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Privacy

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Microsoft, un follower alternatif sur les questions de privacy. Techonomy 2010: POPULAR TECHONOMY (Part 2 of 3) New model to help organize, keep private 'vast ocean' of social network data. Professors and a graduate student from the College of Engineering and Information Technology at the University of Arkansas at Little Rock (UALR) have developed a new model to manage the "vast ocean" of user-generated content being generated by the ever-growing social networking sites including Facebook and Twitter. Dr. Nitin Agarwal, assistant professor in EIT's Department of Information Science, and his doctoral student M. Venkata Swamy worked with Dr. Srini Ramaswamy, former chair of the UALR Department of Computer Science and now director of Industrial Software Systems at ABB India, to develop a Context-Based Privacy Model.

The model leverages intelligent, scalable, adaptive, and robust pattern-matching algorithms to allow Internet sites to automatically adjust privacy needs of consumers or organizations to the context in which the data is accessed. The research was supported in part by grants from the Office of Naval Research and the National Science Foundation. Panoptique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Schéma représentant le principe du panoptique. « La morale réformée, la santé préservée, l'industrie revigorée, l'instruction diffusée, les charges publiques allégées, l'économie fortifiée — le nœud gordien des lois sur les pauvres non pas tranché, mais dénoué — tout cela par une simple idée architecturale. » — Jeremy Bentham, Le Panoptique, 1780.

(L'ouvrage, de 56 pages, est traduit de l'anglais et imprimé par ordre de l'Assemblée législative en 1791[1].) Le panoptique selon Bentham[modifier | modifier le code] L'idée de Bentham est inspirée par des plans d'usine mis au point pour une surveillance et une coordination efficace des ouvriers. Ces plans furent imaginés par son frère Samuel, dans l'objectif de simplifier la prise en charge d'un grand nombre de travailleurs. Selon Bentham, la tour centrale devait se transformer en chapelle le dimanche, afin de moraliser les criminels[2]. Histoire[modifier | modifier le code] Selon Neil Davie, Les Internautes et la protection des informations personnelles s.

Twitter-List-Privacy. Google Dashboard. Vie privée : le point de vue des “petits cons” « InternetActu.ne. Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée. Et si, a contrario, ils ne faisaient qu’appliquer à l’internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Dans « La vie privée, un problème de vieux cons ? « , je dressais un parallèle entre la façon désinhibée qu’ont les jeunes internautes de se dévoiler sur le Net et la révolution sexuelle, et me demandais si ceux qui sont gênés par cette façon décomplexée de s’exprimer ne seraient pas un peu coincés.

Au-delà des problèmes d’inhibition des « vieux cons« , il est difficile d’aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. La vie privée ? Dans l’arène publique, ou via une interface technique. Une génération « rock’n roll »… 1. Une démocratisation de la vie privée. “Il y a 15 ans, quand on arrivait au bureau, on n’avait aucun contact autre que professionnel. La vie privée restait en dehors du bureau, on ne faisait que travailler.Et c’est d’ailleurs ce que l’école cherche aussi à apprendre aux enfants : à passer du temps sans leurs parents, à faire autre chose que jouer, et apprendre à se concentrer, avec ses rituels à l’entrée, à la sortie, voire ses uniformes…” Cette dichotomie, propre à la bureaucratie moderne, à la révolution industrielle, répondait à un modèle rationnel séparant les sphères professionnelles, et personnelles.

Ceux qui ne faisaient pas que travailler ou étudier, qui ne parvenaient pas à focaliser toute leur attention sur ce qu’on leur demandait de faire, risquaient d’être mal vus, et sanctionnés. Dans les faits, l’inverse est encore plus vrai : les nouvelles technologies ne servent pas tant à ramener du travail à la maison qu’à ramener de la vie privée au travail. Changement de société, par Mona Chollet. Mark Zuckerberg embrassant sa fiancée, serrant dans ses bras un ours en peluche, chahutant avec ses amis… Conséquence des nouveaux paramètres de confidentialité de Facebook, en décembre dernier : quelque trois cents photographies du très jeune (25 ans) fondateur et président-directeur général (PDG) du réseau social, auparavant en accès restreint, devenaient publiques.

Parabole de l’arroseur arrosé, ou stratégie visant à apaiser le tollé soulevé par la nouvelle politique en matière de vie privée ? Dès l’annonce de celle-ci, on avait en effet vu fleurir les caricatures de M. Zuckerberg en Big Brother, abondamment relayées sur… Facebook. Le 3 décembre, le PDG de Google, M. Face à cette situation, l’attitude des pouvoirs publics est diverse. La protection des libertés n’est pas le seul domaine dans lequel l’action publique rend bien peu service aux internautes. Résultat d’un mélange persistant d’incompétence et de compromission, les initiatives fâcheuses, en revanche, pullulent.

