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L'ORTF, histoire de la TV Le 25 juillet 1964, à 20 heures, les Français découvrent sur leur écran de télévision le sigle de l’ORTF : l’Office de radiodiffusion télévision française. Créé pour moderniser la radio et, surtout, la télévision française, sa mission consiste à « satisfaire les besoins d'information, de culture, d'éducation et de distraction du public ». Installé à Paris, dans la toute nouvelle Maison de la radio, il comprend deux chaînes de télévision et quatre stations de radio. A l’époque, l’Etat détient le monopole des ondes et l’ORTF est placé sous la tutelle du ministère de l’Information. Dans quel contexte naît l'ORTF ?

« Derrière les fausses informations, il y a souvent des motivations financières » Les lecteurs du Monde ont interrogé l’équipe des Décodeurs sur la circulation des fausses informations sur Facebook, à l’occasion de la publication de notre enquête sur cette question. Compte rendu. Oncle Fernand : Dans votre méthodologie, est-il possible de prendre en compte le nombre de partages réalisés pour « dénoncer » la fausse information, plutôt que de la partager réellement ? Les publications analysées dans le cadre de notre enquête sont accessibles sur cette page, où vous trouverez des précisions sur notre méthodologie. Fake News - Site Parodique Les Fake News (informations fallacieuses, infox ou fausses nouvelles) sont des informations délibérément fausses (la langue anglaise différencie false, que l’on traduit par « faux » et qui sous-entend la notion d’erreur, et fake, qui signifie « truqué » et sous-entend l’intention d’induire en erreur), délivrées dans le but de tromper un auditoire. Ces Fake News peuvent émaner d’un ou plusieurs individus (par le biais de médias non institutionnels, tels les blogs ou les réseaux sociaux), d’un ou de plusieurs médias, d’un homme d’État dans l’exercice de ses fonctions et disposant des moyens que celles-ci lui procurent ou, plus rarement, de tout un gouvernement. Claire Wardle de First Draft « établit une typologie de “fake news”, qui va du mauvais journalisme à la propagande en passant par la parodie ou le contenu politique orienté ». Fake News par pays et par site parodique Fake News par thème

"Fact-checking": fondement du journalisme ou miroir aux alouettes Cédric Mathiot, Philippe Ballard, Gérald Roux, Jean-Marie Charon Mathias Mégy © Radio France Vérifier les faits, c'est le travail de base du journaliste. Et pourtant, une nouvelle pratique journalistique s'est développée : le fact-checking. Une économie au service des 1 % Intitulé « Une économie au service des 1 % », ce rapport montre que le patrimoine de la moitié la plus pauvre de la population mondiale s’est réduit de mille milliards de dollars depuis 2010. Cette baisse de 41 % s’est produite alors même que la population mondiale augmentait de 400 millions de personnes. Dans le même temps, la fortune des 62 premières fortunes mondiales – dont 53 sont des hommes pour seulement 9 femmes, a augmenté de plus de 500 milliards de dollars pour atteindre un total de 1 760 milliards. Ces chiffres confirment une tendance observée par Oxfam : depuis le début du XXIème siècle, la moitié la plus pauvre de l‘humanité a bénéficié de moins d’1 % de l’augmentation totale des richesses mondiales, alors que les 1 % les plus riches se sont partagés la moitié de cette hausse. La France n’échappe pas à cette tendance puisque les 10% les plus riches ont accaparé 54% de l’augmentation des richesses entre 2000 et 2015.

lumni Une rumeur est une information incertaine qui se répand au sein de la population. On parle aussi de racontar, de fake news ou de légende urbaine. Ce phénomène n’est pas nouveau : il existait déjà dans l’Antiquité et au Moyen Âge ! À l’époque, le bouche-à-oreille était l’un des seuls moyens de s’informer et de nombreuses rumeurs circulaient ainsi, sans qu’on les repère. Aujourd’hui, les rumeurs sont également diffusées sur Internet et les réseaux sociaux. Parce que les rumeurs sont d’origine inconnue et que le plus souvent, elles sont fausses ! Le 13 novembre : un tournant dans la crédibilité des médias Comme beaucoup de Français, j’ai suivi vendredi soir en direct les événements qui se déroulaient dans Paris, absorbé par la télévision et un œil sur Twitter. Et, comme souvent dans des circonstances dramatiques, je me suis trouvé déchiré entre ma position de simple spectateur, bouleversé par le drame, et celle, par définition plus froide et plus distante, de l’analyste des médias. Le premier constat, c’est que, d’une certaine façon, on ne leur a pas laissé la possibilité de trop montrer. Je ne sais pas ce qu’ils auraient fait s’ils avaient pu approcher au plus près des scènes de crime, mais force est de constater que les premières à avoir retenu les leçons de janvier ont été les forces de l’ordre. Toutes les caméras se trouvaient à distance, dans l’incapacité de dévoiler le dispositif policier.

Fact-checking : notre kit de survie en 5 gestes qui sauvent (partenariat avec le CFJ) A jours trois du premier tour de l’élection présidentielle, Méta-Media et France Télévisions lance une batterie d’initiatives pour lutter contre la désinformation. Il n’aura fallu que quelques mois au petit monde de l’info pour adopter une novlangue désormais incontournable : pas un jour ne passe sans que l’on ne parle de fake news, de post-vérité, de hoax, de bulles de filtre, ou même de debunking… Si cette taxinomie a l’inconvénient de composer avec des contours flous, elle n’en reste pas moins révélatrice des dangers auxquels s’exposent aujourd’hui nos démocraties en ligne. En pleine année électorale, la France et l’Allemagne sont sans surprise les nouvelles cibles des propagateurs de fake news. D’autant que chez nous, l’élection présidentielle sera suivie de près par les échéances législatives...

Hallucinant : Project PHEME. L’Europe finance un projet informatique de censure globale ! Hallucinant : Project PHEME. L’Europe finance un projet informatique de censure globale ! 13Share1 0 200Share0 Lalla Salma : Plus qu’une femme de style, un symbole d’ouverture du Maroc – Le Maroc des femmes A l’heure où on milite à Sciences Po pour un « hijab day », à l’heure où les grandes marques commercialisent une mode dite islamique, à l’heure où la culture arabo-musulmane semble être réduite pour les esprits obtus et les médias au port du voile et au terrorisme, l’apparition de la princesse Lalla Salma, vêtue d’un chic ensemble satiné, sa longue chevelure rousse au vent, dans le cadre d’une exposition historique rappelle aux Marocains et au monde que le Maroc, c’est ça ! Venue inaugurer l’exposition dédiée à Alberto Giacometti au Musée Mohammed VI d’art moderne et contemporain (MMVI) à Rabat, la princesse Lalla Salma a su incarner, avec beaucoup d’élégance, l’image d’un Maroc ouvert sur le monde, féru d’art, de culture et résolument éclairé. Un bien beau symbole qui tombe à pic ! Une très belle exposition à découvrir au MMVI :

Info ou Intox 2 a) Le gouvernement impose un couvre-feu pour tous à 18h chaque soir. b) Un train stocke le vaccin du Covid19. c) La FIFA et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) se sont associées pour combattre le coronavirus (Covid-19). d) Retenir son souffle permet de détecter le nouveau coronavirus.

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