background preloader

Grainothèques

Facebook Twitter

Semences Paysannes. Bibliothèque, grainothèques et outilthèque. Le centre de ressources met à votre disposition une bibliothèque, une grainothèque, et une outilthèque afin de vous fournir respectivement livres, graines et outils de jardinage !

Bibliothèque, grainothèques et outilthèque

Pour y avoir accès, il suffit d’être adhérent à l’association (l’adhésion étant à prix libre pour les particuliers et 20 euros pour les structures). La bibliothèque : En consultation libre sur place aux horaires d’ouverture du local du 36 (environ de 10h à 17h du lundi au vendredi). Pour emprunter, envoyez nous un mail ou téléphonez nous.contact@partageonslesjardins.fr ou 06 87 37 81 67 La grainothèque : Elle est en libre service. L’outilthèque : Pour emprunter des outils de jardinage, vérifiez la disponibilité et prenez rendez-vous avec nous par mail ou par téléphonesarah@partageonslesjardins.fr ou 06 87 37 81 67 Partageons Les Jardins vous propose de découvrir les grainothèques et vous accompagne dans votre projet. Grainothèque de la Médiathèque Grand M à toulouse Une grainothèque qu’est-ce que c’est ? Proposer des « grainothèques » en bibliothèque pour favoriser le partage des semences libres – – S.I.Lex

Mon intérêt pour les biens communs m’a peu à peu fait découvrir la problématique des semences, dont les enjeux sont aujourd’hui considérables et rejoignent par certains côtés ceux de la Culture libre.

Proposer des « grainothèques » en bibliothèque pour favoriser le partage des semences libres – – S.I.Lex –

J’ai eu déjà eu par exemple l’occasion sur S.I.Lex de consacrer des billets à des projets de licences libres appliquées aux semences ou à la question du domaine public végétal. Alors que les semences constituent un patrimoine millénaire qui s’est développé par le biais du partage de graines entre paysans, cette pratique est aujourd’hui fragilisée par des restrictions légales, faisant courir un risque à la biodiversité. Les variétés végétales tout comme les oeuvres de l’esprit, peuvent en effet être saisies par la propriété intellectuelle, par le biais de certificats d’obtention végétale ou de brevets protégeant les intérêts de l’industrie semencière. Le sujet est donc de première importance et récemment, une initiative a attiré mon attention. Grainothèque. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Grainothèque

Une grainothèque, mot formé sur le modèle de "bibliothèque", est un lieu où il est possible de déposer et échanger librement des graines de fleurs, de fruits et de légumes. Semences de différentes espèces. Grainothèques[modifier | modifier le code] Dans un esprit de partage et d'échange libre, des lieux associatifs dont notamment certaines bibliothèques, proposent des grainothèques[1],[2]. Aux États-Unis, une démarche similaire existe dans certaines bibliothèques où le "prêt" de graines côtoie le prêt de livres, comme dans la bibliothèque de Richmond, en Californie[3]. Il existe également des grainothèques citoyennes en Suisse,[12] au Royaume-Uni et ailleurs. Intérêt[modifier | modifier le code] Grainothèques. C'est quoi une grainothèque ? Pourquoi implanter une grainothèque ? Au moins 4 bonnes raisons (parmi tant d'autres): Troquer librement et à tout moment des graines, en ville comme à la campagne Découvrir et partager des variétés anciennes ou méconnues Apprendre à récolter soi-même ses graines : se réapproprier ce geste ancestral, participer au cycle de transmission du vivant Comprendre le rôle et les enjeux actuels des semences dans notre quotidien En pratique Pour réaliser votre grainothèque, vous pouvez utiliser divers contenants, l’important étant de garder les graines dans un espace ventilé, au sec et à l’abri de la lumière.

Qui sème la grainothèque récolte la bibliothèque ? Apparues aux États-Unis, les grainothèques fleurissent désormais dans les bibliothèques françaises !

Qui sème la grainothèque récolte la bibliothèque ?

Après la bibliothèque municipale de Lille et la médiathèque José-Cabanis de Toulouse, c’est au tour de la médiathèque parisienne Marguerite-Yourcenar (15e arrondissement) d’inaugurer aujourd’hui, vendredi 10 avril, ce nouveau service. Le fonctionnement de ces installations est très simple : les usagers y déposent des semences de plantes potagères ou de fleurs et peuvent en retour prendre celles qu’ils désirent. Alors que le développement de ce type de services atypiques doit être un moyen de rafraîchir l’image des bibliothèques, d’y d’attirer un nouveau public et de tisser un lien entre bibliothécaire et usager, ces grainothèques remplissent-elles pleinement ce rôle ? Si leur développement est un vrai plus, elles doivent s’inscrire pleinement dans une démarche d’accueil, collaborative et de projet d’établissement pour ne pas être considérées comme de simples « gadgets ». Les grainothèques, semences à partager.

Pour la gratuité dans un monde où tout s'achète Le partage est une manière économique, libre et solidaire de faire (re)découvrir les trésors de la nature à nos enfants, à nos voisins...

Les grainothèques, semences à partager

Alors que les graines reproductibles abondent dans nos jardins, les semences hybrides de l'industrie semencière constituent un véritable racket annuel des paysans et jardiniers. Pour la liberté d’échanger et de reproduire nos graines Le geste de l’échange est déjà interdit chez nos paysans et nombreux sont les projets de lois qui menacent sans cesse notre biodiversité cultivée. Ce geste a pourtant bâti la diversité des semences depuis des millénaires. Pour un entretien citoyen de la biodiversité cultivée Mauvaise nouvelle, l’héritage de notre biodiversité est déjà perdu à 75% selon la FAO, détruit par une industrie qui nous impose un nombre toujours plus restreint de variétés.

Exemples de grainothèques en bibliothèques