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Empreinte écologique et atteinte à la biodiversité

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Empreinte écologique (explication animée) En graphiques – Quelles sont les actions les plus efficaces pour réduire son empreinte carbone? En développant ce quiz, les chercheurs ont rapidement constaté que des données détaillées sur l’empreinte carbone par action faisaient défaut. Ils ont approché Jérôme Payet et une équipe d’étudiants de Master de la Faculté de l’environnement naturel, architectural et construit (ENAC) de l’EPFL pour créer un jeu de données plus complet de 52 actions, selon une méthodologie d’analyse du cycle de vie.

Ce jeu de données, compilé par Blanche Dalimier, Alexis Barrou et Edouard Cattin, a obtenu le Prix Durabilis 2021. La répartition des différentes catégories d’émissions d’un Suisse moyen (transport, logement, etc.) est montrée ci-dessus. Sur cette base, ils ont calculé que l’empreinte carbone moyenne d’un habitant suisse est de 11,6 tonnes d’équivalent de CO2 (eqCO2) par an, en phase avec les estimations d’autres sources faisant appel à des méthodologies différentes. C’est plus du double de la moyenne mondiale, qui se situe autour des 5 tonnes par an. Chauffe qui peut Végétal vs local.

ECOLOGIE : L'empreinte carbone de notre alimentation. Selon l’ADEME (Agence De l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), le bilan carbone permet de calculer les émissions de gaz à effet de serre (GES) engendrées par des activités productrices de biens ou de services qu’elles soient assurées par des entreprises privées, publiques ou des collectivités ainsi que les émissions de toutes les activités d’un territoire. En bonne ingénieure agroalimentaire que je suis, j’ai souhaité m’intéresser de plus près à l’empreinte carbone que pouvait avoir l’alimentation en France.

Je me suis dit que ces recherches pouvaient en intéresser d’autres, alors j’ai décidé de vous les partager aujourd’hui. L’article comporte trois parties. D’abord, j’ai décidé de faire un point sur ce qu’est l’empreinte carbone, l’équivalent CO2, etc. Ensuite, je vous partage quelques chiffre sur les émissions de gaz à effet de serre (GES) mondiales, européennes et françaises. Et enfin, je parle de l’empreinte que peut avoir l’alimentation sur ces émissions de GES.

276536. Sols, forêts, poissons... Depuis le 8 août, l’humanité vit à. Calculateur d'empreinte écologique. Vidéo - L’empreinte écologique par Terrafemina. Connaissez vous votre empreinte climatique ? Bienvenue dans l’anthropocène : un podcast à écouter en ligne | France Culture. Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. Bienvenue dans l'Anthropocène !

L'espèce humaine représente 0,01% de la vie sur Terre, mais elle a éliminé 83% des mammifères et la moitié des plantes. L'espèce humaine n'est représentée que par un infime pourcentage d'individus par rapport à tous les autres êtres vivants de la Terre, ce qui ne l'a pas empêchée de détruire presque complètement la vie sur la planète, parmi les mammifères et les plantes (sauvages). Un terrible constat qui nous aide à réfléchir sur la condition de l'homme qui, bien qu'elle soit considérée comme numériquement insignifiante, a littéralement réussi à dominer la planète entière. Selon une étude du professeur Ron Milo de l'Institut Weizmann des sciences en Israël, les 7,6 milliards d'habitants ne représentent que 0,01 % de tous les êtres vivants. Malgré l'infériorité numérique évidente, nous réaffirmons que l'homme a toujours dominé la planète, détruisant près de 83 % de tous les mammifères sauvages et la moitié des plantes.

