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Page d'accueil - That's AI. Emploi, sécurité, justice : d’où viennent les « biais » des IA et peut-on les éviter ? En 2018, Amazon abandonnait son système de tri automatique de CV après s’être rendu compte que le système rétrogradait systématiquement les CV féminins.

Emploi, sécurité, justice : d’où viennent les « biais » des IA et peut-on les éviter ?

Pourquoi un tel comportement ? Parce que les recrutements précédents, c’est-à-dire la base à partir de laquelle avait été entraîné le système, étaient quasi exclusivement masculins : le système d’IA reproduisait les « biais » antérieurs. Les problèmes de ce type sont légion, et ils ont une importance capitale, car ils sont à l’origine de discriminations, qu’il s’agisse d’emploi, de sécurité ou de justice. Youtube. Enseigner l'intelligence artificielle en primaire. Pouvez-vous vous présenter ?

Enseigner l'intelligence artificielle en primaire

Je suis chargé d’expertise au sein de la direction de la recherche et du développement du réseau Canopé, et chercheur associé au laboratoire Techné, à l’université de Poitiers. J’y travaille notamment sur les interactions, la collaboration entre les humains et les machines. Comment définiriez-vous, en quelques mots, l’intelligence artificielle ?

Quand je présente l’intelligence artificielle aux enseignants ou aux élèves, je commence par leur demander ce que cela évoque pour eux. Souvent, le premier mot cité est « robot ». Concrètement, un modèle d’intelligence artificielle est un système qui comporte trois étapes : les données (ou jeu de données), l’algorithme d’apprentissage et la prédiction. Vous avez animé un atelier sur l’enseignement de l’intelligence artificielle lors de la journée Eidos64. Lors de cet atelier, j’ai exposé le travail mené avec une enseignante dans une classe de CM1/CM2, dans le cadre d’un projet du réseau Canopé : l’agence des usages. Intelligence artificielle-une machine qui apprend à jouer. Georges.tech devient Indy et lève 35 millions d'euros pour déployer son robot comptable sur le marché américain.

La start-up Georges.tech, qui va opérer désormais sous le nom d’Indy, a annoncé un tour de table de 35 millions d’euros en série B, mené par Singular, avec le soutien renouvelé d'Alven et Kerala.

Georges.tech devient Indy et lève 35 millions d'euros pour déployer son robot comptable sur le marché américain

Cette nouvelle levée de fonds doit permettre à la pépite lyonnaise de développer de nouvelles fonctionnalités, d'étendre son offre à davantage de régimes fiscaux – comme les artisans qui relèvent du régime des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC) – et de se lancer sur le marché américain. Pour cela elle va recruter plus de 100 collaborateurs, dont des commerciaux, développeurs et chefs de produit, à Lyon. La nouvelle identité vise quant à elle à affirmer un positionnement de "véritable allié des indépendants". "3 à 5 fois moins cher" qu'un comptable Créée en 2016 sous le nom de "Georges le robot comptable", Indy a mis au point une solution d’automatisation des tâches de comptabilité basée sur le machine learning. Intelligence artificielle : combattre les biais des algorithmes. Cet article est publié dans le cadre de la Fête de la science (du 5 au 13 octobre 2019 en métropole et du 9 au 17 novembre en outre-mer et à l’international) dont The Conversation France est partenaire.

Intelligence artificielle : combattre les biais des algorithmes

Cette nouvelle édition a pour thème « À demain, raconter la science, imaginer l’avenir ». Retrouvez tous les débats et les événements de votre région sur le site Fetedelascience.fr. L’intelligence artificielle (IA) suscite depuis quelques années un fort engouement. On attend grâce à elle l’avènement d’une médecine personnalisée voire prédictive, et l’on s’extasie de son immense potentiel en matière d’éducation, d’égalité sociale et économique… ou encore de lutte contre les fléaux contemporains, comme la faim dans le monde ou les crises climatiques. Ces belles promesses ne doivent toutefois pas occulter les difficultés que généreront les changements provoqués par l’IA. Algorithmes biaisés. Cette intelligence artificielle génère des images à partir d'une description. Un nouveau réseau de neurones artificiels créé par OpenAI génère des images à partir d'une légende.

Cette intelligence artificielle génère des images à partir d'une description

Sur les réseaux sociaux, les algorithmes sont capables (avec plus ou moins d’efficacité et parfois des biais) de légender le contenu d’une photo. Cela revient à interpréter le contenu d’une image pour en tirer une description. Une intelligence artificielle du nom de Dall-E sait faire l’inverse : créer une image à partir d’un texte. Dall-E a été conçu par OpenIA. La société américaine s’est récemment illustré avec l’outil appelé GPT-2, qui a fait polémique pour sa capacité à produire des paragraphes proches de ceux écrits par un humain — l’IA est alors censée pouvoir faire des articles ou des poèmes. Dall-E est un réseau de neurones artificiels basé sur le code de GPT-3.

Par exemple, avec l’entrée « un fauteuil de bureau en forme d’avocat », Dall-E va générer une image on ne peut plus ressemblante à cette pourtant étrange description, que ce soit sur les couleurs, les formes.