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Critique des milieux militants

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La bourgeoisie intellectuelle, une élite héréditaire. Tout agiter pour que rien ne bouge. Une critique du militantisme – Agitations. Il y a bientôt un demi-siècle, l’Organisation des Jeunes Travailleurs Révolutionnaires publiait un texte intitulé « Le Militantisme, stade suprême de l’aliénation » qui n’a aujourd’hui pas pris une ride.

Tout agiter pour que rien ne bouge. Une critique du militantisme – Agitations

Critique acerbe du militantisme, cet article dénonce le rapport sectaire aux luttes sociales entretenu par les organisations trotskistes, maoïstes, anarchistes et consorts, qui préféraient chercher un moyen de s’autovaloriser socialement – selon leurs propres critères folkloriques – plutôt que d’œuvrer véritablement au combat révolutionnaire. Depuis, l’effondrement du vieux mouvement ouvrier n’a pas signifié la mort du militantisme qui a subsisté sous d’autres formes, s’entourant parfois d’oripeaux « autonomes » ou « libertaires » prétendant s’opposer à la bureaucratie des groupuscules léninistes désormais relégués aux oubliettes de l’Histoire. Les avant-gardes, consciemment ou non, s’accommodent de la crise et de l’exploitation ininterrompue des prolétaires par les capitalistes. 1. Le militantisme, stade suprême de l'aliénation. Le militantisme, stade suprême de l’aliénation Le révolutionnaire est au militant ce que le loup est à l’agneauOrganisation des Jeunes Travailleurs Révolutionnaires À la suite du mouvement des occupations de mai [19]68 on a vu se développer à la gauche du Parti Communiste et de la CGT un ensemble de petites organisations qui se réclament du trotskisme, du maoïsme et de l’anarchisme.

Le militantisme, stade suprême de l'aliénation

Malgré le faible pourcentage de travailleurs qui ont rejoint leurs rangs, elles prétendent disputer aux organisations traditionnelles le contrôle de la classe ouvrière dont elles se proclament l’avant-garde. Le ridicule de leurs prétentions peut faire rire, mais en rire ne suffit pas. Il faut aller plus loin, comprendre pourquoi le monde moderne produit ces bureaucraties extrémistes, et déchirer le voile de leurs idéologies pour découvrir leur rôle historique véritable. Ce que nous disons des militants est dur et sans appel. Colère Militante — À propos de la toxicité et des abus en milieu... Pourquoi je quitte les milieux militants sur internet. Trigger warning : Violences psychologiques, suicide. 2700 Mots Temps de lecture : 20 minutes Je suis doucement rentré dans le milieu militant au fur et à mesure des deux dernières années.

Pourquoi je quitte les milieux militants sur internet

Cela s’est fait par deux mediums principaux : 1/ La création d’un compte twitter et 2/ La fréquentation de groupes militants sur Facebook. Pourquoi la domination des milieux militants par les petits bourgeois détruit les luttes. Ce ou cet(te) article a été refusé d'après la charte.

Pourquoi la domination des milieux militants par les petits bourgeois détruit les luttes

Un commentaire explique les raisons de ce refus. le contraire qui se passe en fait. Déja en moyenne à la louche mais aussi au souvenir de Statistiques lues mais que je parviens pas à retrouver mais qui correspondaient à mon vécu 70% du milieu militant dans son ensemble est bourgeois particulièrement la majorité sont des petits bourgeois de culture bobo. Un truc insupportable entre tout avec eux c’est leur critique constante des prolos qui refusent de cautionner leurs mouvements de merde, franchement ils passent presque toute leur vie à cracher sur les prolos pas assez de gauche, pas assez militants et pas assez conscientisés à leur goût bref pas assez d’accord avec eux pour maintenir leur illusion qu’ils parlent au nom du prolétariat dont ils ne font PAS partie.

En clair ils luttent plus contre les prolos que pour eux et la plupart des prolos l’ont pigé très vite et fuient ces milieux militants comme la peste. Quelle culture féministe voulons-nous ? Pour un nouveau Code féministe. – Mon féminisme me fait du mal.

Quelle culture féministe voulons-nous ? Pour un nouveau Code féministe

Cette phrase, je me la suis arrachée à moi-même, après des heures de lutte interne, en novembre dernier. J’ai eu si peur de me l’avouer, et encore plus peur de le dire à mes proches qui se trouvaient avec moi, qu’avant de réussir à la verbaliser, j’ai ressenti une tension terrible, la sensation confuse que j’allais me trahir, tuer une partie de mon identité. Pourtant, quand ces mots ont finalement franchi mes lèvres, c’est un profond soulagement qui les a suivi. Je suis féministe depuis plus de dix ans, depuis la fin de mon adolescence. Le Manuel. Social Justice Warriors, notre violence n’est pas virtuelle. Cet article sera sans doute un peu hermétique à certaines personnes puisque je l’ai écrit principalement en réponse à la violence ayant lieu dans les milieux militants sur les réseaux sociaux et en particulier sur Twitter Je préfère m’exprimer ici et non pas sur Twitter car d’une part j’ai quitté ce réseau pour les raisons que j’explique ici; d’autre part le format de toutes façons ne le permettrait pas, écrire un article est plus demandeur de temps et d’énergie mais me permet de m’exprimer avec beaucoup plus de liberté.

Comme le savent sans doute les utilisateurs de ces réseaux, à qui s’adresse cet article, l’acronyme SJW (pour Social Justice Warrior) désigne, de façon plutôt péjorative, bien que parfois méliorative, les militants égalitaristes qui s’y trouvent. Je suis navrée d’utiliser un tel mot, gentils SJW dont je suis parfois, mais j’en ai plein le cul. Plein de cul de votre violence. La légitimité de la colère et de son expression.