Le nombre d'animaux élevés par l'homme est beaucoup plus élevé : les volailles élevées aujourd'hui représentent 70% de tous les oiseaux de la planète, contre 30% des oiseaux sauvages. Les richesses naturelles mondiales devraient diminuer d'un cinquième d'ici à 2040. Courrier International et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires. Les cookies nous permettent d’accéder à, d’analyser et de stocker des informations telles que les caractéristiques de votre terminal ainsi que certaines données personnelles (par exemple : adresses IP, données de navigation, d’utilisation ou de géolocalisation, identifiants uniques). Ces données sont traitées aux fins suivantes : analyse et amélioration de l’expérience utilisateur et/ou de notre offre de contenus, produits et services, mesure et analyse d’audience, interaction avec les réseaux sociaux, affichage de publicités et contenus personnalisés, mesure de performance et d’attractivité des publicités et du contenu.

Pour plus d’information, consulter notre politique relative aux cookies. Le Sable, enquête sur une disparition - Documentaire. LE GRAND LABOUR / De la poussière et des hommes. L’epuisement des sols. Intervention passionnante ! Documentaire : Cash investigation - Plastique : la grande intox (Intégrale) Le 7ème continent : un monstre de plastique. Selon l'étude de l'organisation Ocean Cleanup publiée dans la revue Scientific Reports, ce "septième continent" de plastique occupe 1,6 million de km² dans l'océan Pacifique.

Le vortex étudié se situe à mi-chemin entre Hawaï et la Californie. Le chiffre a été rendu public le 22 mars 2018 et montre que l'ampleur du phénomène de concentration des déchets dans les océans est beaucoup plus étendu qu'on ne l'imaginait. Jusqu'à 16 fois plus. Si ces détritus flottants devaient être ramassés, il en ressortirait une masse de 80 000 tonnes. Cette concentration, due aux courants marins, n'est cependant pas une masse compacte. Les auteurs de l'étude ont considéré qu'un kilo de déchets dans un kilomètre carré de surface faisait partie du "septième continent". Pour leur évaluation, les chercheurs ont effectué de nombreux survols aériens de la zone et analysés pendant deux ans 1,2 million d'échantillons récoltés dans l'eau. L'expédition "7ème continent" Le 7ème continent en chiffres. La crise des déchets en Asie «nous met face à nos incohérences» Alors qu'un projet de loi « anti-gaspillage » et pour une économie plus « circulaire » est à l'étude à Paris, la France a été rattrapée cette semaine par le chaos mondial installé depuis deux ans et demi dans le secteur de la gestion des déchets.

Une crise spectaculaire, qui ébranle plus d'une certitude dans les sociétés de consommation. Car elle rend visible l'une des faces cachées d'un secteur positivement connoté, à savoir le tri et le recyclage des déchets. Entretien avec Thibault Turchet, responsable juridique au sein de l'association Zero Waste France. C'était un système rodé jusqu'à ce que Pékin ne mette le holà. Pendant des décennies, la Chine a envoyé ses navires remplis de produits manufacturiers à travers le monde développé, en les ramenant non pas à vide, mais remplis de déchets recyclables à faible valeur ajoutée. Surtout, plusieurs endroits d'Asie du Sud-Est ont vécu le chaos dès 2017-2018. Début juillet, l'Indonésie a déjà retourné huit conteneurs en Australie. Bien sûr. Biodiversité : les populations d’insectes s’effondrent en Europe. Dans une indifférence générale, les études se succèdent et indiquent un effondrement vertigineux des populations d’insectes, en Europe et ailleurs.

Les estimations de ces déclins, dans les régions de basse altitude dominées par les activités humaines, sont souvent à peine croyables, mais toutes convergent, quel que soit le pays. Prises dans leur ensemble, elles suggèrent des chutes d’abondance de ces organismes, vitaux pour les écosystèmes et l’agriculture, d’au moins 70 % à 80 % au cours des dernières décennies.

Les données les plus récentes ont été rendues publiques en décembre 2022 et proviennent d’une expérience de science participative pilotée au Royaume-Uni par les organisations de conservation Kent Wildlife Trust et Buglife : des centaines d’automobilistes ont accepté d’installer un petit écran à côté de leur plaque d’immatriculation permettant de compter le nombre d’impacts d’insectes, en fonction de la vitesse de déplacement, du trajet, des zones traversées, etc. Biodiversité : « Si les insectes disparaissent, tout le reste disparaît avec eux », entretien avec le spécialiste Dave Goulson. Spécialiste mondialement réputé de l’écologie des pollinisateurs, professeur à l’université du Sussex (Royaume-Uni), Dave Goulson travaille depuis près de deux décennies sur la conservation des insectes et les effets des pesticides sur la biodiversité. Dans un livre paru mercredi 8 février (Terre silencieuse.

