195 emplois ont disparu dans l'industrie depuis 2010 La Lorraine industrielle résiste difficilement à la progression du secteur tertiaire. Ce dernier y représentait 77% des emplois en 2016.C'est le taux le plus fort dans le Grand Est. La part des emplois dans le secteur secondaire (industrie et construction) est passée de 22,5% en 2010 à 20,9% en 2016. L'industrie se fait grignoter d'années en années. 17.195 emplois ont disparu entre 2010 et 2017 (chiffre provisoires pour 2017). Tissu industriel riche et varié En novembre 2019, l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) a publié une étude sur "l'emploi aux frontières du Grand Est, entre tissu industriel riche et varié, et secteur tertiaire très présent".Ses auteures Marie-Laure Kayali et Virginie Pic dressent entre autres un bilan de l'activité économique dans le Grand Est et les régions frontalières.

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