La vie privée n’est pas ce que l’on croit | Owni.fr. Je vais encore une fois jouer les vieux cons, mais je trouve parfaitement superflue l’agitation actuelle autour de ce qui serait la fin de la vie privée. Le sujet agite, notamment à cause des déclarations de Marc Zuckerberg. Le patron de Facebook se fait l’adepte d’un monde de la transparence, ou la vie privée ne serait pas la règle. Il a pris une tournure plus polémique, sous nos latitudes, quand, sur InternetActu, Jean-March Manach a publié son éclairant et stimulant billet sur les petits cons. Je vais encore une fois jouer les vieux cons, mais je trouve parfaitement superflue l’agitation actuelle autour de ce qui serait la fin de la vie privée. Le sujet agite, notamment à cause des déclarations de Marc Zuckerberg.

Le patron de Facebook se fait l’adepte d’un monde de la transparence, ou la vie privée ne serait pas la règle. Faut-il pour autant considérer que la vie privée est une notion bientôt du passé ? Les apparences sont trompeuses. L'oubli numérique, futur droit constitutionnel ? - Le Monde.fr. Nos vies sur Internet, à perpète. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Yves Eudes A 31 ans, Fanny est déjà passée par une dizaine d'entreprises, dans le journalisme, la communication, le marketing. Comme beaucoup de semi-précaires, elle laisse son profil affiché en permanence sur les sites Internet d'emploi et les plates-formes communautaires professionnelles comme Linked-In ou Viadeo.

Par ailleurs, Fanny utilise Internet pour son plaisir : elle fréquente le site de rencontres Meetic, a un profil Facebook et une page sur MySpace. Elle est aussi l'auteur d'un blog personnel qui porte son nom, où elle publie des textes humoristiques, décalés ou provocateurs. En septembre 2008, à l'issue d'un stage de formation, Fanny commence une nouvelle période d'essai dans une agence de communication parisienne. Elle est alors contactée par la petite agence de recrutement Elaee, qui lui propose un autre poste. Elle se prépare pour un nouvel entretien d'embauche - elle a l'habitude. Claire Romanet passe beaucoup de temps sur Internet. Vie privée : le point de vue des "petits cons" Nombreux sont ceux qui pensent que les jeunes internautes ont perdu toute notion de vie privée. Impudiques, voire exhibitionnistes, ils ne feraient plus la différence entre vie publique et vie privée .

Et si, a contrario, ils ne faisaient qu' appliquer à l'internet ce que leurs grands-parents ont conquis, en terme de libertés, dans la société ? Au-delà des problèmes d'inhibition des " ", il est difficile d' aborder la question sans essayer de regarder de plus près comment, et pourquoi, les jeunes qui ont grandi avec le Net évoquent ainsi leurs vies privées dans des espaces publics. Une démarche somme toute...

" " que n'auraient peut-être pas renié nos (grands) parents, en moins rebelle cependant. Pour Josh Freed , célèbre éditorialiste canadien, c'est la plus importante fracture générationelle depuis des décennies, qu'il résume ainsi : d'un côté, nous avons la " ", de l'autre, la " " : Dans l'arène publique, ou via une interface technique. "où est ma vie privée ? " 1. 2. 3. Je publie, je reflechis - campagne de sensibilisation aux usages. REGARDS SUR LE NUMERIQUE : Blog - Viktor Mayer-Schönberger (1/2) (visuel : couverture de Delete, et Joi, licence CC) Evidemment, pour caler l’entretien, il a fallu jongler un peu avec les créneaux horaires. Et pour cause : Viktor Mayer-Schönberger, qui a publié à l’automne dernier le très remarqué « Delete : The Virtue of Forgetting in the Digital Age » (Presses universitaires de Princeton), a quitté depuis plusieurs mois maintenant son labo de Harvard, pour prendre la tête du centre de recherche en politique d’information et d’innovation de l’université nationale de Singapour.

Nous avons longuement débriefé son ouvrage, qui peut être vu comme une contribution au débat français sur le « droit à l’oubli ». Au menu de la première partie de cet entretien : des questions de mémoire – y compris une petite dédicace à l'incontournable madeleine proustienne - et de vie privée digitale, cette fameuse privacy dont on parle ici depuis quelques semaines. Viktor Mayer-Schönberger : Il y a un renversement de paradigme complet. > Pour aller plus loin : Proposition de loi tendant à la pénalisation de l'usurpation d'i. Tendant à la pénalisation de l'usurpation d'identité numérique sur les réseaux informatiques, Par M. Michel DREYFUS-SCHMIDT, Sénateur. (Renvoyée à la commission des Lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale, sous réserve de la constitution éventuelle d'une commission spéciale dans les conditions prévues par le Règlement.)

Mesdames, Messieurs, L'identité d'une personne est ce qui fonde l'existence de sa personnalité juridique. Dans le « monde virtuel », l'identité d'une personne est plus vaste et ses contours moins clairs. Cette identité numérique est composée d'éléments qu'on peut appeler « identifiants ». Selon la FTC (Commission fédérale du commerce aux États-Unis), 10 millions d'américains furent victimes d'usurpation d'identité numérique l'an passé, entraînant un coût pour les entreprises ou les particuliers estimé à 50 milliards de dollars.

