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7.5. Internet history

Facebook Twitter

En 1934, cet homme a décrit Internet. La Bibliothèque Nationale de France archive le web (dans le cadre du dépôt légal), la BNF a avec Gallica une des plus formidables base de données d’oeuvres numérisées, et au-delà même de Gallica, ses ressources électroniques sont innombrables.

En 1934, cet homme a décrit Internet

Et ce que je dis de la BNF, on pourrait l’étendre à bien des bibliothèques du monde qui entretiennent avec le numérique un rapport très intime (jusqu’à la Bibliothèque du Congrès à Washington qui archive Twitter). Cela suffirait à contredire le lieu commun qui voudrait que le livre et les écrans soient ennemis. Pourquoi cette intimité entre les bibliothèques, l’€™informatique et, au-delà, Internet ? Intimité Cette intimité a bien des causes, mais pourrait presque tenir en une personne. Comment la NASA a inventé le premier ordinateur moderne pour aller sur la Lune. Un hacker raconte le sauvetage du premier micro-ordinateur envoyé dans l’espace par la NASA.

Comment la NASA a inventé le premier ordinateur moderne pour aller sur la Lune

Leur exploit technologique allait donner naissance à l’informatique moderne. (Partie 1) Jack Kilby. Apollo Guidance Computer. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Apollo Guidance Computer

Pour les articles homonymes, voir AGC. Clavier et écran de l'AGC dans le module de commande. Les principaux « codes verbes » et « codes noms » sont affichés dans le module de commande. L'Apollo Guidance Computer (AGC) est l'ordinateur embarqué de navigation et de pilotage installé dans les vaisseaux spatiaux des missions Apollo. Il a été conçu par la société MIT Instrumentation Laboratory sous la direction de Charles Stark Draper avec le matériel de conception dirigée par Eldon C.

Lors de la mission Apollo 8, première satellisation autour de la Lune, la navigation fut quasi autonome, à partir des données de la centrale inertielle et des mesures angulaires effectuées au sextant par l'équipage[2]. L'AGC au sein d'Apollo[modifier | modifier le code] Chaque mission lunaire avait également deux autres ordinateurs : Comment la Nasa a inventé l’ordinateur moderne pour aller sur la Lune.

Les propos ayant servi à réaliser cette histoire ont été recueillis par Nicolas Prouillac et Arthur Scheuer au cours d’un entretien avec le hacker François Rautenbach.

Comment la Nasa a inventé l’ordinateur moderne pour aller sur la Lune

Les mots qui suivent sont les siens. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été passionné d’électronique et de programmation. Je viens de Tshwane, en Afrique du Sud, et mon nom est François Rautenbach. Je me décris souvent comme un « hacker perpétuel » : je n’aime rien tant que de percer les mystères du fonctionnement des ordinateurs. Et pour ça, il faut vraiment se plonger dans leurs entrailles et déchiffrer la façon dont leurs éléments fonctionnent ensemble. Il y a environ deux ans, j’ai lu un livre à propos de l’Apollo Guidance Computer, écrit par l’historien de la Nasa Frank O’Brien. Making of. The Surprising Story of the First Microprocessors. Transistors, the electronic amplifiers and switches found at the heart of everything from pocket radios to warehouse-size supercomputers, were invented in 1947.

The Surprising Story of the First Microprocessors

Early devices were of a type called bipolar transistors, which are still in use. By the 1960s, engineers had figured out how to combine multiple bipolar transistors into single integrated circuits. But because of the complex structure of these transistors, an integrated circuit could contain only a small number of them. So although a minicomputer built from bipolar integrated circuits was much smaller than earlier computers, it still required multiple boards with hundreds of chips. WebCite query result. Leslie Lamport. Suite des protocoles Internet. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Suite des protocoles Internet

La suite TCP/IP est l'ensemble des protocoles utilisés pour le transfert des données sur Internet. Elle est souvent appelée TCP/IP, d'après le nom de ses deux premiers protocoles : TCP (Transmission Control Protocol) et IP (Internet Protocol). Submarine Cable Map 2013. Queen Elizabeth Prize for Engineering. La conquête du world wide web. Robert Cailliau, informaticien et cofondateur du World Wide Web, et James Gillies, Chef du service Communication du CERN Rêvé par Paul Otlet en 1934, imaginé par Vannevar Bush en 1945 et préfiguré dans le laboratoire de Sam Fedida en 1973, le world wide web, littéralement « toile d’araignée mondiale », a concrètement vu le jour dans le bureau de Tim Berners-Lee au CERN en 1989.

