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Montage

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Final Cut Pro. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Final Cut Pro

Traite de Final Cut Pro X, à ne pas confondre avec Final Cut Studio contenant Final Cut Pro 7 ou antérieur. Final Cut Pro est un logiciel de montage virtuel édité par Apple. Description[modifier | modifier le code] Développé à l'origine par la firme Macromedia, Final Cut Pro a été racheté par Apple en 1998, ce qui lui a évité une disparition certaine. Après refonte complète et appui marketing, Apple en a fait un logiciel de montage largement utilisé par les monteurs vidéo qui travaillent uniquement sur Macintosh car le logiciel ne fonctionne que sur le système Mac OS X. Ce logiciel est de qualité professionnelle et fait à ce titre concurrence aux solutions d'Avid Technology comme Media Composer, il est utilisé dans le monde de la vidéo professionnelle (télévision ou cinéma), du fait de sa qualité et du moindre coût du banc de montage en général.

Final Cut Pro X[modifier | modifier le code] Dernière version[modifier | modifier le code] Questions Cône #4 - C'est quoi le montage ? Rejeter une supposée « essence » religieuse des faits observés et s’interroger sur le sens du recours à la référence musulmane par les acteurs sociaux. En introduction, Abdellali Hajjat et Marwan Mohammed soulignent la nécessité d’une « sociologie de l’islamophobie » et la responsabilité de certain-e-s littérateur-e-s et médias, « l’Islamophobie de plume », dans la fabrication d’un « problème musulman », du « problème de l’immigration ».

Rejeter une supposée « essence » religieuse des faits observés et s’interroger sur le sens du recours à la référence musulmane par les acteurs sociaux

Sur ce sujet, la mise en miroir avec le livre de Gérard Noiriel : Immigration, antisémitisme et racisme en France (XIXe – XXe siècle). Discours publics, humiliations privées, Fayard 2007, Discours publics, humiliations privées, fait plus que confirmer leurs propositions. Les auteurs interrogent : « Comment est-on arrivé à l’instauration d’un régime juridique d’exception, c’est à dire un régime juridique dérogatoire du droit commun, à l’encontre de tout ou partie des musulmans ? ». Les auteurs discutent, de manière très convaincante, des arguments avancés sur le terme « islamophobie ». Il convient donc de proposer une « définition opératoire de l’islamophobie ». Didier Epsztajn J'aime : J'aime chargement… Montage expressif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montage expressif

Le montage expressif (montage parallèle et montage alterné) est une figure de montages qui concerne l'alternance de plusieurs séquences, leurs mises en parallèle pour créer un nouveau tout. Marcel Martin opère un distinguo, au sein de ce qu'il nomme montage expressif, entre : Arrêt de caméra (cinéma) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Arrêt de caméra (cinéma)

L’arrêt de caméra est l’un des trucages ou truquages les plus anciens du cinéma. Il consiste à suspendre la prise de vues lors du tournage, produisant ainsi deux prises de vues distinctes, filmées selon un même cadrage, représentant une scène qui diffère d'une prise à l'autre par un ou plusieurs détails. Leur mise bout à bout fait croire à une modification instantanée d'ordre magique. Il a été employé pour la première fois le 28 août 1895 par un réalisateur et un scénariste de Thomas Edison, William Heise et Alfred Clark, chargés de trouver des sujets nouveaux, pour tourner une reconstitution de la décapitation de Marie Stuart, reine d’Écosse, condamnée pour trahison par sa cousine, la reine Élisabeth Ire d'Angleterre, en 1587. Le film s’intitule L'Exécution de Mary, reine des Écossais (The Execution of Mary, Queen of Scots), et dure moins d’une minute, comme tous les films de l’époque.

L’arrêt de caméra se fait en deux temps : Plan sur plan (cinéma) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Plan sur plan (cinéma)

Le plan sur plan est le résultat de la mise bout à bout de deux plans dont les cadrages sont identiques ou pratiquement identiques, sur le même sujet ou sur un sujet différent, dont le résultat à la projection est une sensation de saut sur place, recherchée par le réalisateur (dans ce cas souvent appelée « coupe franche ») ou produite involontairement et hors à propos. Le terme technique anglais est évocateur : jump cut (coupe sautée). Les éléments fondamentaux du langage filmique ont tous été expérimentés dans les 17 premières années du cinéma (1891-1908), le dernier étant la technique du récit en actions parallèles, avec son corollaire, le montage parallèle[1].

D’autres règles, énoncées à Hollywood dans les années 1920, sont considérées directement comme des lois. Il faut donc éviter un plan sur plan, qui constitue une "faute de langage" dont le résultat est l’incompréhension ou le malaise des spectateurs.