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Intelligence artificielle

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Les Frères Karamazov. Publié sous forme de feuilleton dans Le Messager russe de janvier 1879 à novembre 1880 (la première édition séparée date de 1880), le roman connut un très grand succès public dès sa parution[1]. Le roman explore des thèmes philosophiques et existentiels tels que Dieu, le libre arbitre ou la moralité. Il s'agit d'un drame spirituel où s'affrontent différentes visions morales concernant la foi, le doute, la raison et la Russie moderne. Dostoïevski a composé une grande partie du roman à Staraïa Roussa, qui est aussi le cadre principal du roman (sous le nom de Skotoprigonievsk). Au début de l'année 1881, Dostoïevski songeait à donner une suite au roman, dont l'action se déroulerait vingt ans plus tard[2],[3]. Depuis sa publication, le livre est considéré comme un chef-d'œuvre de la littérature et a été acclamé par des personnalités comme Sigmund Freud[4], Albert Einstein[5] ou encore le pape Benoît XVI[6].

Thème[modifier | modifier le code] Genèse du roman[modifier | modifier le code] SpotMini, le robot mi-chien mi-girafe pour vous servir. Jusqu’à présent, Boston Dynamics planchait sur des robots robustes et puissants, pensés pour transporter de lourdes charges et évoluer sur n’importe quel type de terrain. SpotMini lui est davantage tourné vers l’agilité et la précision. © Boston Dynamics SpotMini, le robot mi-chien mi-girafe pour vous servir - 1 Photo L'an dernier, Spot, l'étonnant robot-chien de Boston Dynamics gravissait un escalier, trottait avec aisance et encaissait des coups sans tomber. Voici son petit frère, SpotMini, tout aussi surprenant.

Comme à son habitude, Boston Dynamics a choisi YouTube pour diffuser une vidéo montrant son nouveau prodige. SpotMini est donc un robot quadrupède qui, à la différence de son aîné, n’est pas animé par un système hydraulique mais électrique, dont l’autonomie est d’environ 90 minutes. Comme le montre la vidéo accompagnant cet article, le robot est capable d’accomplir un certain nombre de tâches délicates, comme par exemple de ranger la vaisselle dans le lave-vaisselle.

Artificial Intelligence. "Non, l'intelligence artificielle ne menace pas l'humanité !". Intelligence artificielle : Tout savoir. Réseau de neurones artificiels. Un réseau de neurones artificiels[1],[2], ou réseau neuronal artificiel[1], est un système dont la conception est à l'origine schématiquement inspirée du fonctionnement des neurones biologiques, et qui par la suite s'est rapproché des méthodes statistiques[3].

Les réseaux de neurones sont généralement optimisés par des méthodes d'apprentissage de type probabiliste, en particulier bayésien. Ils sont placés d'une part dans la famille des applications statistiques, qu'ils enrichissent avec un ensemble de paradigmes[4] permettant de créer des classifications rapides (réseaux de Kohonen en particulier), et d'autre part dans la famille des méthodes de l'intelligence artificielle auxquelles ils fournissent un mécanisme perceptif indépendant des idées propres de l'implémenteur, et des informations d'entrée au raisonnement logique formel (voir Apprentissage profond).

Historique[modifier | modifier le code] Neurone formel[modifier | modifier le code] Premiers réseaux[modifier | modifier le code] où et. Deep learning. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le deep learning ( aussi appelé deep structured learning, hierarchical learning ou apprentissage profond[1]) est un ensemble de méthodes d'apprentissage automatique tentant de modéliser avec un haut niveau d’abstraction des données grâce à des architectures articulées de différentes transformations non linéaires[réf. souhaitée]. Ces techniques ont permis des progrès importants et rapides dans les domaines de l'analyse du signal sonore ou visuel et notamment de la reconnaissance faciale, de la reconnaissance vocale, de la vision par ordinateur, du traitement automatisé du langage.