Le problème a été jugé sérieux outre-atlantique. Article unique. La vie privée à l'heure des mémoires numériques. Pour une confia. [ Identity and Privacy Forum ] La future carte d'identité britannique n'est pas très «secure» 01net le 07/08/09 à 18h38 A en croire le très sérieux Home Office (le ministère de l'Intérieur britannique), au pays des caméras de surveillance (CCTV), réplique en devenir du 1984 de George Orwell, les sujets de sa Majesté peuvent dormir sur leurs deux oreilles.

Dès 2012, si tout va bien, tous pourront se porter volontaire à l'obtention d'un nouveau sésame de la vie en société : une carte d'identité biométrique. Les plus chanceux, habitant dans l'agglomération de Manchester et le nord-ouest de l'Angleterre, pourront le faire dès le début de l'année prochaine. En bref, comme il est expliqué sur le site Internet du ministère « cette carte intégrera les dernières évolutions en matière de sécurité qui vous protégeront des fraudes et de toute usurpation d'identité. Sauf, que... pas vraiment.

Un jeu d'enfants pour terroristes Les autorités britanniques ont investi près de cinq milliards de livres sterling dans ce projet à la sécurité somme toute très relative. Digital Identity: Moving to Privacy 3.0. [Dave Birch] A typically excellent piece from Jan Chipchase that I've continued to think about again and again since reading it. Commenting on the Facebook privacy stories that have were around recently, he asked whether the Facebook privacy "moment" is: their Microsoft Moment, that point where the internal perception of themselves starts to significantly, negatively diverge from the public perception?

Or will we look back on it as more akin to the iMac Floppy Moment where Apple launched said computer without, gasp, a floppy drive. [From History's New Gatekeepers - Jan Chipchase - Future Perfect] The idea that Facebook is the crucible in which new notions of identity and privacy are being forged is, I think, true to some extent. First of all, let's remind ourselves where the fuss started. To make privacy simpler, Facebook's controls will be changed to permit sharing with three groups: "only friends," "friends of friends," or "everyone. " But what are they doing? Pour Danah Boyd, la privacy n’est pas morte  Danah boyd est une sociologue qui explore, depuis plusieurs années, la façon dont les gens s’approprient les médias sociaux, qu’il s’agisse des adolescents américains sur myspace, de tout un chacun sur Facebook, ou de l’élite geek sur Twitter.

C’est aussi une excellente oratrice, très incisive, et c’était un réel plaisir de l’entendre prononcer la conférence plénière d’ouverture du festival. La conférence portait sur la « privacy », qu’on peut traduire imparfaitement par droit à la vie privée ; autrement dit, la capacité des individus à contrôler quels aspects de leur vie sont rendus publics, et à quel public. Le discours de danah boyd s’inscrivait en réaction directe à plusieurs déclarations récentes de caciques de l’Internet annonçant la fin de la privacy : Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, l’a déclarée « morte » il y a quelques mois, tandis que le PDG de Google, Eric Schmidt, avait soupçonné les gens qui s’inquiètent pour la privacy « d’avoir quelque chose à cacher ».

"Making Sense of Privacy and Publicity" "Making Sense of Privacy and Publicity" danah boyd SXSW March 13, 2010 [This is a rough unedited crib of the actual talk] Citation: boyd, danah. 2010. "Making Sense of Privacy and Publicity. " SXSW. Good afternoon! Let me begin by saying that I'm tremendously honored to be here doing the welcoming keynote at SXSW. What’s powerful about SXSW is first and foremost the people.

For those of you who are old-timers, you know how special this conference is. I was asked to give this talk to invite you to think deeply. What keeps me up at night is trying to make sense of how social media transforms society and, more importantly, what it helps make visible about humanity. My goal today is to invite you to step back and ask: what hath we wrought? To give you something to munch on, I've decided to focus my talk on two interwoven concepts that keep coming up whenever we think about social media: privacy and publicity. Fundamentally, privacy is about having control over how information flows. Reputation Is Dead: It’s Time To Overlook Our Indiscretions. Trying to control, or even manage, your online reputation is becoming increasingly difficult. And much like the fight by big labels against the illegal sharing of music, it will soon become pointless to even try.

It’s time we all just give up on the small fights and become more accepting of the indiscretions of our fellow humans. Because the skeletons are coming out of the closet and onto the front porch. We’ll look back on the good old days when your reputation was really only on the line with eBay via confirmed, actual transactions and LinkedIn, where you can simply reject anyone who leaves bad feedback on your professional life. Today we have quick fire and semi or completely anonymous attacks on people, brands, businesses and just about everything else. That picture of you making out with two guys in college up on Facebook. And it’s about to get a lot worse. We’ve seen services like this in the past. This has been on my mind for a long while now. So What Happens Next? Sharpen The Pitchforks. It’s Almost Time For Facebook’s Privacy. Kleiner And Bessemer Put $8.65 Million Into ReputationDefender. Share photos on Twitter.