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Créativité - neuro-psycho-socio

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Philosophie et entreprise. L'improbable miracle. Théorie des ensembles de von Neumann–Bernays–Gödel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La théorie des classes a été introduite en 1925 par John von Neumann, mais celui-ci avait pris comme objets primitifs des fonctions[2]. Elle est reformulée en termes d'ensemble et d'appartenance et simplifiée par Paul Bernays vers 1930[3]. Kurt Gödel en donne une version inspirée de celle de Bernays, pour sa preuve de cohérence relative de l'axiome du choix et de l'hypothèse du continu par les constructibles, lors de conférences à Princeton en 1937-1938 (publiées en 1940).

Une théorie des classes plus forte, la théorie de Morse-Kelley, a été proposée plus tard par plusieurs mathématiciens, et apparaît pour la première fois en 1955 dans le livre de topologie générale de John L. Kelley. Les classes[modifier | modifier le code] Les classes en théorie des ensembles[modifier | modifier le code] Les classes comme objets primitifs[modifier | modifier le code] Les classes et les prédicats[modifier | modifier le code] x ∈ V ssi ∃C x ∈ C. c'est-à-dire que :

Attitude propositionnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une attitude propositionnelle est la manière dont un sujet se comporte par rapport à une proposition. Les attitudes propositionnelles les plus courantes sont croire que p, dire que p, penser que p, désirer que p... où p est la proposition qui est crue, dite, pensée ou désirée.

Présentation générale[modifier | modifier le code] Les attitudes propositionnelles sont un sujet d'étude de la philosophie de la logique depuis la création avec Frege et Russell de la logique mathématique. Celle-ci obéit à une règle qui est le principe de substitution. Or, ce principe semble être contredit par les attitudes propositionnelles. Selon la formule de Quine, on qualifie les attitudes propositionnelles de « contextes non extensionnels » ou « opaques », car la vérité des propositions de la forme Paul croit que p n'est pas fonction de la valeur de vérité des éléments de cette proposition. Voir aussi[modifier | modifier le code] Cercle vicieux. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. On peut distinguer trois types de cercle vicieux : Cercle vicieux évolutif[modifier | modifier le code] Dans son sens le plus courant, un cercle vicieux (ou enchaînement diabolique, effet boule de neige ou encore spirale vicieuse) est un ensemble de causes et d'effets qui forment une boucle dégradant la situation, parce que l'effet négatif nourrit et amplifie les causes qui lui donnent naissance.

À l'inverse, on parle de cercle vertueux ou de spirale vertueuse, lorsqu'un même mécanisme de rétroaction amplificatrice entraîne des effets positifs ou bénéfiques. L'effet boule de neige est le meilleur exemple de cercle vicieux. Exemples de cercles vicieux évolutifs : dans l'agriculture sur brûlis, les assolements.

En économie[modifier | modifier le code] L'expression est très utilisée en économie, où on observe de nombreux cas où deux phénomènes liés interagissent pour aboutir à une dégradation supplémentaire de la situation. Modus ponens. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Modus. Formalisation[modifier | modifier le code] La règle du modus ponens ou de détachement est une règle primitive du raisonnement. On l'écrit formellement (suivant le contexte) : ou et on peut lire : « de A et de A ⇒ B on déduit B », ou encore « A et A ⇒ B donc B », c'est-à-dire que l'on affirme A et A ⇒ B, et on en déduit que l'on peut affirmer B.

Bien que l'implication et la déduction soient fortement liées, elles ne s'identifient pas, et la distinction est nécessaire pour formaliser le raisonnement. Systèmes de déduction[modifier | modifier le code] C'est souvent (mais pas nécessairement) l'unique règle d'inférence du calcul des propositions, dans les systèmes de déduction à la Hilbert, car les règles primitives des autres connecteurs s'expriment à partir d'un axiome bien choisi et du modus ponens. Articles connexes[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Semir Zeki: Beauty is in the brain of the beholder | Human World.

