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Comment Wikipédia a écrit l'histoire des attentats du 13 novembre? Cet article vous le fait découvrir. Sur l'encyclopédie en ligne, de nombreuses personnes se sont succédé pour créer une page la plus informée et fiable possible.

Comment Wikipédia a écrit l'histoire des attentats du 13 novembre? Cet article vous le fait découvrir.

Nous sommes le vendredi 13 novembre 2015, il est pile 22 heures. Au Stade de France, trois kamikazes se sont fait exploser entre 21h20 et 21h53, causant la mort d'une personne. Devant des terrasses de bars et restaurants des Xe et XIe arrondissements parisiens, trois hommes ont tiré à l'arme automatique entre 21h25 et 21h36, tuant 41 personnes et en blessant de nombreuses autres. À 21h40, l'un d'entre eux s'est ensuite fait exploser devant un autre bar du XIe arrondissement. Au même moment, au Bataclan, trois autres viennent d'entrer et de tirer dans la foule lors d'un concert des Eagles of Death Metal.

Sur Wikipédia, une personne qui n’est pas enregistrée sur le site –mais qui est familière du fonctionnement de Wikipédia, comme semble l'indiquer sa façon d'utiliser les balises de l'encyclopédie– crée une page intitulée «Fusillade du vendredi 13 novembre 2015». Le hashtag #porteouverte lancé sur Twitter: un article très court du site d’actualités“20 minutes” sur un des rôles de Twitter. ATTAQUES Un hashtag a été lancé sur Twitter pour permettre aux Parisiens de se mettre à l'abri...

Le hashtag #porteouverte lancé sur Twitter: un article très court du site d’actualités“20 minutes” sur un des rôles de Twitter

Suite aux attaques multiples dans la capitale, le hashtag #porteouverte a été lancé sur le réseau social Twitter. Mymy, utilisatrice, raconte avoir « vu passer le hashtag sur sa timeline ». « Je l’ai utilisé pour dire aux gens qui seraient dehors qu’il restait un peu de place chez nous », près de la rue du Faubourg-du-Temple, ajoute-t-elle. Un peu plus tôt dans la soirée, Mymy a « contacté des amis qui étaient dans le coin » et les a accueillis chez elle. Elle souhaite accueillir d’autres personnes « qui seraient coincées dehors » : « En plus du hashtag, les gens se géolocalisent ou indiquent où ils sont », dit-elle.

Les internautes se contactent ensuite et peuvent trouver refuge. "J'étais angoissé et bloqué dans un cinéma, mais j'avais Twitter" Le témoignage de Julien Cadot, journaliste à Numerama, qui se trouvait dans un cinéma, pas loin des attentats de la Place de la République. Twitter n'a peut-être jamais autant mérité son titre de réseau social que ce vendredi soir : malgré la peur, malgré l'angoisse, malgré les rumeurs, il a créé un véritable lien humain en se faisant le premier véhicule de l'information.

"J'étais angoissé et bloqué dans un cinéma, mais j'avais Twitter" Le témoignage de Julien Cadot, journaliste à Numerama, qui se trouvait dans un cinéma, pas loin des attentats de la Place de la République.

Vendredi soir nous avions, avec ma copine, choisi d’aller diner au restaurant avant de poursuivre la soirée au cinéma. Comme les bureaux de Numerama sont à deux pas de la place de la République, et que c’est un quartier que nous chérissons, cela a été ma première idée quand elle m’a demandé de choisir un endroit où manger. C’est un pur hasard, et l’envie de changer, qui m’a fait choisir un restaurant inconnu recommandé par le Fooding plus au sud de Strasbourg Saint-Denis.

Attentats : Facebook et Twitter, des réseaux sociaux parfois salvateurs... et parfois dangereux: L’Usine Digitale revient sur les événements qui se sont déroulés sur la toile lors des attentats. Dans la nuit du vendredi 13 novembre, Paris a basculé dans l'horreur.

