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Maternité

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EDITIONS IMAGO FAITS DE SOCIETE : Pas d'enfant, dit-elle, Edith VALLEE. Edith VALLEE Pas d'enfant, dit-elle Les refus de la maternité La maternité paraît être, pour beaucoup d'entre nous, l'expression naturelle, l'aboutissement même de la féminité.

EDITIONS IMAGO FAITS DE SOCIETE : Pas d'enfant, dit-elle, Edith VALLEE

Obligée d’avoir des enfants ? UE: le congé de maternité de 20 semaines, ce n'est pas pour demain. Aujourd'hui dans l'Union européenne, la règle pour le congé maternité, c'est 14 semaines minimum.

UE: le congé de maternité de 20 semaines, ce n'est pas pour demain

Mais ce règlement a plus de 20 ans et en 2008, la Commission européenne a voulu le revoir et porter ce congé minimum à 18 semaines. Le Parlement européen est allé encore plus loin en demandant 20 semaines, entièrement rémunérées. Mais voilà, les États membres estiment que cette mesure serait trop coûteuse et ils ont décidé de botter en touche. La Lettonie, qui préside le Conseil, va enfin ressortir le dossier du frigo mais seulement pour tester les 28 et voir si un accord peut être envisageable. Why I Absolutely, Positively Never Want to Have a Child. This post originally appeared on Femsplain.com.

Why I Absolutely, Positively Never Want to Have a Child

I am about to tell you something that may shock you. Are you ready? Are you sitting down? La bataille des femmes belges forcées à abandonner leur enfant. Quand Ritje a tenu pour la première fois son « bébé » dans ses bras, celui-ci avait 43 ans.

La bataille des femmes belges forcées à abandonner leur enfant

Cette sexagénaire tombée enceinte après un viol et contrainte d'abandonner son enfant se bat pour faire reconnaître le scandale de milliers d'adoptions forcées, particulièrement en Flandre, avec la complicité de l'Église catholique. Let's Stop Giving Shit To Women Who Don't Want Kids  I think we can all agree that women are under a lot of scrutiny.

Let's Stop Giving Shit To Women Who Don't Want Kids 

Irlande : la femme enceinte en état de mort cérébrale va être débranchée. Une femme enceinte, en Irlande, est maintenue en vie contre la volonté de sa famille, car son fœtus est viable.

Irlande : la femme enceinte en état de mort cérébrale va être débranchée

Ce tragique fait divers relance le débat sur l'IVG, sujet très sensible dans ce pays. Posée telle quelle dans The Irish Times, la question peut choquer : « Une maman formidable  : un aperçu de l’enfer. Dans la grande mouvance des émissions de télé fondées sur la notation de tout et n’importe quoi (par tout le monde et n’importe qui), D8 pousse le bouchon un peu plus près du caniveau : sa nouvelle émission sobrement intitulée Une maman formidable propose à des mères de famille de jouer la compet’.

« Une maman formidable  : un aperçu de l’enfer

En avant les clichés ! Pour que la baston aille bon train, on case les participantes dans des cases bien stéréotypées : la maman-poule, la stricte, la décontractée et la stressée. Don't pressure Jennifer Aniston to be a mom: 'I don't think it's fair' Jennifer Aniston's unleashed her thoughts on feminism and the disparities in the film industry in the latest issue of Allure.

Don't pressure Jennifer Aniston to be a mom: 'I don't think it's fair'

The "Friends" alum, who covers the beauty magazine's January issue in a shimmering Donna Karan New York gown and goes topless inside, flat-out says that people unnecessarily "overcomplicate" feminism. A brain-dead Irish woman’s body is being used as an incubator. Be angry. In Ireland, a woman who is clinically dead but 17 weeks pregnant is being kept alive against her family’s will.

A brain-dead Irish woman’s body is being used as an incubator. Be angry

At this painful time, her relatives must go to court to stop the Irish state treating their loved one’s body as a cadaveric incubator. Do those facts emotionally affect you? Then please calm down. What we need here is balance. Jennifer Aniston, 45 ans et sans enfant, dénonce la pression qu'elle subit : merci. Jennifer Aniston se bat contre la dictature de la maternité et elle a raison (SIPANY/SIPA) Depuis quelques mois, je me retrouve très souvent confrontée à un questionnement somme toute assez binaire : est-ce que ce que vient de déclarer Machin est sexiste ?

