background preloader

Les pères fondateurs de l'Union Européenne

Facebook Twitter

Pères de l'Europe. Robert Schuman, un des Pères de l'Europe.

Pères de l'Europe

Jean Monnet et Konrad Adenauer à Bonn. La locution Pères de l'Europe est utilisée par analogie avec les Pères fondateurs des États-Unis d'Amérique[1],[2] pour désigner un groupe historiquement défini de sept personnalités politiques qui ont été les premiers promoteurs, avec les traités de libre-échange créant la CECA et de la CEE, de la construction européenne au XXe siècle[3] conduisant à l'actuelle Union européenne. Il s'agit de l'Allemand Konrad Adenauer, du Luxembourgeois Joseph Bech, du Néerlandais Johan Willem Beyen, de l'Italien Alcide De Gasperi, des Français Jean Monnet et Robert Schuman et du Belge Paul-Henri Spaak. Liste[modifier | modifier le code] L'Union européenne considère que ses pères fondateurs sont[4] : D'autres sources sont plus restreintes[1],[2]. Les motifs de l'engagement européen[modifier | modifier le code] Les pères fondateurs de l’UE. L’Union européenne dans laquelle nous vivons aujourd’hui a été créée sous l’impulsion de plusieurs dirigeants visionnaires.

Les pères fondateurs de l’UE

Cet espace de paix et de stabilité que nous tenons pour acquis n’aurait pas pu voir le jour sans leur énergie et leur motivation. Rassemblant aussi bien des résistants que des avocats, ces personnalités issues d’horizons divers étaient mues par un même idéal : une Europe pacifique, unie et prospère. Outre celles présentées ci-dessous, de nombreuses autres personnes ont travaillé sans relâche pour faire aboutir le projet européen. Cette section sur les pères fondateurs est donc encore amenée à s’étoffer. Konrad Adenauer, un démocrate pragmatique et un infatigable fédérateur Le premier chancelier de la République fédérale d'Allemagne, qui fut à la tête de ce nouvel État de 1949 à 1963, modifia plus que quiconque le visage de l'Allemagne de l’après-guerre et le cours de l’histoire européenne.

En savoir plus sur Konrad Adenauer (685 kB) Joseph Bech, (531 kB) (145 kB) Walter Hallstein. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Walter Hallstein

Walter Hallstein (né le 17 novembre 1901 à Mayence et décédé le 29 mars 1982 à Stuttgart) était un homme politique allemand démocrate-chrétien. Il est également considéré comme un des Pères de l'Europe. Biographie[modifier | modifier le code] Professeur de droit, il est juriste pendant le Troisième Reich, appartenant à diverses organisations professionnelles du régime nazi : Association National-Socialiste des Enseignants (Nationalsozialistischer Lehrerbund), Association des Juristes Nationaux-Socialistes (Nationalsozialistischer Rechtswahrerbund), Association Allemande National-Socialiste des Maîtres de Conférence (Nationalsozialistischer Deutscher Dozentenbund) sans toutefois être membre du Parti national-socialiste[1].

Du 21 au 25 Juin 1938 il représente le gouvernement nazi pendant les négociations d'État avec l’Italie fasciste concernant la mise en place d'un cadre juridique de "la nouvelle Europe". La CEE : Les "pères fondateurs" au service des banquiers - Une autre histoire de l'Europe (2) Victor Hugo et les États-Unis d’Europe - I. Fonds Victor Hugo.

Victor Hugo et les États-Unis d’Europe - I

II -- ŒUVRES. Le Rhin. Manuscrit autographe Il voit dans le réveil des nations la promesse d’une unification européenne. Malheureusement, le « Printemps des peuples » est réprimé partout par les forces contre-révolutionnaires. Le contenu du discours d’ouverture du Congrès de la Paix de 1849 L’idée-force est que l’organisation politique de l’Europe engendrera inévitablement la paix. Il fait le parallèle avec la situation des anciennes provinces françaises, en conflit permanent, il y a quatre siècles. Les armées nationales n’ayant plus lieu d’être entretenues dans un contexte de paix pérenne, Victor Hugo met en avant, par ailleurs, que la fin des dépenses d’entretien de ces armées permettra la mise en œuvre de grands travaux qui concourront à éteindre la misère.

Hugo évalue à quatre milliards ce que les nations européennes dépensent chaque année, au total, pour l’entretien de leurs armées. Il conclut en reconnaissant un rôle moteur joué par l’Angleterre et la France :