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Succession : l'indivision, c'est quoi ? Tout savoir sur l'indivision dans le cadre d'une succession L’indivision, qu’est-ce que c’est ?

Succession : l'indivision, c'est quoi ?

Après un décès, le patrimoine du défunt est en indivision, s’il y a plusieurs héritiers. Cela signifie que les biens de la succession appartiennent indistinctement à tous les héritiers sans que leurs parts respectives ne soient matériellement individualisées. Les biens composant l'indivision sont appelés biens indivis. Chaque membre de l'indivision, appelé indivisaire ou cohéritier se voit alors attribuer une part sous forme de quote-part. L’indivision n’est qu’une étape transitoire dans le règlement de la succession. Lire aussi : Testament, héritage, donation, indivision... Bien choisir son régime matrimonial. Le mariage, mieux que le PACS ? Gestion & Patrimoine. Une bonne stratégie patrimoniale passe aussi par le choix de votre union.

Le mariage, mieux que le PACS ? Gestion & Patrimoine

En effet, le choix de votre futur statut peut avoir des conséquences considérables en termes de fiscalité, de donation et de succession, de protection sociale… Alors, quel régime est le mieux pour votre foyer ? Le mariage, le Pacs ou l’union libre ? Divorce : un amendement vient harmoniser le régime fiscal des prestations compensatoires - Zoom Invest. Le créancier d'un seul époux peut saisir et vendre le logement familial. Droits de la famille Par Le Revenu Publié le 27/09/2020 à 18:11 - Mis à jour le 27/09/2020 à 18:11 Le logement familial qui appartient en indivision à deux époux séparés de biens peut être saisi et vendu par un créancier, même s'il n'est créancier que d'un seul des époux.

Le créancier d'un seul époux peut saisir et vendre le logement familial

La loi qui interdit à l'un des époux de disposer seul du logement familial ou de ses meubles, c'est-à-dire de les vendre seul, sans le consentement de l'autre, n'est en revanche pas un obstacle pour ce créancier, a jugé la Cour de cassation. Personne n'étant obligé de demeurer dans l'indivision, un créancier a le droit d'invoquer ce principe au nom d'un époux débiteur. Le mari seul ne peut pas provoquer la vente, son créancier si Dans un couple marié sous le régime de la séparation de biens, sans communauté, l'appartement familial appartenait au mari et à la femme en indivision.

Le couple résistait en soutenant que le domicile familial devait être respecté. Le Revenu, avec AFP. Divorce : précisions utiles sur l’indemnité d’occupation du domicile familial. – Not@voX par INTRANOT. REPONSE MINISTERIELLE : R.M.A.N.

Divorce : précisions utiles sur l’indemnité d’occupation du domicile familial. – Not@voX par INTRANOT

De La Raudière. Interrogé sur l’indemnité d’occupation du logement familial due par le conjoint après une ordonnance de non-conciliation, le ministre de la justice rappelle les points suivants : D’une part, l’indemnité d’occupation peut être fixée au moment de l’ordonnance de non-conciliation, pour éviter un débat contentieux ultérieur sur ce point. Cela n’est possible que si les époux sont d’accord sur le montant, ce qui n’arrive quasiment jamais (article 255, 4° du Code civil). Elle sera liquidée et versée lors de la liquidation du régime matrimonial. Couple : un concubin qui paie seul les charges du logement ne peut pas réclamer la part de l’autre - Zoom Invest. Violences-conjugales-locataire-victime-n-plus-caution-solidaire-bail-article-37405. Il n'aurait pas dû vendre son bien à sa concubine. À l'appui de son appel, M.

Il n'aurait pas dû vendre son bien à sa concubine

C soutient qu'il était en indivision de fait avec sa concubine puis avec son héritière, qu'au vu du contexte, Mme F B n'a jamais eu l'intention de se prétendre propriétaire, qu'il a participé au rachat de son bien en versant 175 000 francs en espèces qui doivent apparaître sur le compte de Mme B, qu'il a assumé toutes les charges de la maison jusqu'au 20 mai 2015, que Mme B ne disposait d'aucun revenu. L'intimée, l'héritière de la concubine, a rétorqué que rien ne démontrait l'indivision alléguée, qu'il n'est pas contesté que M. En cas de divorce, comment sont taxés les biens partagés du couple ? Question à un expert En cas de divorce, quel sera coût fiscal pour le partage des biens que nous avions en commun ?

En cas de divorce, comment sont taxés les biens partagés du couple ?

Le taux de l’impôt de partage pour les divorces, les séparations de corps et les ruptures de pacte civil de solidarité (pacs), a été abaissé lors de la dernière loi de finances. A la suite d’une séparation, il est préférable que les ex-époux ou les ex-partenaires de pacs partagent les biens qu’ils détiennent en indivision. Les biens sont ainsi répartis et les intéressés n’ont plus à organiser ensemble la gestion de leur patrimoine alors que, par hypothèse, leurs relations se sont dégradées. Lire aussi Sortir d’une indivision sera bientôt moins taxé Néanmoins, si le partage est fortement recommandé, l’impôt de partage, qui s’applique sur la valeur des actifs à partager, peut apparaître décourageant.

Concubinage, PACS et succession : Etude comparative et enjeux patrimoniaux - Blog Gestion de Patrimoine. « A » 45 ans, « B » 48 ans sont en couple.« A » est propriétaire de la résidence principale dans laquelle vit le couple.

Concubinage, PACS et succession : Etude comparative et enjeux patrimoniaux - Blog Gestion de Patrimoine

Valeur : 300.000 €« A » décède. cas 1 : ils sont concubins, sans héritier réservataire Ils n’ont pris aucune disposition : « B » n’hérite pas de « A » et n’a aucun droit sur la résidence principale.« A » a pris des dispositions testamentaires en faveur de « B » :« B » peut bénéficier de l’intégralité du legs, celui-ci ne risquant pas d’être réduit en l’absence d’héritier réservataire. Legs de la pleine propriété de la résidence principale « B » peut alors disposer de la résidence principale comme il l’entend, l’occuper, la louer ou la vendre.Droits de succession : « B » bénéficie d’un abattement de 1.594 € (CGI art. 788 IV) sur la valeur du bien soit : 300.000 € – 1.594 € = 298.406 € imposable. Un indivisaire peut agir seul en liquidation d’une astreinte pour la remise en état du bien indivis. Un groupement foncier agricole (GFA) prend à bail des terres viticoles dépendant d’une indivision successorale existant entre un frère et une sœur.

Un indivisaire peut agir seul en liquidation d’une astreinte pour la remise en état du bien indivis

Plusieurs instances opposent le frère coindivisaire au GFA sur la détermination du prix du fermage et sur son paiement, ainsi que sur la consistance du vignoble. Un précédent arrêt condamne le GFA à remettre en état une parcelle et ordonne une astreinte. L’indivisaire saisit le juge de l’exécution en liquidation de l’astreinte et en prononcé d’une nouvelle. La cour d’appel déclare ses demandes irrecevables : un indivisaire ne peut effectuer seul les actes d’administration relatifs aux biens indivis que s’il est titulaire d’au moins deux tiers des droits indivis ou s’il bénéficie d’un mandat tacite après avoir pris en main la gestion des biens indivis au su des autres et sans opposition de leur part.

La Haute Juridiction casse la décision des juges du fond au visa de l’article 815-2, alinéa 1 du Code civil.