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Non mixité. Minidossier appélistes : Parmi les objectifs : « abolir les assemblées générales » Perturber une AG n’est pas toujours le fruit d’un tempérament brouillon ou individualiste.

Minidossier appélistes : Parmi les objectifs : « abolir les assemblées générales »

Certains groupes en font à présent le nec plus ultra de la pratique révolutionnaire. Cet article s’insère dans un petit dossier sur la mouvance appéliste. Lire les autres articles : Campus : Une lubie radicale-chic : la haine de la démocratie Deux lignes de partage au sein de la mouvance autonome Analyse : Une mystique communautaire Les syndicalistes excédés d’avoir vu ruiné leur travail de mobilisation par des groupes qu’ils qualifient indistinctement d’« autonomes » (ou plus couramment de « totos ») attribuent généralement leur attitude brouillonne à une révolte épidermique qui les pousse à brûler les étapes.

Cette explication est insuffisante. La séduction relative qu’exerce l’autonomie ces dernières années se nourrit du manque de perspectives du mouvement social. Exutoire aux défaites du mouvement social. Minidossier appélistes : Deux lignes de partage au sein de la mouvance autonome. On peut avoir des désaccords avec la mouvance autonome, mais on peut aussi avoir des points d’accord dans certaines luttes.

Minidossier appélistes : Deux lignes de partage au sein de la mouvance autonome

Avec les ennemis de l’autogestion en revanche, pas d’entente possible. Cet article s’insère dans un petit dossier sur la mouvance appéliste. Lire les autres articles : Minidossier appélistes : Une lubie radicale-chic : la haine de la démocratie. Dans le ressac actuel du mouvement social sont apparues des formes exacerbées d’impatience révolutionnaire.

Minidossier appélistes : Une lubie radicale-chic : la haine de la démocratie

Ivres de textes hermétiques et de fraternités claniques, certains groupes ont saboté les grèves étudiantes de Rennes en 2007 et de Toulouse en 2009. Actifs au sein de la mouvance autonome, ils s’y distinguent par leur haine de la démocratie. Retour sur un phénomène heureusement circonscrit aux campus. Cet article s’insère dans un petit dossier sur la mouvance appéliste. Lire les autres articles : Parmi les objectifs : « abolir les assemblées générales » Deux lignes de partage au sein de la mouvance autonome Analyse : Une mystique communautaire Université Rennes-II, mercredi 7 novembre 2007. La vie est courte a2 couleur. L'humour est une chose trop sérieuse... - Une heure de peine... Lui : Wah, hé, faut que je te montre un truc, tu vas trop te marrer.

L'humour est une chose trop sérieuse... - Une heure de peine...

C'est un test dans le dernier Consoles +, c'est trop bon. Moi : ... Lui : Tu ris pas ? DESOBEISSANCE CIVILE : Frédéric Gros : "C’est confortable d’obéir" MILITANTISME : Les mots ne sont pas si importants. Pendant mon mois de repos, j'ai réfléchi à pas mal de choses.

MILITANTISME : Les mots ne sont pas si importants

Cela faisait un bout de temps que j'étais un peu gêné par la manière dont, dans certains milieux militants que je fréquente, on s'attache au langage et à sa déconstruction. Il faut dire aussi qu'autour de moi, il se trouve des personnes auxquelles je tiens profondément qui sont plus que sceptiques à ce sujet, dont certaines, qui, tout simplement, ont abandonné toute idée de militantisme ou même d'information du fait d'un état psychique trop fragile et des réactions trop violentes, ou simplement de l'incapacité à résister à la pression à l'idée qu'un mot mal placé puisse complètement anéantir toute une pensée. j'ai vu à plusieurs reprises des cas où la reprise sur les mots était fait à des personnes n'ayant aucun lien avec le militantisme, et ce, de façon directe voire même virulente.

MILITANTISME : Quart d’heure de lucidité. Ce n’est pas parce que j’écris continuellement, avec fébrilité, que je ne suis pas consciente de la futilité de cet exercice.

