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Mariesazy

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Le Blog de la Sécurité sociale – La Sécurité sociale fête ses 70 ans. Manifestations du 70ème anniversaire – Le Blog de la Sécurité sociale. Prix 2015 du Comité d’histoire de la (...) Créé en 1973 au sein du Ministère des Affaires sociales, le Comité d’histoire de la Sécurité sociale récompense chaque année des thèses et des travaux du niveau master, se rapportant à l’histoire de la Protection sociale de l’Ancien Régime à nos jours, de susciter des travaux scientifiques et d’en assurer ou d’en aider la diffusion. Dans cet esprit, le Comité d’histoire a décidé de récompenser chaque année des thèses et des travaux du niveau master, achevés depuis moins de trois ans se rapportant à l’histoire de la Protection sociale au sens large (chômage et action sociale inclus). En 2015 , quatre prix pourront être décernés : d’une part, deux travaux de recherche inédits à dimension historique d’un montant de 2 500 € pour le 1er prix et de 2 000 € pour le 2ème prix et d’autre part, deux travaux d’encouragement à la recherche (niveau master) de 1 500 € pour le 1er prix et de 1 000 € pour le 2ème prix.

Les candidats accompagneront leur demande de candidature : Bataille de communication pour sauver la sécurité sociale étudiante. Sondage sur la perception du régime de sécurité sociale étudiant, assises pour la défense du régime prévues fin janvier : les initiatives se multiplient pour sauver la sécurité sociale étudiante. Il faut dire que le temps presse.

Le Sénat veut en effet en finir avec cette spécificité. Mardi 18 novembre, Catherine Procaccia, sénatrice UMP du Val-de-Marne, défendait sa proposition de loi afin de mettre un terme au système actuel. Depuis 1948, la sécurité sociale étudiante est gérée par des mutuelles étudiantes (LMDE – ex-MNEF – et onze mutuelles régionales) pour le compte de l’assurance maladie. En échange, elles bénéficient d’une compensation financière. Le projet de loi de Mme Procaccia prévoit que les étudiants de plus de 18 ans restent inscrits sur le régime de leurs parents. Mais ils seraient tout de même affiliés personnellement afin de préserver la confidentialité des soins. L’UNEF et l’UNI engagés dans un même combat Un service plus adapté aux spécificités étudiantes.

Métier social

Paramédical : des besoins massifs. Une demande de soins accrue du fait du vieillissement de la population, de nombreux départs à la retraite prévus… Les métiers du paramédical ont besoin de renforts. En ligne de mire, des postes aux responsabilités élargies et aux modes d’exercice variés. © Laurence Prat/Onisep - Le paramédical, des métiers qui allient techniques et humain, et des débouchés… Salarié ou libéral Le paramédical emploie plus de 1 million de personnes, dont 80 % de femmes. La liste des recruteurs potentiels est longue : fonction publique hospitalière et d’État, collectivités territoriales, maisons de retraite, associations, cabinets privés, centres de rééducation, agences d’intérim… Les professionnels de soins (infirmiers, aides-soignants, puériculteurs…) sont majoritaires à l’hôpital, tandis que les spécialistes de la rééducation (orthophonistes, ostéopathes…) exercent surtout en libéral.

Le marché de l’emploi des diététiciens et des techniciens en analyses biomédicales est par contre beaucoup plus réduit. Hôtellerie, restauration : des métiers pour tous les goûts. L'hôtellerie-restauration cherche à attirer de nouvelles compétences en cuisine, en service et en hébergement. Malgré une image parfois peu valorisée, de nombreux métiers offrent de belles perspectives de carrière. ©Phovoir - L'hôtellerie s'ouvre de plus en plus à la clientèle d'affaires et aux touristes étrangers. Clientèle d'affaires, touristes étrangers, une aubaine... Avec plus de 905 000 emplois (dont 78 % de salariés permanents), l'hôtellerie-restauration ne semble guère affectée par la crise puisqu'elle devrait créer 56 000 emplois en 2016. C'est la restauration qui constitue la part la plus importante du secteur, depuis les établissements gastronomiques jusqu'aux cafétérias.

Sans oublier la restauration collective, dominée par quelques grandes enseignes. Très diversifiée elle aussi, l'hôtellerie se concentre plus particulièrement dans les zones les plus touristiques comme l'Ile-de-France et le Sud. Des opportunités de carrière dans la cuisine, le service et l'hébergement. Énergie : une industrie qui recrute. Le rajeunissement des effectifs, la modernisation des installations et les projets à l’international dopent les recrutements de la filière énergétique, gaz, pétrole ou nucléaire en tête. Sans oublier le filon prometteur du renouvelable. Un secteur qui a du souffle À côté de quelques grands groupes de dimension internationale capables d’investissements gigantesques comme Total, Areva, EDF ou GDF Suez, le secteur compte une myriade de PME-PMI.

Et malgré la crise, les embauches s’annoncent massives. Les grands projets, notamment à l’export, les exigences de sécurité, le renouvellement des effectifs dopent en effet les recrutements. Le pétrole et le gaz sont toujours friands de compétences, comme en témoignent les 1 800 nouveaux postes prévus chez ErDF en 2015. Malgré l’engagement du gouvernement à baisser la part du nucléaire dans la production d’électricité, la filière nucléaire reste également porteuse : 15 000 embauches par an prévues jusqu’en 2020 dans la filière nucléaire. Tourisme : un secteur en pleine mutation. Première destination touristique mondiale, la France compte un grand nombre d'emplois liés au tourisme.

Ce secteur en pleine mutation numérique représente une opportunité, à condition de compter parmi ses compétences la maîtrise d'au moins deux langues étrangères et le sens du service ! © Philippe Graffon - L'industrie du voyage se transforme sous l'effet du développement d'Internet et des nouveaux modes de consommation. Au carrefour de plusieurs secteurs Au carrefour de nombreux secteurs d'activité (l'hôtellerie, la restauration, le transport, les loisirs, la culture...), le tourisme emploie plus d'1,2 million de personnes.

Toutefois, l'hôtellerie et la restauration accaparent l'immense majorité des effectifs (800 000 emplois). Très loin derrière, les employés de parcs de loisirs sont environ 53 000. Les métiers du tourisme Des formations de bac +2 à bac +5 Parmi les compétences attendues : la maîtrise d'au moins deux langues étrangères dont l'anglais est indispensable. Banque et assurance : la garantie d'un emploi. Confrontées aux départs à la retraite, la banque et l'assurance recrutent toujours, en dépit de la crise financière. Des commerciaux et des jeunes en priorité. Malgré la révolution Internet, l'agence "en dur" reste le principal lieu d'exercice. © J.Pallé/Onisep - Crise financière ? Le secteur reste cependant un gros employeur Recherche jeunes commerciaux Poids lourd de l'économie avec ses 450 banques différentes, le secteur bancaire emploie près de 370 000 personnes.

Et les jeunes sont les bienvenus : ils représentent 64% des embauches en 2012. Quels sont les profils recherchés ? Si les banques et les assurances sont désormais multicanaux (sur Internet, téléphone, smartphone, agences), les clients restent attachés à la relation en face à face avec leur conseiller en agence. En front et back office Qu'ils exercent en agence ou dans un centre d'appels, les conseillers de clientèle, les téléopérateurs et les responsables de point de vente constituent l'essentiel des troupes.