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Les couleurs du Moyen-Âge<br/>par Michel Pastoureau

Sur la route... des supermarchés en Auvergne - Ailleurs. Les représentants de la grande distribution l’ont tous appris à leurs dépens.

Sur la route... des supermarchés en Auvergne - Ailleurs

Aucun super ou hypermarché ne s’installera à Puy-Guillaume, et c’est tout. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Sarrasins. Nos ancêtres sarrasins webdocumentaire.

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Sans titre. 16 : Pistes & débats : Les prémisses d’une restauration ? L’histoire enseignée saisie par le politique. Le 27 août 2011, Le Figaro Magazine titre « Ce que nos enfants n’apprennent plus au collège », enquêtant sur un « scandale pédagogique et culturel ».

16 : Pistes & débats : Les prémisses d’une restauration ? L’histoire enseignée saisie par le politique

Au cœur de la démonstration, l’affirmation implicite d’un abandon du roman national par l’Éducation nationale, ce même roman national que la Maison de l’histoire de France voulue par le président de la République devrait exposer ; ce malgré les polémiques, ce malgré un débat scientifique et syndical d’autant plus houleux qu’il implique la question des Archives de France . Le roman national constitue aujourd’hui l’un des lieux où histoire et discours politiques se nouent d’autant plus que cette figure porte systématiquement, par la trame pédagogique qui la soutient, un horizon civique. De quel de Gaulle les élèves ont-ils besoin ? Ou comment le mythe (voire l’hagiographie) empêche la construction du raisonnement historique.

Rédacteur : Roland Tissot, enseignant de collège à Cormeilles-en-Parisis (95), mai 2011.

De quel de Gaulle les élèves ont-ils besoin ? Ou comment le mythe (voire l’hagiographie) empêche la construction du raisonnement historique

Annexe 1 : CdG dans le primaire et dans le secondaire Annexe 2 : CdG dans l’historiographie « à portée de main » De Gaulle, sa figure, son action, sa mémoire, sont largement étudiés dans le système scolaire français (voir annexe 1). Qu’en dit-on aux élèves ? Figure initiale et dominante de la Résistance, CdG est encore le sauveur de la République en 1958 puis il devient le modernisateur du pays. A travers ce texte, je me propose donc de rappeler rapidement ce qui ne passe plus à l’école de la réalité du gaullisme puis de réfléchir aux conditions qui interdisent de fait de transmettre toutes les dimensions du gaullisme aux élèves. 1.

On n’a pas le temps de présenter le CdG « d’avant » 1940 : formé dans un milieu très nationaliste et ultra-catholique, sans doute courageux en 1914-18, redevable à Pétain d’une partie de sa carrière et familier du vainqueur de Verdun. Passe la guerre mondiale. 2. Penser le corps après l'histoire du corps : vidéos - CMDR - Corps : Méthodes, Discours, Représentations. L’histoire par le bas contre le récit national ? (d’une configuration des années 68 et de sa déliaison) Ce texte est une intervention de Vincent Chambarlhac au séminaire “La fabrication du commun/récits de l’histoire nationale par des élèves (voir présentation dans la rubrique concernée).

L’histoire par le bas contre le récit national ? (d’une configuration des années 68 et de sa déliaison)

Dans ma salle de classe, quelle géographie ! Dans ma salle de classe, quelle géographie !

Dans ma salle de classe, quelle géographie !

Représenter l’espace de la classe. Comprendre la crise et la dette. Le temps, l’espace, le passé, le présent : quelle combinatoire pour quel enseignement ? Auteur : Vincent Capdepuy Introduction La réforme et la contreréforme de l’enseignement de l’histoire-géo en série scientifique au lycée ont suscité de nombreuses protestations, quoique pas toujours médiatisées ni très convergentes, et ont abouti à une mesure régressive autant sur le plan des horaires que sur celui des programmes.

Le temps, l’espace, le passé, le présent : quelle combinatoire pour quel enseignement ?

