L'Américanisation Vestimentaire. Après avoir étudié le phénomène d'americanisation alimentaire nous nous pencherons sur le phénomène vestimentaire .
Aujourd'hui la population francaise est touché par des grands firmes de vêtement américain souvent apprécié par les jeunes ; A travers cette étude nous allons nous pencher sur deux grandes entreprises : Tout d'abord Nike puis le sac à dos Eastpak qui sont tout deux des marques Américaine. - Nike : Nike est une entreprise fondée au Etats-unis en 1962 par deux associés . L'entreprise a été créée par Phil Knight, qui lui va décider de rapporter au Etats-unis, les baskets Onistuka tigers , en 1963 . Il a un partenaire Bill Bowerman, avec qui il créer la marque Nike ; Le nom de Nike a été trouvé par Jeff Johnson un des premiers employés de Nike . Logo de l'entreprise nike : le Swoosh, une virgule posée à l'envers et à l'horizontale ; il a été créé par Carolyn Davidson en 1971 comme une représentation stylisée de l'aile de la déesse. Des séries américaines d'influence. Les héros de Desperate Housewives ou Mad Men s'imposent comme de véritables références culturelles.
Ce Noël, la surprise, c'est le triomphe du coffret DVD The Pacific. Produite par Steven Spielberg et par Tom Hanks, cette série suit trois marines dans l'enfer de la guerre du Pacifique. Warner Bros a déjà écoulé 30.000 des 50.000 exemplaires édités et la BD marche aussi bien que le DVD. «On s'attendait à un succès, mais pas à ce point-là », témoigne Christophe Seclin, responsable DVD à la Fnac. «The Pacific tout comme Rome et Les Tudors renforcent le goût qu'ont les Français pour l'histoire , se félicite Marjolaine Boutet, maître de conférences à l'université de Picardie et auteur de Les Séries télé pour les Nuls (First).
À l'instar de The Pacific, les plus ambitieuses des séries américaines ont un impact de plus en plus marqué sur la société française. Spinoza s'invite dans Prison Break Même l'édition est sous influence. » Écrivains et télévision, le grand amour. Eric Dupin: "La France s'est américanisée" Le sous-titre de votre livre, Voyages en France, est "la fatigue de la modernité".
Qu'est-ce à dire ? En partant, je ne cherchais pas à prouver quoi que ce soit, j'en avais juste assez du parisianisme et je voulais rencontrer au petit bonheur la chance des Français de tous horizons. Je n'avais donc pas vraiment de fil conducteur établi mais, petit à petit, je me suis rendu compte que le point commun de tous les gens que je rencontrais était de ressentir une sorte de fatigue de la modernité. La modernité, non pas au sens de la philosophie des Lumières, mais l'hyper-modernité, provoquée notamment par la mondialisation, et qui engendre une forte accélération du temps et une profonde métamorphose du territoire. Quelles sont ces nouvelles représentations de l'espace dont vous parlez? On assiste au déclin de la ville européenne traditionnelle, qui mêlait différentes activités en son sein et permettait donc une vraie mixité sociale et professionnelle, au profit d'une spécialisation des espaces.
La France est-elle devenue une colonie américaine. Il est des signes qui ne trompent pas.
Des évènements qui semblent a priori anodins mais qui nous mettent mal à l’aise et dont on ne sait pourquoi. Peut-être nos cerveaux anesthésiés par le torrent d’informations (ou de désinformation ?) Sont-ils devenus incapables de discerner l’immense fange boueuse qui nous engloutit un peu plus tous les jours. Cette fange est protéiforme, et certains de ces éléments sont plus visibles que d’autres (chômage, inégalités, corruption…) mais le limon que je vais m’échiner à extraire de ce tout est constitué de signes, qui pris indépendamment ne sont que des faits divers. Pris ensemble, ils jettent un trouble sur la direction qu’a choisi notre pays à tel point qu’il convient de se demander s’il existe encore en tant qu’état-nation souverain ou s’il n’est plus qu’un satellite servile et acculturé des États-Unis d’Amérique.
L'audiovisuel, Hollywood un pôle industriel dominant. Introduction: Après la Seconde Guerre mondiale, le cinéma français est en crise.
Les accords Blum-Byrnes sont des accords économiques d'ensemble sur la libéralisation des échanges entre les États-Unis et la France en échange de prêts avantageux et de l'effacement de la dette française (650 millions de dollars prêtés à la France pour aider la France suite à la guerre). Une clause concerne le cinéma : elle met en place un système de "contingentement" ou de "quota à l'écran". Désormais le nombre de films américains diffusé sur le territoire français n'est plus limité, mais les salles de cinéma ne programment que des films français quatre semaines par trimestre. Tous les films de la production hollywoodienne envahissent les salles françaises et en 1947, 420 millions de spectateurs se rendent au cinéma pour découvrir les films américains. Le cinéma: Le top 10 des films ayant engendré le meilleur nombre d’entrées : (cliquer pour aggrandir) Les séries télévisés.