Dans les années 2000, ces progrès ont suscité des investissements privés, universitaires et publics importants, notamment de la part du GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon)[2]. En octobre 2015, le programme alphaGo ayant appris à jouer au jeu de go par la méthode du deep learning a battu par 5 parties à 0 le champion européen Fan Hui[3]. Notions Théoriciens. Google Brain. Google Brain était une équipe de recherche en apprentissage profond (deep learning) faisant partie de Google. Google Brain a été fusionnée avec DeepMind en avril 2023 pour former Google DeepMind[1]. Google Brain a contribué à Google Traduction[2], et a conçu TensorFlow et l'architecture transformeur[1]. Google Brain a aussi mené des projets d'apprentissage automatique en robotique, en génération d'images, en reconnaissance automatique de la parole, et en médecine.

Le projet Google Brain commencé en 2011 comme une collaboration de recherche à temps partiel entre Jeffrey Dean, Greg Corrado chercheurs chez Google et le professeur de l'université Stanford Andrew Ng[3],[4],[5]. Le projet devient une réussite du projet Google X. Astro Teller (en) dit que le projet avait payé pour la totalité du coût de Google X[8]. En mars 2013, Google embauche Geoffrey Hinton, un chercheur de pointe dans le domaine de l'apprentissage en profondeur, et acquiert la société DNNResearch Inc. dirigée par Hinton.

Test de Turing. Le test de Turing est une proposition de test d’intelligence artificielle fondée sur la faculté d'une machine à imiter la conversation humaine. Décrit par Alan Turing en 1950 dans sa publication Computing Machinery and Intelligence, ce test consiste à mettre un humain en confrontation verbale à l’aveugle avec un ordinateur et un autre humain. Si la personne qui engage les conversations n’est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est un ordinateur, on peut considérer que le logiciel de l’ordinateur a passé avec succès le test. Cela sous-entend que l’ordinateur et l’humain essaieront d’avoir une apparence sémantique humaine. Pour conserver la simplicité et l’universalité du test, la conversation est limitée à des messages textuels entre les protagonistes. Dans la version originale du test[1], un homme et un ordinateur doivent tous les deux essayer d'imiter une femme, l'ordinateur est considéré « intelligent » s'il arrive aussi bien que l'homme à imiter une femme[2],[3],[4].

Stephen Hawking : "l'intelligence artificielle pourrait mettre fin à la race humaine" L'évolution de l'intelligence artificielle pourrait sonner le glas de l'humanité. C'est en tout cas ce que pense le célèbre astrophysicien de 72 ans, Stephen Hawking, qui communique grâce à une machine. Et si la machine venait à surpasser l'homme ? Si cette éventualité qui résonne un peu comme le scénario de Terminator, parait peu probable pour la plupart, elle ne l'est pas pour Stephen Hawking.

En effet, le célèbre astrophysicien a fait part de son inquiétude pour l'humanité dans une interview accordée à la BBC. Aujourd'hui âgé de 72 ans, l'homme atteint de la maladie de Charcot et contraint de s'exprimer à travers un ordinateur, pense que l'intelligence artificielle pourrait signifier la fin de l'humanité. L'homme bientôt dépassé par l'intelligence artificielle ? En l'état actuel des choses, l'intelligence artificielle fournit une aide non négligeable à l'homme, d'après Stephen Hawking. Une technologie pour l'aider à communiquer Vous êtes déjà abonné ? Une intelligence artificielle gagne presque un concours littéraire.

L’intelligence artificielle vise à mimer le fonctionnement du cerveau humain, ou du moins sa logique lorsqu’il s’agit de prendre des décisions. Futura-Sciences est parti à la rencontre de Jean-Claude Heudin, directeur du laboratoire de recherche de l’IIM (institut de l’Internet et du multimédia) afin de mieux comprendre d’où vient ce concept. Après les exploits récents lors d’un tournoi de jeu de go, c’est cette fois dans le domaine de la littérature qu’un programme d’intelligence artificielle (IA) s’est illustré. Une nouvelle, coécrite par une IA développée par des chercheurs de la Future University de Hakodate (Japon), a été retenue dans le cadre du concours littéraire Nikkei Hoshi Shinichi.

Le jour où un ordinateur écrira un roman a été sélectionné parmi 1.450 ouvrages lors du premier tour par des jurés qui ne savaient pas qu’une intelligence artificielle était impliquée dans sa création. Une intelligence artificielle gagne presque un concours littéraire - 2 Photos Sur le même sujet.