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Biology

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Les Cardères pour combattre la maladie de Lyme... - En fait, il s’agit de la cardère sauvage / Dipsacus fullonum / et non de la cardère à lainer que des tests ont été réalisées. A mon avis, les principes actifs doivent être les mêmes mais la cardère à lainer étant en voie de disparition et ne se trouvant pas dans la nature, aucun examen ne peut être réalisé. Ne vous trompez de Cardère ! La cardère cultivée ( Dipsacus sativus ) a des épines recourbées...La cardère sauvage ( Dipsacus fullonum ) a des épines droites. Cardère Sauvage Nom latin : Dipsacus fullonum L. Famille : Dipsacaceae Catégorie : herbacée bisannuelle, rosette basale la première année, tige florifère dressée la deuxième année. Feuillage : les feuilles oblongues de la rosette sont persistantes, elles disparaissent avant la floraison.

Floraison : haute tige anguleuse portant de gros capitules ovoïdes, entourés d'une collerette de longues bractées. Couleur : petites fleurs mauves régulièrement disposées entre les bractéoles piquantes des capitules. Origine : Europe, Afrique du Nord. Cette petite larve est capable de dévorer l'un des plastiques les plus résistants. ENVIRONNEMENT - La découverte d'une larve capable de dévorer le polyéthylène, l'une des matières plastiques les plus résistantes, utilisées dans de nombreux emballages, offre la perspective de bio-dégrader rapidement ce polluant qui s'accumule dans l'environnement, notamment les océans. "Les déchets plastiques sont un problème environnemental mondial, surtout le polyéthylène, particulièrement résistant et qui très difficilement dégradable naturellement", explique Federica Bertocchini, une chercheuse au Centre espagnol de la recherche nationale (CSIC), auteur de la découverte de cette larve de la fausse teigne de la cire (Galleria mellonella), un papillon très répandu.

Scientifique et apicultrice amatrice Cette larve, élevée commercialement en grand nombre pour servir d'appât pour la pêche, est à l'état sauvage un parasite des ruches qui se niche dans la cire d'abeilles, partout en Europe. "Extrêmement rapide" 400 ans dans la nature À voir également sur Le HuffPost: Envoyer une correction. Enigme de la science, le rat-taupe nu détiendrait "la clé pour ne pas vieillir et ne pas mourir" Il vit 30 ans, soit l'équivalent de 600 ans pour un homme. Depuis plusieurs années, le rat-taupe nu fascine les biologistes qui espèrent comprendre son secret de longévité.

Une soirée est d'ailleurs organisée lundi 13 mars à Paris pour réunir des fonds pour créer un laboratoire qui travaillerait sur cet animal. Le rat-taupe nu vit sous terre dans des régions arides de l'est de l'Afrique. Il se nourrit de tubercules qu'il coupe grâce à ses grosses dents. Il passe ses journées à creuser des galeries et à s'y promener. Sa résistance fascine le docteur Frédéric Saldmann, cardiologue et nutritionniste français. Le rat-taupe vit l'équivalent de 600 ans pour un humain, en parfaite santé, et ce qui est troublant c'est qu'il résiste aux trois maladies qui nous tueront tous un jour, le cancer, Alzheimer et les maladies cardio-vasculaires. Il y a cinq ans, une équipe internationale de chercheurs a décrypté le génome de ce petit rongeur. Quel est le secret de longévité du rat-taupe nu ?

CRISPR Cas9 : la grande menace de la génétique. Le grand patron du renseignement américain a été le premier à tirer le signal d’alarme, en février 2016. Dans un rapport déclassifié par la CIA, James Clapper a classé CRISPR Cas9 dans la catégorie des « armes de destruction massive » potentielles. Pour lui, cette technologie utilisée dans des milliers de laboratoires doit être considérée comme le programme nucléaire nord-coréen, les armes chimiques syriennes et les missiles de croisière russes ! VIDÉO | CRISPR Cas9 : la grande menace Tout commence pourtant dans l’euphorie, en 2012, lorsqu'une Française, Emmanuelle Charpentier, et une Américaine, Jennifer Doudna, inventent les « ciseaux à découper l’ADN ».