Empêcher l’extinction des insectes, traduit par Ariane Bataille, éditions du Rouergue, 400 pages, 23,80 euros), il témoigne de l’effondrement des populations d’insectes, des causes de ce phénomène mondial et de ses répercussions catastrophiques sur les écosystèmes et la pérennité de l’agriculture. Comment caractériser le déclin actuel des insectes ? Il y a d’importantes lacunes de connaissances dans de nombreuses régions du monde, en particulier pour les espèces les moins connues. Mais en ce qui concerne les insectes pour lesquels nous avons des données sur le long terme, nous constatons dans la grande majorité des cas un déclin rapide. Or nous avons besoin d’eux. Biodiversité : « Ni l’ampleur, ni la rapidité, ni le caractère systémique de l’écroulement des insectes n’ont été anticipés par les scientifiques » L’écroulement des populations d’insectes, à peu près partout en Europe, est la composante la plus terrifiante de la crise écologique en cours. Non seulement parce que le problème est d’une gravité inouïe, mais aussi, et peut-être surtout, parce qu’il demeure complètement absent du débat public et de l’horizon politique de nos décideurs – il est d’ailleurs probable que la majorité d’entre eux n’en sachent à peu près rien.

Le problème est immense, pressant, et nécessiterait des mesures d’urgence, mais la majorité d’entre nous ignorent jusqu’à son existence. Le livre qu’il faut donc lire, et faire lire ces jours-ci, est celui de Dave Goulson, professeur à l’université du Sussex (Terre silencieuse. Empêcher l’extinction des insectes, éditions du Rouergue, trad. Ariane Bataille, 400 pages, 23,80 euros). C’est non seulement un devoir moral, mais aussi une question vitale – les insectes sont, comme le dit Dave Goulson, « le carburant de la vie ». Pesticides dangereux pour les abeilles : les inspecteurs de l’environnement priés de ne pas contrôler les arboriculteurs. Les inspecteurs de l’environnement de l’Office français de la biodiversité (OFB) oscillent entre « incompréhension » et « colère ».

Motif de leur courroux : la direction de l’OFB, le « gendarme » de l’environnement, leur demande, dans le cadre de leur mission de protection des pollinisateurs, de s’abstenir de contrôler les arboriculteurs pour vérifier qu’ils n’abusent pas de pesticides pendant la période de floraison. « C’est incompréhensible, notre direction nous donne pour instruction de ne pas appliquer la réglementation ! , s’étrangle un inspecteur sous le couvert de l’anonymat. On peut contrôler Pierre qui fait du colza, Paul qui fait du tournesol, mais pas Jacques qui fait des pommes, alors que c’est précisément l’arboriculture qui utilise le plus de traitements. » « Que l’organisme dont la mission est de protéger l’environnement demande à ses services de ne pas effectuer de contrôles, c’est scier les pattes à l’institution judiciaire.

Il vous reste 65% de cet article à lire. Exterminer et préserver : épisode • 4/4 du podcast Des insectes et des hommes. Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux. Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois. De la prospérité au cauchemar : Nauru, l'île dévastée de Luc FOLLIET. « L'ouvrage ne se contente pas de partir à la découverte d'un territoire lointain. Mais il raconte l'échec d'un système économique, mal appliqué et qui conduit par l'exploitation outrancière d'une seule ressource à une faillite certaine.

