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Presse pédagogique

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Exposition « Bâtir l'école. Architecture et pédagogie 1830-1939 » Du 13 novembre 2019 au 21 juin 2020, le Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes propose une exposition sur l’évolution de l’école entre 1830 et 1939, à travers ses choix architecturaux et pédagogiques.

Exposition « Bâtir l'école. Architecture et pédagogie 1830-1939 »

Le musée regroupe une collection inédite d’œuvres provenant "du Musée Carnavalet, du Musée national de l’Éducation, du centre de ressources en histoire de l’éducation de Gonesse et des centres d’archives municipales d’Ile-de-France". Présentation de l’exposition "De 1833 et la loi Guizot, au début de la Seconde Guerre Mondiale, les techniques éducatives ont connu de grandes évolutions. Une pédagogie nouvelle se développe et va influer l’espace de l’école et son architecture pour le transformer jusque dans ses classes.

L’exposition se propose de traiter de ces liens ou comment de grandes théories éducatives ont bouleversé les lieux d’apprentissage. " Comment s’améliorer en tant qu’enseignant ? ~ Par temps clair. À l'école : que faire après le virus ? Rien ne sera plus comme avant !

À l'école : que faire après le virus ?

Le Covid-19 nous a réappris la solidarité : les professions et les métiers les moins valorisés sont aussi indispensables à notre survie et à notre vie commune que le sont les « premiers de cordée ». Nous avons découvert combien la mondialisation était fragile, tout en nous rendant plus dépendants encore les uns des autres face à un virus assez démocratique pour menacer les pays les plus riches.

Peut-être aussi aurons-nous découvert les vertus de la sobriété en renonçant à consommer toujours plus et toujours plus mal. Peut-être aussi aurons-nous appris que l’on peut « travailler autrement ». À l’école, rien ne sera plus comme avant et le virus aura changé nos manières d’enseigner et d’éduquer. Bien sûr, on peut imaginer que tout redevienne comme avant, mais en pire.

Ce que le virus a révélé En juin 2019, des professeurs gardaient les copies du bac pour protester contre la nouvelle formule de l’examen. Bien sûr. Elèves, enseignants, parents : ils racontent pourquoi l’école leur manque. « Mes élèves me manquent, l’odeur des salles de classe me manque, celle des feutres aussi, le bruit du parquet me manque, le son – et les pannes – du vidéoprojecteur me manque, mes collègues me manquent.

Elèves, enseignants, parents : ils racontent pourquoi l’école leur manque

Tout me manque. » Julie (qui a souhaité rester anonyme, comme la plupart des personnes dans cet article), enseignante en histoire-géographie à Clermont-Ferrand, a raconté sur Lemonde.fr pourquoi, en attendant cette curieuse et hypothétique rentrée scolaire, l’école lui manque. Comme elle, plusieurs dizaines d’enseignants, élèves et parents ont témoigné leur envie de retrouver, lorsque ce sera possible, le chemin de « leur » établissement, en mai pour les écoles et les collèges et en juin peut-être pour les lycées. Des musiciens en résidence en milieu scolaire. Penser l’après : Pour une école de l’essentiel. Les chercheuses et les chercheurs qui contribuent chaque jour à alimenter notre média en partageant leurs connaissances et leurs analyses éclairées jouent un rôle de premier plan pendant cette période si particulière.

Penser l’après : Pour une école de l’essentiel

En leur compagnie, commençons à penser la vie post-crise, à nous outiller pour interroger les causes et les effets de la pandémie, et préparons-nous à inventer, ensemble, le monde d’après. Nous venons de subir, coup sur coup, deux chocs qui nous contraignent à revoir notre façon de concevoir et de mettre en œuvre l’action éducative. Le premier choc est celui de la révolution numérique. Si le panel des technologies dédiées à l’apprentissage s’était considérablement étoffé ces dernières années, celles-ci s’intégraient toujours dans un cadre scolaire classique, avec une transmission magistrale des connaissances.

Avec le confinement, la mise en place d’un enseignement à distance généralisé ébranle ce modèle vertical, avec un maître au centre de la classe. Peut-on se passer des profs ? Le métier d’enseignant est-il menacé par les nouveaux supports d’apprentissage ?

Peut-on se passer des profs ?

Ce serait ignorer les missions de l’école, chargée de faire apprendre à tous des connaissances non immédiatement utiles. De manière récurrente, le développement des technologies de l’information et de la communication est utilisé comme argument « révolutionnaire » à propos des apprentissages et de l’enseignement. Telle technologie va profondément modifier la façon d’apprendre et/ou la façon d’enseigner. Il est fascinant de voir à quel point cet argument est souvent utilisé. Je me souviens, lors du développement d’une ressource appelée « Itinéraire pour un métier » au début des années 1990 (une série de cédéroms de l’Onisep qui présentait des informations sur les métiers et les études de façon interactive), avoir organisé une première démonstration dans un centre d’information et d’orientation.

Article de 1593 mots. What Is COVID-19? And How Does It Relate to Child Development? Après le virus, l’école sera-t-elle comme avant ? Après le cauchemar de la pandémie, nous essaierons de retrouver le temps « d’avant », nos certitudes, nos routines et nos querelles.

Après le virus, l’école sera-t-elle comme avant ?

Ce retour sera cependant difficile, car nous devrons partager notre appauvrissement bien plus que nos richesses. Mais on peut aussi penser à un scénario plus optimiste : le Covid-19 nous a rappelé les vertus de la solidarité, il nous a appris la sobriété et il nous a invité à vivre autrement... Comment le coronavirus a réveillé l’intelligence collective mondiale. Partout dans le monde, épidémiologistes, praticiens, ingénieurs (et tant d’autres) exploitent sans relâche le flot de données sur l’épidémie pour modéliser sa progression, prédire l’impact des interventions possibles ou développer des solutions aux pénuries de matériel médical.

Comment le coronavirus a réveillé l’intelligence collective mondiale

Ils génèrent des modèles et des codes ouverts et réutilisés par d’autres laboratoires. Le monde de la recherche et de l’innovation semble s’être pris d’une frénésie de collaboration et de production de connaissances ouvertes tout aussi contagieuse que le coronavirus. Serait-ce donc ça, la fameuse « intelligence collective » censée résoudre nos problèmes planétaires majeurs ? La science, un réseau bâti sur les épaules des géants.