La conquête du world wide web

Toute idée ayant de telles origines ne pouvait qu’être magistrale, et le web l’est incontestablement. Paul Otlet imagina un accès aux bibliothèques via le téléphone et la télévision, et il constitua un répertoire REUTERS/Valentin Flauraud bibliographique de 16 millions d’entrées, créant une sorte de Google sur fiches cartonnées.

Cyclades (réseau) Cyclades était un projet expérimental français ayant pour but de créer un réseau global de télécommunication utilisant la commutation de paquets.

Cyclades (réseau)

Créé en 1971, conçu par Louis Pouzin, il fut abandonné en 1978. Ses concepts ont influencé les travaux de développement de l'Internet en inspirant sa suite de protocoles. Le projet Cyclades fut la conséquence de l'engouement de spécialistes pour les premières bases de données[1], en particulier dans le domaine universitaire, financier et administratif. Alors que l'inertie amène leur cloisonnement, quelques pionniers sont chargés de déployer des efforts pour les rendre accessibles à l'extérieur[1].

À l'époque, toutes les administrations françaises voulaient mettre en place leurs propres bases de données. Robert Cailliau. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Cailliau. Robert Cailliau, né le , est un ingénieur et informaticien belge qui a codéveloppé le World Wide Web avec Sir Tim Berners-Lee. Biographie[modifier | modifier le code] Robert Cailliau suit des études d'ingénieur à l'Université de Gand, puis l'Université du Michigan[1]. À partir de 1974, il travaille au CERN à Genève. 2012 INTERNET HALL of FAME INDUCTEES.

Internet Hall of Fame. NCSA Mosaic. Eric Bina. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Eric Bina

Eric J. Bina (né en octobre 1964) est le co-créateur du fureteur (ou navigateur) Mosaic et un co-fondateur de Netscape . En 1993, Bina, avec Marc Andreessen , écrivit la première version de Mosaic lorsqu'il travaillait comme programmeur au National Center for Supercomputing Applications (NCSA) à l' University of Illinois at Urbana-Champaign . Bina avait étudié à l'University of Illinois at Urbana-Champaign, y obtenant un diplôme de Bachelor of Science en Informatique en 1986 et un Master's degree en 1988. Marc Andreesen. World Wide Web Consortium (W3C)

The original proposal of the WWW, HTMLized. A hand conversion to HTML of the original MacWord (or Word for Mac?)

The original proposal of the WWW, HTMLized

Le berceau du web. Tim Berners-Lee, un informaticien du CERN inventa le World Wide Web en 1990. À l'origine, la Toile (ou le web, comme on le surnomme) fut conçue et développée pour répondre au besoin de partage d'informations entre scientifiques travaillant dans différentes universités et instituts aux quatre coins du monde. Le CERN n'est en effet pas un laboratoire isolé, mais plutôt le foyer d'une communauté d'environ 8000 scientifiques de 85 nationalités. Bien que ces scientifiques passent une part de leur temps au CERN, ils travaillent généralement dans des universités et laboratoires de leur pays d'origine. Hypertext Markup Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Hypertext Markup Language, généralement abrégé HTML, est le format de données conçu pour représenter les pages web. C’est un langage de balisage permettant d’écrire de l’hypertexte, d’où son nom.

HTML permet également de structurer sémantiquement et de mettre en forme le contenu des pages, d’inclure des ressources multimédias dont des images, des formulaires de saisie, et des programmes informatiques. Il permet de créer des documents interopérables avec des équipements très variés de manière conforme aux exigences de l’accessibilité du web. Il est souvent utilisé conjointement avec des langages de programmation (JavaScript) et des formats de présentation (feuilles de style en cascade).

Hypertext Transfer Protocol. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'HyperText Transfer Protocol, plus connu sous l'abréviation HTTP — littéralement « protocole de transfert hypertexte » — est un protocole de communication client-serveur développé pour le World Wide Web. HTTPS (avec S pour secured, soit « sécurisé ») est la variante du HTTP sécurisée par l'usage des protocoles SSL ou TLS. Les clients HTTP les plus connus sont les navigateurs Web permettant à un utilisateur d'accéder à un serveur contenant les données.

Il existe aussi des systèmes pour récupérer automatiquement le contenu d'un site tel que les aspirateurs de site Web ou les robots d'indexation. Ces clients se connectent à des serveurs HTTP tels qu'Apache HTTP Server ou Internet Information Services. Hypertexte. Defense Advanced Research Projects Agency. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. ARPANET. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Internet Society I Internet Issues, Technology, Standards, Policy, Leadership. Modèle OSI. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Louis Pouzin. Marc Andreessen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Tim Berners-Lee. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Robert E. Kahn. Vint Cerf. Claude Shannon. Tech Timeline: How We Got to the iPhone Era.

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