Une leçon à méditer en pleine crise économique car Nauru, un jour même appelé "Naurutopia", est aussi un centre de globalisation. L'île fut tout à tour un enjeu pour la Grande-Bretagne, l'Australie, l'Allemagne, le Japon, les États-Unis. "Un laboratoire à ciel ouvert", résume l'auteur. »LES ECHOS « Le sous-titre sent son actualité: Comment la civilisation capitaliste a anéanti le pays le plus riche du monde. . « Le journaliste Luc Folliet retrace l'histoire emblématique d'un développement économique accéléré d'un pays et de son effondrement spectaculaire. [...] Désastre écologique, faillite économique, hyperconsumérisme, maladies chroniques: si nous ne voulons pas que l'histoire de Nauru raconte aussi notre histoire, il faut agir très vite ! La biodiviersité menacée. Indonésie : l'huile de palme condamne les orangs-outans à l'extinction.

Par un matin d'août à Bornéo dans le parc national de Tanjung Puting, le photographe Jayaprakash Joghee Bojan retire ses chaussures, tient son appareil photo à bout de bras et entre dans l'eau froide colorée par la boue et les racines des arbres. Il compte sur les rangers pour le prévenir si un crocodile approche et avance doucement dans l'eau pour ne pas affoler l'orang-outan mâle qui lui fait face. « Dans ce genre de situations, vous êtes comme hypnotisé.

Vous ne ressentez pas la peur, ou les piqûres de moustiques, ni même le froid. Votre esprit est entièrement sur ce qu'il est en train de se passer. » Bojan sait qu'il est en train de capturer une scène rare. Il est possible que la déforestation de plus en plus importante pour la culture de l'huile de palme ait forcé ce primate menacé d'extinction à s'aventurer dans des endroits qu'il aurait naturellement évités. Ayant grandi au milieu des animaux à Tamil Nadu, en Inde, Bojan a nourri un profond amour pour les animaux et la nature. Data Science - Mesurer la perte de la biodiversité. Greenpeace: film d'animation sur la problématique de la surpêche. Quand la surpêche, les poissons coulent #DATAGUEULE 27. La pêche. Modification de la répartition des espèces, diminution de l’alimentation et de la croissance des individus : le changement climatique a un impact sur les poissons et sur la pêche.

Réduire nos rejets de gaz à effet de serre est une nécessité pour préserver la biodiversité marine. Quels que soient nos efforts pour réduire nos rejets de gaz à effet de serre, les conséquences du changement climatique sont d’ores et déjà enclenchées jusque dans les années 2040-2050. Au-delà, tout dépendra des scénarios d’évolution du climat, c'est-à-dire des mesures de réduction d’aujourd’hui. Car les activités humaines sont responsables de 90 % des rejets de CO2 dans l’atmosphère. L’océan absorbe chaque année entre 30 et 40 % des rejets de CO2, avec pour conséquences une acidification observée de 0,1 unité de pH et une augmentation de température de 1°C depuis l’ère industrielle.

Cet excès de CO2 dans l’eau de mer provoque également une diminution de la concentration en carbonate de calcium. 27 - Pêche intensive : un crime contre les océans ? - Regarder l’émission complète. La pêche mondiale en cinq chiffres chocs - Geo.fr. Les poissons âgés commencent à disparaître des océans. Vidéo : Déforestation : le chant des scies règne #DATAGUEULE 53. La déforestation. Dépérissement des forêts. La crise mondiale de l eau touche déja 4 milliards de personnes. Australie un marché de l'eau à la dérive.

4 Réchauffement climatique : quelles conséquences sur l’eau ? | Centre d'information sur l'eau. Vidéo : impacts sur l’environnement du smartphone. Smartphones: l’industrie de la catastrophe écologique – Libération. Pollution numérique : la face cachée du clic. Empreinte carbone de notre alimentation : quels aliments produisent le moins de gaz à effet de serre. ECOLOGIE : L'empreinte carbone de notre alimentation. Empreinte carbone : 70% des émissions de CO2 proviennent des transports, du chauffage et de l’alimentation – Libération.

5 Quels aliments favorisent le réchauffement climatique ? - Geo.fr. Quel est l’impact carbone de l’alimentation ? - L'empreinte Carbone. 6 L’impact réel du transport aérien sur le climat.