MILITANTISME : Quart d’heure de lucidité

Par exemple, je me demande souvent pourquoi j’écris autant au sujet de l’anarchie, de la danse de la vie, de la beauté féroce de l’érotisme, du chaos, des horreurs que la société nous fait subir. À priori, rien ne devrait me pousser à le faire : je n’ai aucun désir de convaincre quiconque, le prosélytisme me répugne et je n’ai rien à vendre. Je ne suis membre d’aucun parti, d’aucune secte et je n’ai donc personne à convertir, ni de carte de membre à fourguer. Les idéologies m’indisposent, en particulier l’anarchisme qui pourtant est si proche de ma sensibilité. Je fréquente peu d’anarchistes; en fait, j’évite de me frotter aux militants et aux obsédés politiques de tout poil.

Je ne serai jamais une sainte, ni une militante. Je constate avec désolation que la plupart d’entre vous acceptent vos chaînes avec passivité et résignation. WordPress: J'aime chargement… MILITANTISME : Le Social Justice Warrior. MILITANTISME : Les mots sont importants. L’incident est atypique.

MILITANTISME : Les mots sont importants

Il m’arrive souvent de reprendre les gens qui emploient le terme d’ "enculé", avec des collègues ou des amis d’amis ; ce qui s’ensuit est généralement une conversation trop longue et souvent pénible pendant laquelle la personne avec qui je parle essaie de prouver qu’elle est dans son droit. Les arguments sont toujours plus ou moins les mêmes. Il existe une panoplie relativement standard. MILITANTISME : Thoreau, derrière la légende. Texte inédit pour le site de Ballast Henry David Thoreau, l’auteur du célèbre Walden ou la Vie dans les bois, serait le père de la désobéissance civile pacifique et non-violente.

MILITANTISME : Thoreau, derrière la légende

Un mythe à démêler. ☰ Par Émile Carme La prison plutôt que l’injustice « Le temps émousse le tranchant d’une pensée, et les héritiers politiques de ceux qui la combattaient alors s’enorgueillissent à présent de ses lauriers. » Les historiens ont coutume de situer le début de l’esclavage aux États-Unis en 1619 : une vingtaine d’Africains, transportés à bord d’un navire espagnol dirigé par des commerçants hollandais, foulent le sol du Nouveau Monde. The Last Moments of John Brown, 1884, par Thomas Hovenden John Brown ou la lutte armée L’homme, un Blanc né dans le Connecticut en 1800, fonde The League of Gileadites en réaction à l’adoption de la loi.

MILITANTISME : La question des premiers concernés. Il existe une confusion entretenue autour de la question des premiers concernés sur laquelle il va falloir revenir brièvement.

MILITANTISME : La question des premiers concernés

Que la formulation des revendications et la direction politique des mouvements d’émancipation soient le fait des groupes concernés par la forme de domination spécifique dont il est question c’est, en effet, un principe de base de l’autonomie politique pour des raisons qu’on pourrait évoquer mais qui ne sont pas le propos ici. Qu’on reconnaisse que les dominés jouissent, en matière d’analyse critique de leur propre domination, d’un biais positif leur permettant, toute chose étant égale par ailleurs, de voir a priori un peu mieux le rapport de domination comme étant un rapport de domination : certes, c’est une considération épistémologique de base.

Des choses tout à fait pertinentes ont été analysées sur le racisme notamment par des blanches comme Colette Guillaumin, ou encore par Christine Delphy pour ne citer qu’elles. Lire l’article au format .pdf ici. MILITANTISME : Surveille ton langage ! Si vous avez été envoyé vers cet article par un lien posté suite à vos propos, prenez le temps de le lire, au calme, sans a priori.

MILITANTISME : Surveille ton langage !

Vous verrez qu’au final, il n’ y a rien de dramatique. Une société de dominations Nous vivons dans une société (ou un agglomérat de sociétés connectées) qui baigne dans les oppressions diverses et variées : racisme, sexisme, homophobie, biphobie, lesbophobie, transphobie, classisme, validisme… Depuis notre naissance, selon notre milieu et notre parcours, de nombreux facteurs influencent notre façon de penser, parler, agir : éducation familiale et scolaire, culture (livres, cinéma, chansons, télé-poubelle ou télé-qualité, patrimoine…), publicités, rencontres, administrations publiques et privées, compositions et ambiances de nos lieux de travail et de loisirs, hasards de la vie. Hors tous ces facteurs sont eux-mêmes inscrits dans le contexte des dominations évoquées plus haut. Renforcement des oppressions.