Dont acte. Il est cependant un point particulier éclipsé par le débat général : pendant deux années scolaires, de la rentrée 2012 au bac 2014, aura été brièvement expérimenté un enseignement optionnel à la teneur inédite fusionnant histoire et géographie. Un an d’expérimentation et une mort annoncée ne suffisent évidemment pas pour dresser un quelconque bilan. Enseignants du primaire : faut-il donc encore désobéir ? En 2008, il y a eu des enseignants qui ont désobéi, car, sous Sarkozy, ils ont été pris dans des injonctions contradictoires et dépossédés de leur travail.

Enseignants du primaire : faut-il donc encore désobéir ?

Bien que la « refondation » entreprise par Vincent Peillon revienne sur presque tous les reculs des cinq dernières années, ce sentiment de « dépossession » n'a pas disparu, pas plus que la culture managériale au sein des cadres de l’Éducation nationale. Alors, faut-il donc encore désobéir ? Avec d'autres enseignants, une poignée de 3000, j'ai désobéi à un certain nombre d'injonctions de Xavier Darcos remettant en cause des pratiques quotidiennes de la classe. Journée d'études du CVUH - "Histoire et médias" en ligne. L'enseignement du fait colonial conférence deCock. Les récentes réformes de l’enseignement de l’histoire : logiques politiques et empêchements professionnels à l’ oeuvre. Rédactrice : Laurence De Cock : Parce qu’ils sont liés aux missions imputées à l’Institution scolaire, les curricula ne répondent pas aux mêmes problématiques que les disciplines académiques et ne soulèvent pas les mêmes enjeux.

Les récentes réformes de l’enseignement de l’histoire : logiques politiques et empêchements professionnels à l’ oeuvre

Il y a bel et bien une « fabrique scolaire » des savoirs[1] qui leur confère un sens et des finalités inhérentes aux fonctions assignées à l’Ecole elle-même. Les questions de leur élaboration (Qui ? Communiqué de la SER après l’émission de France 3 “Robespierre, bourreau de la Vendée?” Par le communiqué suivant, la Société des études robespierristes condamne l’entreprise de désinformation historique menée dans le cadre de l’émission « L’ombre d’un doute », diffusée le 7 mars dernier sur France 3 et titrée « Robespierre : bourreau de la Vendée ? ». Comme dans ses précédentes émissions, Franck Ferrand entend mettre en valeur des thèses « iconoclastes » qui contredisent une histoire officielle, élaborée par des universitaires supposés « corporatistes » et soucieux de perpétuer les vieux mythes du roman national républicain.

Bien qu’inscrite dans une démarche quelque peu démagogique de critique du « politiquement correct », l’intention pourrait paraître louable si chaque partie était équitablement interrogée dans un débat conclusif, ce qui n’a pas été le cas ici. Dès son titre l’émission ignore les réalités les mieux établies par le travail des historiens : jamais Robespierre n’a commandé la « destruction » de la Vendée.

"L’histoire est une matière d’endoctrinement" Le 27 août, Le Figaro Magazine faisait sa Une sur "Cette histoire de France qu’on n’enseigne plus à nos enfants". Quitte à multiplier les contre-vérités, la rédaction du magazine mettait en scène la nostalgie des classes d’histoire "à l’ancienne" et le scandale de la disparition des grands chefs ayant fait la gloire de la France éternelle. Réagissant à ce dossier polémique, Olivier Lévy-Dumoulin, professeur à l’Université de Caen et spécialiste de l’historiographie contemporaine, revient sur les enjeux pédagogiques, idéologiques, politiques et identitaires de l’histoire et de son enseignement.

Nonfiction.fr - Le dossier publié par Le Figaro Magazine nous apprend que "C’est l’histoire de France qu’on assassine" : est-ce bien la première fois qu’elle meurt – ou qu’elle est censée mourir ? O. Lévy-Dumoulin - Il y avait déjà eu une première attaque au début du premier septennat de Mitterrand. O. O. Highlighting the best London maps.