Attentats : Facebook et Twitter, des réseaux sociaux parfois salvateurs... et parfois dangereux: L’Usine Digitale revient sur les événements qui se sont déroulés sur la toile lors des attentats

Six attaques quasi simultanées ont provoqué une situation dramatique parfois difficile à décrypter, qui risquait à tout moment de dégénérer en panique générale. Si les médias ont alerté en continu une population sous le choc, ils ne sont désormais plus les seuls à véhiculer une information locale en temps réel. Les réseaux sociaux se sont imposés comme des outils majeurs de la communication en situation d'urgence. Retour sur les dispositifs technologiques qui ont permis une telle mobilisation populaire. Facebook déclenche SON Safety Check UP Premier réflexe des usagers de Facebook : l'utiliser pour prendre des nouvelles de leurs proches. Le principe : permettre aux internautes de signaler s'ils sont bien à Paris, s'ils sont indemnes, et d'indiquer si leurs amis sont également sains et saufs.

Mais Safety Check Up a aussi été la cible de virulentes critiques. Attaques à Paris : les réseaux sociaux entre effroi, solidarité et paranoïa: cet article de Télérama revient sur le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion de l’information. A nouveau, les réseaux sociaux ont joué un rôle essentiel dans l'information tout au long de la dramatique soirée du vendredi 13 novembre à Paris et Saint-Denis.

Attaques à Paris : les réseaux sociaux entre effroi, solidarité et paranoïa: cet article de Télérama revient sur le rôle des réseaux sociaux dans la diffusion de l’information

Les premiers tweets sont tombés aux alentours de 21h30, vendredi. Des hashtags inquiets, apeurés : #fusillade dans le Xe arrondissement, #explosion au Stade de France pendant le match France-Allemagne. Le début d'un long cauchemar, vécu en direct par des centaines de milliers de connectés dans le monde. Le compte-gouttes des réseaux sociaux va s'emballer, pour devenir un torrent, puis un fleuve. Sur Twitter, tout au long de la soirée, journalistes, citoyens, témoins, familles, amis et autorités se sont relayés pour diffuser des précieuses informations, des conseils, et inévitablement dans ce genre de situation, quelques rumeurs, le plus souvent vite rectifées. Le vrai, l’à moitié vrai et le complètement faux: un article de Grégoire Lemarchand, responsable de la cellule réseaux sociaux de l’AFP à Paris et de Roland de Courson, journaliste de l’AFP. Par Grégoire LEMARCHAND.

Le vrai, l’à moitié vrai et le complètement faux: un article de Grégoire Lemarchand, responsable de la cellule réseaux sociaux de l’AFP à Paris et de Roland de Courson, journaliste de l’AFP

Les rumeurs prolifèrent sur les réseaux sociaux après les attentats de Paris: cet article liste toutes les fausses rumeurs qui ont circulées sur la toile. C'est malheureusement presque devenu une habitude lors des événements de cette ampleur, des rumeurs et autres détournements sont largement diffusés sur les réseaux sociaux.

Les rumeurs prolifèrent sur les réseaux sociaux après les attentats de Paris: cet article liste toutes les fausses rumeurs qui ont circulées sur la toile.

La même femme aurait donc échappé à plusieurs si l'on en croit le message qui accompagne un photomontage largement partagé ces dernières heures sur Twitter : la bombe du marathon de Boston, "shooting at school" et les attentats de Paris. Sauf que... Le collage des trois femmes en bas de l'image vient des Etats-Unis. Il a été utilisé par des adeptes de la théorie du complot pour tenter de montrer que les massacres de Sandy Hook, d'Aurora et l'attentat de Boston étaient des inventions du gouvernement et des médias.

Sauf qu'il s'agit de femmes différentes : A lire aussi : Non, la même femme n'apparaît pas à chaque tuerie aux Etats-Unis La photo du haut a donc été ajouté au photomontage américain. Sauf que.. C'est un petit texte d'hommage à la France qui a été partagé à de très nombreuses reprises sur les réseaux sociaux. Attentats du 13 novembre : 7 conseils pour déjouer les rumeurs: pour ne pas relayer de fausses informations et déjouer les rumeurs. Les intox et les fausses informations se multiplient rapidement sur Internet ou par SMS après des événements angoissants.

Attentats du 13 novembre : 7 conseils pour déjouer les rumeurs: pour ne pas relayer de fausses informations et déjouer les rumeurs

Comment s’en prémunir. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Les Décodeurs Abonnez vous à partir de 1 € Réagir Ajouter Partager Tweeter fermer.