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Unlocking_triple_dividend_resilience. Résultats 2013 : AGCS veut se relancer par le service. AGCS (Allianz Global Corporate & Specialty) a connu une année 2013 compliquée dans un marché des grands risques atone. Pour relancer son activité, la filiale d’Allianz souhaite axer sa stratégie sur le service et proposer des solutions impliquant d’avantage l’ensemble des enseignes du groupe. Avec un chiffre d’affaires en baisse de 6% à 5Mds d’euros pour l’exercice 2013 (contre 5,3Mds d’euros en 2012), AGCS enregistre toutefois un résultat en hausse à 483M d’euros (contre 416M d’euros en 2012).

“Nous avons été impacté par une évolution négative du taux de change dans certains pays”, explique Thierry Van Santen, directeur général de l’activité française. “Le marché a été difficile sur la branche aviation et le reste des branches est resté plus ou moins stable sur l’année”, précise-t-il. La filiale d’Allianz, spécialisée dans l’assurance des grands risques, enregistre également pour 2013 un ratio combiné de 93% (contre 96% en 2012). Marché des assurances de grands risques “atone“ Common Purpose: How Great Leaders Get Organizations to Achieve the Extraordinary - Joel Kurtzman. Loïc Le Dréau, directeur souscription et clientèle chez FM Global. - Le Blog de l'AMRAE de la rédaction de L'Argus de l'Assurance.

ÉCONOMIE • Ces 147 sociétés qui dominent le monde. L’économie mondiale est hyperconcentrée, selon une équipe de chercheurs de Zurich. Leur étude souligne la fragilité d’un système financier contrôlé par un petit groupe de multinationales, liées entre elles par des participations croisées. La science apeut-être bien confirmé les pires craintes des indignés qui ont manifestécontre le pouvoir financier. L’étude des relations entre 43 000 multinationales a en effet mis en évidence l’existence d’un groupe relativementrestreint de sociétés – pour la plupart des banques – jouissant d’une influencedisproportionnée sur l’économie mondiale. Selon lesspécialistes des systèmes complexes que nous avons interrogés, ces travaux, quifournissent une remarquable tentative d’analyse du pouvoir économique mondial,pourraient servir de base de travail pour définir les moyens de renforcer lastabilité du capitalisme.

L’idée qu’unepoignée de banquiers contrôle de vastes secteurs de l’économie mondiale n’estpas nouvelle pour les militants d’Occupy Wall Street.