Beauty isn’t in the eye of the beholder – it’s in the brain, according to a 2011 paper in the online journal PLoS One. And in a very specific part of the braia, too: the medial orbito-frontal cortex, located just behind the eyes. That’s according to co-author of the new PLoS One paper and brain expert Professor Semir Zeki, of the University College London. He told EarthSky’s Beth Lebwohl: Philosophers have always been interested in: what is beauty, and what do all things that are experienced as beautiful have in common? Apparently, the answer is yes. The visual stimuli included paintings of portraits, landscapes and still lifes … The auditory stimuli included classical and modern excerpts. Zeki found, by examining MRI images of his subjects’ brains, that when people look at something they find beautiful, a portion in the front part of the brain called the medial orbito-frontal cortex “lights up.” It really tells you seeking beauty is in fact seeking to reward your pleasure centers.

La créativité: 18 choses que les gens créatifs font différemment des autres. CERVEAU - La créativité opère de manière mystérieuse et souvent paradoxale. La pensée créative est une caractéristique stable qui définit certaines personnalités, mais elle peut aussi changer en fonction du contexte. On a souvent l’impression que l’inspiration et les idées naissent de nulle part et qu’elles disparaissent au moment où on a le plus besoin d’elles.

La pensée créative nécessite une cognition complexe qui est néanmoins complètement différente du processus de réflexion. La neuroscience nous propose une image très complexe de la créativité. Tels que les scientifiques le comprennent aujourd’hui, la créativité est bien plus complexe que la distinction entre les parties droite et gauche du cerveau nous aurait laissé penser (en théorie, le cerveau gauche serait rationnel et analytique tandis que le cerveau droit serait créatif et émotionnel).

Les personnes créatives le savent bien, malgré ce que leurs professeurs ont pu leur dire: rêvasser n’est pas une perte de temps. Observation + déduction: dévenez aussi rusé que Sherlock Holmes ! Après un 1er article où je vous informais des avantages à améliorer votre pouvoir d’observation, en voici (enfin) la suite ! Les conseils donnés ici sont tirés du super livre de Maria Konnikova, Mastermind: How to Think Like Sherlock Holmes Savoir observer est essentiel en matière de créativité, c’est même la base.

On s’imprègne de ce qui nous entoure, ce qu’on lit, regarde à la télé, voit sur Internet, glane au fil des discussions… puis on le transforme ensuite à l’aide d’imagination et de déduction. Avez-vous déjà regardé les séries Mentalist ou Esprits Criminels ? Cette capacité nous permet d’être réellement acteur d’une situation: on ne se contente pas de regarder passivement quelque chose, on l’observe avec un œil aiguisé puis on déduit déjà comment cette chose va pouvoir nous servir. Ce « pouvoir » n’est pas réservé qu’aux gens bien-nés.

Améliorez votre pouvoir d’observation La plupart d’entre nous ne portons pas attention au monde qui nous entoure. Des notes, toujours des notes ! Site officiel de Hubert Reeves. Cyrulnik: la résilience. Making off de la créativité communicante. Introduction à l'ennéagramme. Le système d'ennéagramme L'ennéagramme est un système des types de personnalité qui se compose de neuf types différents. La personnalité de chacun tend vers un certain type, bien qu"il puisse aussi avoir des traits appartenant aux autres types de l'ennéagramme. Tandis qu'il est incertain si ce type soit génétiquement déterminé, beaucoup croient que c'est déjà en place à la naissance. Les neuf types de l'ennéagramme (ou les « ennéatypes », le « ennéa » signifie « neuf ») sont universellement identifiées par les numéros 1 à 9. Les gens d'un type particulier ont plusieurs caractéristiques en commun, mais ils peuvent être très différents quand même.

