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Psychologie

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Schizophrénie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Schizophrénie

La schizophrénie est une maladie mentale se développant généralement au début de la vie adulte. Elle est caractérisée par des difficultés à partager une interprétation du réel avec les autres, ce qui entraîne des comportements et des discours bizarres, parfois délirants. Les facteurs connus pour être liés au développement d'une schizophrénie sont multiples : d'ordre génétique, environnemental, psychologique, neurobiologique et encore social. Au début du XXIe siècle, ils sont cependant largement incompris. Le mécanisme de la pathologie est lui aussi incomplètement compris. Au départ, elle se manifeste principalement par un sentiment d'étrangeté, une bizarrerie, des intérêts étranges, ésotériques, voire un sentiment de persécution.

La schizophrénie a une prévalence globale d'environ 0,3-0,7 %[5],[6]. Drogue. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Drogue

Cannabis, souvent utilisé comme drogue calmante. Le terme « drogue » recouvre essentiellement deux aspects : la nature des effets biologiques que la drogue induit d'une part et, d'autre part, les rapports que celui qui la consomme entretient avec elle. Il faut qu'un composant chimique donné soit consommé pour qu'il puisse répondre à l'appellation de « drogue ». Le mode et la fréquence de consommation influe directement sur l'accoutumance ou la dépendance au produit. Un système de régulation de la production, du commerce et de la consommation des drogues a été mis en place au cours du XXe siècle. De façon plus générale, toute chose ou situation faisant l'objet d'une addiction est appelée « drogue ».

Étymologie[modifier | modifier le code] Notions intégrées[modifier | modifier le code] L'usage du terme « drogue » peut prêter à confusion car il relève d'une sémantique multiple[4]. Représentations collectives[modifier | modifier le code] Pour R.E. . La Vague (téléfilm et roman) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Vague (téléfilm et roman)

Cet article concerne le téléfilm et le roman sortis en 1981. Pour les autres significations, voir La Vague. Pour faire comprendre à ses élèves les sentiments qui peuvent emporter tout un pays dans le totalitarisme, le professeur fonda un mouvement fascisant qu'il baptisa « La Troisième Vague ». En quelques jours, dépassé par les événements et l'enthousiasme des élèves, le professeur mit un terme à l'expérience. L’expérience de Ron Jones, narrée dans un article écrit par le professeur lui-même en 1972 sous le titre « The Third Wave » (« La Troisième Vague »[1]), est rendue publique pour la première fois en 1976, sous le titre « Take As Directed » dans un magazine alternatif, le « CoEvolution Quartely ». Toujours en 1981, le romancier Todd Strasser, sous le pseudonyme de Morton Rhue, publie chez Dell Publishing, également sous le titre « The Wave » (« La Vague »[3]) une adaptation romancée et augmentée du téléfilm.

Expérience de Milgram. Graphique montrant que 65 % des sujets de l'expérience infligent des souffrances maximales si on le leur ordonne Reconstitution de l'expérience de Milgram (extrait)[1].

Expérience de Milgram

L’expérimentateur (E) amène le sujet (S) à infliger des chocs électriques à un autre participant, l’apprenant (A), qui est en fait un acteur. La majorité des participants continuent à infliger les prétendus chocs jusqu'au maximum prévu (450 V) en dépit des plaintes de l'acteur. L’expérience de Milgram est une expérience de psychologie publiée en 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram[2]. Cette expérience évalue le degré d'obéissance d'un habitant des États-Unis du tout début des années 1960 devant une autorité qu'il juge légitime et permet d'analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions posant des problèmes de conscience au sujet. Expérience de Stanford. L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique.

Expérience de Stanford

Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude.

Les 18 sujets avaient été sélectionnés pour leur stabilité et leur maturité, et leurs rôles respectifs de gardiens ou de prisonniers leur avaient été assignés ostensiblement aléatoirement. La Troisième Vague. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La Troisième Vague

Préambule d'avertissement[modifier | modifier le code] Chronologie de l’expérience d’après Ron Jones[modifier | modifier le code] Lundi[modifier | modifier le code] Jones donne une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi, elle assure la réussite des projets. Il passe ensuite aux travaux pratiques et indique une position assise susceptible de faciliter la concentration et la volonté : pieds à plat sur le sol, dos droit, mains croisées derrière le dos.