CRISPR Cas9, c'est l’association d’un brin d’ARN (de l’ADN à une seule hélice) qui sert de guide à une enzyme (CAS9) permettant de couper, remplacer, inactiver, modifier le gène que l’on cherche à atteindre. La technique est plus précise, plus rapide et nettement moins chère que tout ce qu’on utilisait jusque-là. Le forçage génétique, un potentiel destructeur incontrôlable. Ce que l’on appelle « forçage génétique » (ou « gene drive » en anglais) occupe une place médiatique de plus en plus grande. Et pour cause : cette technique vise à générer chez une espèce particulière une modification génétique hégémonique par rapport aux autres individus non modifiés. Les organisations opposées à ce forçage génétique mettent en avant de nombreux arguments, dont la possible modification imprévisible et incontrôlable des écosystèmes, l’utilisation militaire de cette technique, la création de monopoles commerciaux.

Et incontestablement, des questions éthiques se posent... Le forçage génétique est annoncé comme permettant de modifier génétiquement n’importe quel être vivant à reproduction sexuée de façon à ce que cette modification se propage à toute une population, domestiquée ou sauvage. Le forçage génétique, un principe hégémonique Quelques notions de génétique Des questions se posent, et pas qu’un peu... De nombreux chercheurs émettent des doutes sinon des craintes. La surprenante découverte du récif géant de l'Amazone. Mille kilomètres ! C'est la longueur estimée du réseau de récifs découvert à l'embouchure du fleuve Amazone, où son eau douce se jette dans les vagues d'eau salée de l'océan Atlantique. L'écosystème, qui s'oriente parallèlement à la côte sud-américaine et perpendiculairement à l'Amazone, abriterait de nombreuses créatures méconnues, voire inconnues, selon une étude parue dans Sciences Advances.

Ce récif biogénique est formé notamment de corail, dans la partie sud, mais il a surtout été édifié par d'autres grands constructeurs de récifs, les éponges et les algues rouges. Ces découvertes sont le fruit d'un programme de recherche basé en partie sur les résultats d'une expédition menée dans les années 1970 qui avait récolté des poissons dans des récifs le long du plateau continental. Les analyses ont confirmé la présence des coraux et d'une riche diversité biologique sous la surface boueuse de l'eau. Autre résultat intéressant : le récif est hétérogène dans sa composition.

Un intestin humain créé de toute pièce à partir de cellules souches. On le surnomme "le deuxième cerveau". L'intestin humain, grand comme deux terrains de tennis, est pourvu d’un système nerveux complexe et indispensable. Ce dernier contrôle de nombreuses fonctions comme le mélange et la propulsion du bol alimentaire au long du tube digestif ou encore la sécrétion d'hormones... Pour la première fois, des chercheurs ont réussi à créer un mini-intestin humain fonctionnel, qui possède ses propres cellules nerveuses, à partir de cellules souches embryonnaires. L’équipe de recherche franco-américaine publie ses résultats dans Nature Medicine, le 21 novembre. Pour créer cet organe en 3D, les scientifiques ont commencé par cultiver des cellules souches pluripotentes humaines, pour les faire évoluer en tissu intestinal.

Si ce processus existait déjà avant, la particularité de leurs travaux est qu'ils ont également réussi à créer, en parallèle, des cellules nerveuses instestinales à un stade embryonnaire : les crêtes neurales. Un modèle pour l'étude des maladies. "Ces microbes qui nous gouvernent" sur Arte : notre entité biologique remise en question par l’étude des microbes.

Apparues il y a 3,5 milliards d’années, ce sont les êtres les plus élémentaires. Ces "créatures" se nichent dans les moindres recoins de la planète, constituant l'océan le plus vaste dans lequel nous baignons. Depuis une dizaine d’années, les recherches sur les bactéries et leur influence sur toutes les formes de vie explosent. Au point que nous serions, selon certains experts, à une période charnière où bientôt nous ne nous percevrons non plus comme une entité à part entière mais comme un assemblage de différents écosystèmes qui coexistent. ARTE propose le samedi 5 novembre 2016 "Ces microbes qui nous gouvernent", un documentaire de Stéphane Bégoin faisant le point sur ces recherches révolutionnaires en cours à travers le monde. Zoom sur ces études. Les bactéries indispensables à la survie d’espèces Les bactéries s’immiscent dans notre corps à toutes les étapes de notre vie Durant une vie, nous aurions dans notre corps autant de bactéries que de cellules qui nous sont propres.

