background preloader

RH

Facebook Twitter

Les "soft skills" sont le véritable garant du succès professionnel. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... en partie ensoleillé Vent : 15km/h - UV : 2 Clôture veille : 4195.32 Ouverture : 4182.11 Replay Emissions Aux États-Unis, mettre en valeur et développer ses qualités relationnelles, les "soft skills", est une évidence. “Je suis un joyeux luron, très populaire, et hyper sympa”. Alors il va falloir vous familiariser avec ce terme. Un critère primordial pour les recruteurs Ces qualités ne sont pas validées par un diplôme.

Pour les recruteurs par exemple, les "soft skills" des candidats sont le critère de sélection primordial, selon une étude Linkedin pour Business Insider. Plus payantes que les compétences techniques Par Nina Godart Tweeter Partager. L'engagement des salariés varie selon les pays et les cultures. Ressources humaines Le 05/07/2016 L’engagement moral du salarié envers l’entreprise, sa manière de concevoir son engagement vis-à-vis de son employeur et son implication dans le travail, ce qu’on appelle le contrat psychologique, diffère parfois sensiblement d’une culture à l’autre. Dans des entreprises de plus en plus ouvertes à la diversité, il est important de comprendre les ressorts de ce contrat psychologique pour gérer au mieux les attentes des salariés, quelle que soit leur origine culturelle.

Du fait des migrations, des expatriations, de la mobilité toujours plus grande des individus d’un pays à l’autre, la diversité culturelle devient une caractéristique fréquente de la société dans son ensemble et des entreprises en particulier. De sorte que les employeurs, même ceux qui ne se développent pas à l’international, doivent aujourd’hui gérer des ressources humaines de plus en plus multiculturelles. Individualiste ou collectiviste? Qui détient le pouvoir? Comment Criteo résiste à Facebook et Google dans la course aux talents | Sandrine Chauvin. Pour en finir avec la génération Y. Existe-t-il une « génération Y », tellement différente des autres qu’elle représenterait une rupture problématique ? Si, par cette dénomination, on vise une classe d’âge, la réponse est clairement non. En revanche, si cela désigne par métonymie – presque par abus de langage –, l’ensemble des mutations contemporaines, alors il faut comprendre que la notion « génération Y » vise en réalité le taux de pénétration et la force de transformation de ces mutations dans toutes les classes d’âge.

Avec, au final, des opportunités d’avenir dont la fonction RH ferait bien de s’emparer ! Un article co-écrit par Patrick Bouvard, rédacteur en chef de RH info et par Thomas Chardin, directeur conseil de l’agence Parlons RH. À force d’entendre et de lire des choses sur la génération Y (et Z !) Les conflits intergénérationnels : une constante historique Selon une étude d’ADP, 7 salariés sur 10 déclarent devoir faire face à des conflits intergénérationnels. Qu’on en juge : Les 7 livres qui vont vous inspirer en 2016. Ce patron ne recrute que des demandeurs d'emplois aux profils atypiques. FIGARO DEMAIN - À la tête de sa société depuis 2007, James Faricelli ne recrute que des demandeurs d'emploi aux parcours parfois surprenants. Et demande l'avis de ses salariés avant d'entériner une embauche. «Mon rôle, en tant que chef d'entreprise, est de faire changer les choses par l'économie.» Plus qu'un défi, c'est une mission dont James Faricelli se sent investi.

Lorsqu'il crée sa société, Alyl Sécurité, spécialisée dans la sécurité incendie, il imagine «un véritable projet sociétal». Afin de lutter contre les discriminations à l'embauche et, du même coup, de faire baisser le chômage, il décide de ne recruter que des demandeurs d'emploi aux parcours parfois chaotiquex. Il décide alors de baser son entreprise à la Villeneuve, un quartier sensible de Grenoble. Pour trier les nombreux CV qui lui sont envoyés, il a d'abord un premier critère. Toutes les personnes dont le profil a retenu l'attention de James Faricelli sont ensuite convoquées à un entretien. «Responsable du bonheur», ce poste atypique qui émerge dans les entreprises. INTERVIEW - Nathalie Forestier est «responsable du bonheur» chez Allo Resto. L'entreprise a fait cette année son entrée dans le classement des entreprises où il fait bon travailler. Le bonheur, certains en rêvent, d'autres en font leur métier. Comme Google et Mc Donald's, de nombreuses start-up, d'abord américaines puis françaises, à l'instar de Payname, ont désormais dans leurs équipes une personne en charge du bien-être de leurs salariés.

Il existe des responsables techniques (chief technical officer, CTO) ou des responsables marketing (chief marketing officer, CMO), Nathalie Forestier, elle, occupe le poste de CHO, chief happiness officer, chez Allo Resto. Ce qui a notamment permis à la société d'entrer cette année dans le classement des entreprises où il fait bon travailler, Great place to work. Le Figaro - Quelles sont les missions d'un responsable du bonheur? Comment une entreprise peut-elle rendre ses salariés heureux?