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ANI

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Aspects juridiques. Accord étendu. Réseau d’experts en droits syndicaux transnationaux (TTUR) / Réseaux / Accueil. 1.3. Hiérarchie des normes / I. Conception des textes / Guide de legistique / Droit français / Accueil. Le balai comme la moindre des choses. Seuls ceux qui portent sur la politique le regard scolastique des logiciens auront du mal à comprendre qu’on puisse dire d’un même événement — comme l’affaire Cahuzac — qu’il est à la fois secondaire et principal.

Le balai comme la moindre des choses

Péripétie fait-diversière et crapoteuse, bien faite pour attraper le regard et le détourner des choses importantes (accord sur l’emploi « ANI » [1], austérité, chômage, etc.), la bouse soudainement posée n’en a pas moins le mauvais goût de tomber au plus mauvais moment — il est bien vrai que le spectacle de la cupidité déboutonnée, lors même que le corps social en bave comme jamais, donne quelques envies de coups de fourche. Lire aussi Martine Bulard, « Social-défaitisme à la française », avril 2013.

Et si Hollande avait raison de ne rien faire. L’interview de François Hollande s’est révélée intéressante.

Et si Hollande avait raison de ne rien faire

En matière économique au moins, il tâtonnait depuis son élection entre réalisme et fidélité à des promesses électorales étrangement déconnectées d’une situation économique plus inquiétante que jamais depuis 1945, en raison d’une dette publique à la limite du niveau qui déclenche une crise de première grandeur. Des tâtonnements, hélas, ne remplacent pas une stratégie. Près d’un an après l’élection, le Président sait-il maintenant où il va ? Il a décidé de ne rien faire en matière budgétaire. Curieusement, ce pourrait être une bonne idée. Note finale. Un accord qui oublie l’égalité hommes - femmes. Par PIERRE KHALFA, coprésident de la Fondation Copernic, CHRISTIANE MARTY, conseil scientifique d’Attac, JULIE MURET, Osez le féminisme !

Un accord qui oublie l’égalité hommes - femmes

Et MAYA SURDUTS, Collectif national droits des femmes - Tribune dans Libération du 28 janvier 2013 La ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem, se félicite (1) de l’« avancée décisive » qu’aurait constituée, sur la question du temps partiel, l’accord social du 11 janviersigné entre le patronat et des syndicats représentant une minorité de salarié(e)s. Avant de commenter ce point, une remarque préalable s’impose. Un accord est un tout et il est pour le moins curieux de se féliciter d’un point particulier sans se prononcer sur l’équilibre général du texte. Or, les « nouveaux droits pour les salariés » qui y sont contenus ont pour caractéristique d’être de portée limitée, comportent nombre de dérogations qui en bornent sévèrement l’application et de nombreuses dispositions qui en permettent le contournement. Vers un régime néolibéral du travail ?

Pour Contretemps, Laurent Garrouste décrypte l'accord national interprofessionnel signé par le patronat et trois organisations syndicales représentant une minorité des salarié-e-s.

Vers un régime néolibéral du travail ?

Montrant comment cet accord poursuit la réorganisation néolibérale du travail, qui cherche à mettre le droit du travail au service intégral du patronat, il insiste sur la nécessité d'une mobilisation unitaire empêchant la transposition dans la loi de cet accord. On ne saurait sous-estimer la portée de l’accord national interprofessionnel qui vient d’être conclu le 11 janvier 2013 en France entre le patronat et trois organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, et CFTC). Cet accord intervient dans le cadre de la feuille de route gouvernementale ayant fait suite à la conférence sociale organisée peu de temps après l’élection du président socialiste François Hollande. Cette situation double l’enjeu social de cet accord d’un enjeu démocratique majeur. Pourtant, le patronat est loin d’être rassasié. La mise en péril d'une base nationale. Il est rare qu’une section syndicale formule un diagnostic aussi complet de l’entreprise à laquelle elle appartient, et encore plus qu’elle lui donne la forme d’un livre.

La mise en péril d'une base nationale

Celui-ci est paru mi-2012. Robert Castel : le retour de l'insécurité sociale. A l'occasion du décès mardi 12 mars 2013 du sociologue Robert Castel, qui avait si souvent collaboré avec notre journal, retrouvez une contribution de 2011 de ce grand spécialiste des questions de travail et de protection sociale, à propos de la nouvelle insécurité sociale.

Robert Castel : le retour de l'insécurité sociale

Les métamorphoses de la question sociale : une chronique du salariat Robert Castel. Résumé Des décennies de conflits et de bataille politique ont permis de construire un droit social: la société salariale n'est plus cette société de gueux et de manouvriers qu'elle a été.

Les métamorphoses de la question sociale : une chronique du salariat Robert Castel

Elle a réduit l'arbitraire et rééquilibré les rapports de force. Robert Castel : inventer de nouvelles protections sociales. On observe aujourd'hui d'importantes transformations sociales à l'origine de nouvelles formes de pauvreté.

Robert Castel : inventer de nouvelles protections sociales

Ces transformations doivent s'accompagner de nouveaux droits qui ne peuvent se résumer à des mesures telles que le revenu de solidarité active (RSA). Entretien avec Robert Castel, sociologue, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS). Accord sécurisation emploi janvier 2013. Emploi des séniors. Malaise. Vos droits sont entre vos mains. Flexicurité : à quoi sert la gauche du PS ? La flexicurité est la formule magique du social-libéralisme.

Flexicurité : à quoi sert la gauche du PS ?