Our Inner Viruses: Forty Million Years In the Making. Each year, billions of people get infected with viruses–with common ones like influenza and cold viruses, and rarer ones like polio and Ebola. The viruses don’t stay all that long inside of us. In most cases, our immune systems wipe them out, except for a few refugees that manage to escape to a new host and keep their species alive. In some cases, the viruses kill their unfortunate hosts, and end their own existence as well.

But in some exquisitely rare cases, viruses meld with the genome of their hosts and become part of the genetic legacy their hosts pass down to future generations. Scientists know this melding has happened because viruses have distinctive genes. When scientists scan the human genome, they sometimes come across a stretch of DNA that bears the hallmarks of viruses. Most of the time, retroviruses behave like other viruses, jumping from host to host.

If the virus DNA remains intact, it still has the capacity to multiply. It’s possible that HERV-K is completely dead now. Les humains naissent avec la structure du langage. L'acquisition du langage par les nouveaux-nés n'est pas seulement de l'acquis mais l'inné joue un rôle important dans la compréhension des langages. Une nouvelle étude scientifique apporte des précisions considérables sur la part de l’inné et de l’acquis dans le langage. Des chercheurs américains et italiens ont démontré que des nouveau-nés, ayant entre 2 et 5 jours, affichent des préférences pour les syllabes qui s’apparentent à des mots et pas pour celles qui ne se retrouvent pas fréquemment dans les langages humains. Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont répété les «bons» et les «mauvais» mots aux nouveau-nés tout en pratiquant une spectroscopie infrarouge pour suivre l’oxygénation du sang dans leurs cerveaux.

Un exemple de «bonne» syllabe est bl que l’on trouve dans de très nombreuses langues tandis que la syllabe lb est beaucoup moins courante et quand elle existe prononcée à des fréquences faibles. Slate.fr Partagez cet article. Le cerveau, ce n'est pas 1 million de lignes de code. Quand on s'intéresse à ce que le monde du numérique dit du corps et de la vie, il y a des chances pour qu'on tombe assez vite sur des prédictions intimidantes : « bientôt, nous serons tous des cyborgs », « en 2045, nous aurons complètement fusionné avec les machines » et.

Un des spécialistes de ce genre de déclarations, c’est un type du nom de Ray Kurzweil – dont je vous ai déjà parlé ici. Inventeur assez génial, homme d’affaire avisé, Kurweil est devenu depuis une vingtaine d’années le promoteur d’un courant qu’on appelle le transhumanisme – et qui considère que l’homme fusionnera bientôt avec les machines, donnant ainsi naissance à une posthumanité –, des idées que Kurzweil vend dans le monde entier à coup de livres et de conférences, des idées qu’il vend aussi à des entreprises sur-puissantes : Google l’a engagé pour diriger un programme sur l’apprentissage du langage par les machines. Pourquoi a-t-on besoin de dormir. Nous passons en moyenne 8 heures par jour à dormir, ce qui sur l’ensemble d’une vie représente environ 25 années au lit. Et pourtant, aussi incroyable que cela puisse paraître, on ne sait pas vraiment pourquoi nous avons besoin de dormir.

Bien sûr, on dort « parce qu’on est fatigué », mais cela ne nous dit pas quelle est la fonction biologique du sommeil. Par exemple on sait qu’on ne mange pas simplement « parce qu’on a faim », mais parce que notre organisme a besoin de nutriments pour fonctionner. Il existe ainsi plusieurs hypothèses crédibles pour expliquer le rôle du sommeil, mais aucune ne s’est encore définitivement imposée. Le sommeil, une anomalie ? Pour l’homme et les autres animaux, devoir dormir représente quand même un sacré inconvénient ! D’une part il s’agit de temps perdu, que l’on ne peut pas consacrer à d’autres activités importantes comme chasser, manger ou se reproduire. Les effets de la privation Le sommeil, pas si indispensable ? Quelle fonction pour le sommeil ? J'aime :