background preloader

Evaluer la lecture

Facebook Twitter

Joey Cornu Éditeur. Sorciers et sorcières au rendez-vous de la lecture cursive en 5e. Sorciers et sorcières au rendez-vous de la lecture cursive en 5e Balayons quelques idées !!!

Sorciers et sorcières au rendez-vous de la lecture cursive en 5e

Catherine FAVERO Comme le signale Madame Catherine Sevestre-Loquet chargée d'études documentaires à L'IUFM de Basse-Normandie, dans la revue Inter CDI n° 193 de janvier-fevrier 2005, nous assistons actuellement à une profusion de romans qui mettent en scène "la sorcellerie et la fantasy". Un tel phénomène ne laisse pas les jeunes lecteurs insensibles et peut, qui plus est, donner lieu à une exploitation constructive, menée en partenariat par le professeur de lettres et le professeur documentaliste. Pour un tel travail, il nous semble pertinent de mettre l'accent sur la lecture cursive qui est loin de suivre son cours dans les établissements scolaires...

La bande-annonce pour rendre compte de ses lectures. Le jeudi 29 mai 2003. « Lire, c’est d’abord extraire d’un texte des éléments signifiants, des miettes de sens, quelque chose comme des mots-clé qu’on repère, que l’on compare, que l’on retrouve (...).

La bande-annonce pour rendre compte de ses lectures

Ces mots-clé peuvent être des mots (...), des sonorités, des modes de mise en page, des tournures de phrase, des particularités typographiques, voire des séquences narratives entières ». Ainsi s’exprime Georges Perec lorsqu’il s’interroge (entre autres) sur ce que devient le texte, ce qu’il en reste.Le professeur de français, parmi d’autres activités, évalue, note la lecture et cherche donc à repérer les miettes de sens construites par les élèves.

Une démarche C’est pourquoi, dans le cadre notamment des lectures cursives, nous essayons d’explorer d’autres modes de restitutions et discours sur les textes afin de laisser une place à l’élève lecteur. Rendre compte d'une lecture cursive dans le cadre d'une séquence consacrée à la lettre, en classe de quatrième - Lettres. • L’objectif L’objectif de l’activité proposée est de développer le goût de la lecture en privilégiant une forme d’évaluation qui laisse une certaine liberté aux élèves pour rendre compte d’une lecture personnelle.

Rendre compte d'une lecture cursive dans le cadre d'une séquence consacrée à la lettre, en classe de quatrième - Lettres

Une étude préalable des premières et quatrièmes de couverture s’est déroulée au cdi en présence du professeur documentaliste. Evaluation lecture cursive. (de la 6e à la 3e) © Nadia Pla Les "lectures cursives" sont les lectures que les élèves doivent faire hors de la classe, théoriquement pour leur faire découvrir le plaisir de la lecture.

Evaluation lecture cursive

L'idéal serait donc de ne pas les évaluer. Malheureusement, il faut bien s'assurer qu'ils ont réellement lu l'oeuvre demandée. J'ai donc pensé à un type d'évaluation plaisant et souple, qui présente pour les élèves l'avantage d'être plus agréable à faire qu'un questionnaire de lecture, et pour le professeur l'avantage d'être utilisable pour n'importe quelle oeuvre. Certains élèves ne comprennent pas d'abord les consignes assez complexes.

Les lectures cursives dans l'année : A chaque trimestre, les élèves ont obligation de lire deux ou trois oeuvres en plus de ce qu'on fait en classe. La première liste varie à chaque trimestre ; elle comprend des oeuvres en lien avec les séquences faites en classe. (anciennes versions de ces fiches : début des années 2000) Quelle restitution et exploitation de la lecture cursive au college. Evaluercursive. [64] - Évaluer la lecture d’une oeuvre.

Pourquoi évaluer une lecture ?

[64] - Évaluer la lecture d’une oeuvre

Varier les approches de la lecture cursive aussi bien en Seconde qu’en Première. Confronter des points de vue d’élèves sur l’œuvre lue. Mettre l’œuvre lue en relation avec une problématique (abordée dans la séquence). Transférer ce qui a été fait en cours sur un autre support. E.L.FE Évaluation de la Lecture en FluencE. Cartographie littéraire. Juliette Sorlin : Lire autrement au collège avec le numérique. De plus en plus, la lecture sur écran prolonge, sinon remplace, la lecture sur papier : qu’en est-il en classe ?

Juliette Sorlin : Lire autrement au collège avec le numérique

Comment le numérique peut-il y favoriser le travail des compétences de lecture en général ? Professeure de lettres au collège Diderot à Besançon, Juliette Sorlin éclaire la question par des expériences variées : l’ENT comme journal collectif de la lecture, Twitter pour la prolonger par l’écriture, des tablettes pour réaliser des bandes-annonces de livres, construire des portraits à partir de recherches en ligne, créer la bande-son des pensées d’un personnage, s’approprier les textes par des productions orales ... Le travail mené est édifiant : le numérique ouvre aux élèves « le champ des possibles pour déplier le sens des textes, développer le goût de la langue et des mots, tisser petit à petit le dialogue entre le texte et leur intériorité … » Ces élèves de 3ème participaient au dispositif « À l’école des écrivains ».

Et l’expérience a été concluante. Réaliser une bande-son. Sandrine Baud : Métamorphoses numériques du français en collège. Transformer le poème épique les Métamorphoses en webdocumentaire, la pièce Cyrano de Bergerac en roman épistolaire, le roman Les Misérables en magazine numérique de presse : voici quelques jolies missions réalisées par les élèves de Sandrine Baud, professeure de français, au collège de L’Harteloire à Brest.

Sandrine Baud : Métamorphoses numériques du français en collège

Les recréations témoignent toutes à leur façon de la capacité du numérique à redonner vie aux œuvres et vitalité aux apprentissages. En explorant ainsi pédagogiquement les plaisirs de l’hypertextualité, de l’enrichissement et du détournement, c’est bien des compétences que les élèves sont amenés à travailler : de lecture et d’écriture, mais aussi de recherche documentaire, de production orale en continu et en interaction, d’organisation et de coopération … « S'ils n'aiment pas tous lire, témoignent l’enseignante, les élèves aiment les histoires, et ils se les approprient à travers ce type de projets. » Pouvez-vous nous éclairer sur le contenu du webdocumentaire ?