Des ailes Habituellement on a les caractéristiques d'un des types qui se trouvent à côté de ses propres qui sont plus importantes. Pour en savoir le type de l'ennéagramme qui vous êtes, voyez la description qui vous convient le plus, ou faites le test gratis d'ennéagramme sur ce site. Descriptions des types de l'ennéagramme Type 1 - Le Réformateur. Les 9 types de l’Enneagramme. Type 1 : Le perfectionniste Critiques envers eux-mêmes et envers les autres, les Un tendent à croire qu’il n’y a qu’une « bonne » façon de faire les choses. Ils se considèrent souvent comme les défenseurs de l’intégrité et de l’éthique et peuvent retarder une décision par peur de faire une erreur.

Utilisent souvent les mots « devrait » et « aurait dû ». Passion : la colèreVertu : la Sérénité. En savoir plus : Le Type 1 : le perfectionniste & Thèmes clé du Type 1 Type 2 : L’altruiste A la recherche d’affection et d’approbation, l’altruiste cherche à être aimé et apprécié en devenant indispensable à l’autre. Passion : l’orgueilVertu : l’humilité En savoir plus : Le Type 2 : l’altruiste & Thèmes clé du Type 2 Type 3 : Le battant Les Trois cherchent à être aimés pour leurs résultats.

Passion : le mensongeVertu : la vérité En savoir plus : Le Type 3 : le battant & Thèmes clé du Type 3 Type 4 : Le romantique Son attention est dirigée vers ce qui manque. Passion : l’envieVertu : l’équanimité. Théorie des jeux. La théorie des jeux est un domaine des mathématiques qui propose une description formelle d'interactions stratégiques entre agents (appelés « joueurs »)[1]. Les fondements mathématiques de la théorie moderne des jeux sont décrits autour des années 1920 par Ernst Zermelo dans l'article Über eine Anwendung der Mengenlehre auf die Theorie des Schachspiels[notes 1], et par Émile Borel dans l'article « La théorie du jeu et les équations intégrales à noyau symétrique ».

Ces idées sont ensuite développées par Oskar Morgenstern et John von Neumann en 1944 dans leur ouvrage Theory of Games and Economic Behavior[notes 2] qui est considéré comme le fondement de la théorie des jeux moderne. Il s'agissait de modéliser les jeux à somme nulle où la somme des gains entre les joueurs est toujours égale à zéro. La théorie des jeux devient dès ce moment un outil théorique important de la microéconomie. Histoire[modifier | modifier le code] Interprétations[modifier | modifier le code] . , gain du joueur. Méthode des six chapeaux. La méthode des six chapeaux, extraite de l'ouvrage Six chapeaux pour penser[1],[2], est une méthode de structuration de la pensée personnelle ou de groupe, développée par Edward de Bono, permettant de résoudre les problèmes en favorisant la pensée critique et en évitant la censure précoce des idées nouvelles, dérangeantes ou inhabituelles[3]. Selon Karadag et al., cette méthode permet de développer la pensée créative en présentant et en systématisant des pensées et des suggestions dans un format spécifiquement défini[4].

Pour cela, les participants sont invités à aborder la question en prenant ensemble tour à tour différents « chapeaux » d'une couleur particulière. L'ordre d'adoption des chapeaux varie en fonction du type de problème. L'enjeu est de mobiliser un processus de « pensée parallèle » simple et efficace qui aide les gens à sortir des limites de l'étroitesse d'esprit, de la pensée unidirectionnelle et des positions fixes (De Bono, 1985[1]). Portail du management. Gagnez en efficacité grâce aux « lois du temps » Inutile de faire du « présentéisme » au bureau : la productivité est avant tout une affaire de méthode !