Jennifer Aniston, 45 ans et sans enfant, dénonce la pression qu'elle subit : merci

Ou pas ? Est-ce que Bidule est féministe ? Femmes sans enfant, femmes suspectes (2014) On peut être une femme épanouie sans désirer d'enfant. C'est un truisme de l'écrire. Et pourtant les premières concernées se voient obligées de le répéter à leur entourage pour se libérer de leurs reproches comme de leur inquiétude. L'inégalité est à cet égard frappante : tout le monde trouvera normal qu'un homme puisse s'accomplir sans se reproduire, alors qu'un soupçon continuera de peser sur la femme, que la doxa imagine forcément amputée de quelque chose, ou contrainte de réfréner son instinct naturel !

Frappée par la lecture du très beau texte de Linda Lê, A l'enfant que je n'aurai pas, Colombe Schneck — deux fois mère — interroge trois femmes, de 37 ans à 80 ans, ayant choisi de ne pas faire d'enfants. Pourquoi avant la pilule, les femmes n’avaient-elles pas un enfant tous les neuf mois ? De la puberté à la ménopause, la période de fécondité d’une femme s’étend sur environ trente ans de sa vie. Théoriquement, une femme aurait donc la possibilité de donner naissance à quarante bébés. La loi sur le double nom de famille contestée devant la Cour constitutionnelle. Un recours introduit contre un article de la loi sur les noms de famille.

13 choses que tous les hommes devraient savoir à propos des femmes enceintes... Si vous tenez à la vie, ceci est pour vous ! Je ne suis pas un expert pour comprendre les femmes enceintes. Ça, c’est dit. Même pour les femmes en général, j’ai du mal. En fait, je suis à peu près tout le contraire d’un expert… une sorte d’anti-expert, en somme. Mais je dois dire que je me suis planté tellement de fois, que je crois bien avoir déjà fait toutes les erreurs qu’il était possible de faire.

De ce fait, je parle en connaissance de cause, en ce qui concerne les choses à éviter… Le nom de la mère s’installe timidement. Mères et femmes enceintes, battez-vous jusqu'au bout  En France, tout est fait pour que les femmes fassent des enfants et restent sagement à la maison pour s'en occuper pendant que messieurs accèdent au plein emploi.

Tout. Le nombre insuffisant de places en crèche ou les moyens de garde exorbitants obligeant les femmes à s'occuper elles-mêmes de leurs enfants ; les congés parentaux qui ne sont d'une part pas imposés aux pères, et d'autres part imposés avec des minima aux mères, interdisant à celles qui le souhaitent de continuer de travailler ; l'urbanisme et les moyens de transports totalement inadaptés aux personnes à mobilité réduite (dont les femmes enceintes et les femmes avec poussettes), contraignant encore une fois les mères à sortir du système ; les mentalités qui infantilisent la femme enceinte, et surtout le monde du travail qui accuse de démotivation la jeune maman, qui la placardise, la brocarde, la relègue au rang de sous-employée, la réduit à la précarité.

It’s class, not whether a baby is breastfed, that determines life chances. “New mums bribed to breastfeed” ran headlines last week, as the Lancet reported that a pilot scheme offering women shopping vouchers worth up to £200 if they breastfed their babies will now be extended to more than 4,000 women. The ensuing debate worried away at the ethics of financially incentivising something so sacredly natural and freely given. Yet the debate avoided a taboo at the heart of the story: the tricky matter of class. The scheme is targeted at low-income families in deprived areas of Yorkshire and Derbyshire, and is predicated on the fact that breastfeeding rates are much lower among working-class than middle-class women.

In the UK, only 32% of women in the “routine and manual socioeconomic” group breastfeed beyond six weeks, compared with 65% in the “managerial and professional” group. Despite – or perhaps because of – galloping socioeconomic inequality, class has become an excruciatingly embarrassing and forbidden topic. But the scientific evidence is not what it seems. Birth Anarchy. Le parent par défaut  Le parent par défaut, c'est vous ? Si vous n'en êtes pas sûr(e), la réponse est non. Croyez-moi, vous le sauriez. Le parent par défaut est responsable des besoins affectifs, physiologiques et logistiques de ses enfants. L’intimité bafouée. Il y a un truc qui me faisait peur quand on a décidé avec mon Ours de se lancer dans le grand bain et de faire un enfant. Je n’avais pas peur que la grossesse déforme mon corps. Non.