Les « lois du temps », mises au point par des économistes, des historiens, des ingénieurs ou des médecins, nous le prouvent quotidiennement. Pour être plus performant, adaptez-les à votre gestion du temps ! Loi de Pareto : focalisez-vous sur l’essentiel On doit à l’économiste italien Vilfredo Pareto cette règle : 20% des produits équivalent à 80% de la valeur du stock. Transposée à son organisation personnelle, cette loi part du principe que 20% de nos tâches génère 80% des résultats. Par conséquent, inutile de se disperser ! Cette règle incite à se concentrer sur ce qui est urgent et important, puis urgent et pas important, important et pas urgent et enfin, pas important et pas urgent.

Loi de Laborit : éliminez ce qui est pénible En général, on a tendance à faire en premier les activités qui nous plaisent et qui sont les plus faciles. Loi de Carlson : évitez d’être interrompu. Comprendre GTD avec une carte heuristique. Getting Things Done. La « productivité sans stress »[modifier | modifier le code] David Allen prend soin d'emblée de préciser que la méthode GTD ne procède pas de la « gestion du temps », mais de la « gestion des actions afin d'obtenir des résultats ». GTD est une démarche d'organisation personnelle applicable par chacun à l'ensemble de ses activités, tant professionnelles que privées. Pratiquer la méthode amène à identifier avec sûreté ses priorités à tout moment, et à mieux se mettre en position d'agir immédiatement sur la priorité choisie.

L'auteur montre que pour bien choisir sa priorité et s'y consacrer pleinement, il faut pouvoir s'appuyer en permanence sur un système que l'on sait fiable. Au moment de choisir ce à quoi se consacrer maintenant, ce système doit présenter toutes les actions immédiatement exécutables là où l'on se trouve, qui feront progresser vers un des objectifs attendus, ou réaliser un des engagements établis. Un processus structuré[modifier | modifier le code] Capture (collecte) Revue.

L'intelligence collective. On trouvera ici une versionPowerpoint™ de cet exposé. L’Internet n’est pas une technologie comme les autres, il a une valeur et un potentiel anthropologiques. C’est sur ce principe que Pierre Lévy, sociologue réputé, fonde le concept d’intelligence collective dans son ouvrage L’Intelligence collective : pour une anthropologie du cyberspace paru initialement en 1994. La juxtaposition des deux termes n’est pas choisie au hasard : ici, " intelligence " doit être compris comme dans le sens de " travailler en bonne intelligence " par exemple.

L’expression finale se rapporte finalement à deux choses : Le concept à valeur politique au sens large, celui se référant à toutes les activités humaines en société organisée. I ? De par sa formation, Pierre Lévy a les compétences requises pour comprendre et analyser les problématiques liées à l’impact des nouvelles technologies sur les systèmes de signes et l’évolution culturelle en général. " Qu’est-ce que l’intelligence collective ? II ? Einstein... imagination is everything. Einstein. Is a more disorganized brain a more creative brain. In Where Good Ideas Come From: The Natural History of Innovation, Steven Johnson posits that “the more disorganized your brain is, the smarter you are” in reference to the results of a neuroscience experiment by Robert Thatcher. Across the board, in Johnson’s book and other sources it seems pretty clear that creativity is messy.

Ideas need to be sloshing around or crashing in to one another to produce breakthroughs: Johnson cites research showing that the volume of ideas bouncing about make large cities disproportionately more creative than smaller towns.Having multiple hobbies allows your brain to subconsciously compare and contrast problems and solutions, forming new connections at the margins of each.Similarly, reading multiple books at the same time vs serially lets your brain juxtapose new ideas and develop new connections.Wandering minds are more creative.Studying a field “too much” doesn’t limit creativity — it does the opposite. At the end of his book Johnson recommends: Tags: Brainstorming: 3 reasons why everything you know is wrong. Does creativity require freedom or constraints? - Barking up the wrong tree. How Constraints Drive Creativity.

Carte.html. 7000 images pour illustrer vos cartes. Préparer un exposé avec Freeplane. YouTube - Organisez votre vie avec le Mind Mapping : côté tête e. Problème corps-esprit. Le cerveau de Bouddha - poche - Rick Hanson, Rick Mendius.