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Comprendre l’opposition entre chiites et sunnites au Moyen-Orient. Daech, puissance monétaire et financière. What Is the Difference Between Sunni and Shiite Muslims. 10-5-05 (Updated 6-13-14) Google Questions tags: Islam, Muslims, Shiites, Sunnis by HNN Staff Related Links The Islam religion was founded by Mohammed in the seventh century.

What Is the Difference Between Sunni and Shiite Muslims

In 622 he founded the first Islamic state, a theocracy in Medina, a city in western Saudi Arabia located north of Mecca. There are two branches of the religion he founded. The Sunni branch believes that the first four caliphs--Mohammed's successors--rightfully took his place as the leaders of Muslims. Shiites, in contrast, believe that only the heirs of the fourth caliph, Ali, are the legitimate successors of Mohammed.

Another difference between Sunnis and Shiites has to do with the Mahdi, “the rightly-guided one” whose role is to bring a just global caliphate into being. In a special 9-11 edition of the Journal of American History, Appleby explained that the Shiite outlook is far different from the Sunni's, a difference that is highly significant: Osama bin Laden was a Sunni Muslim. Syreda hunny ibrahim - 3/24/2011. Comprendre l’opposition entre chiites et sunnites au Moyen-Orient. Le Moyen-Orient : une géographie qui a une histoire (1) Rédacteur : Vincent Capdepuy Pour chaque nouvelle question au concours d’enseignement d’histoire et de géographie, le jury rédige une lettre de cadrage dans le but d’expliciter les attentes et d’éviter ainsi que les étudiants ne divaguent trop.

Le Moyen-Orient : une géographie qui a une histoire (1)

En l’occurrence, la question d’histoire contemporaine, intitulée « Le Moyen-Orient de 1876 à 1980 », nécessitait une mise au point sur la délimitation spatiale de ce qu’on doit entendre par Moyen-Orient. La notion est à géométrie variable et le jury a voulu clarifier les choses : « Le Moyen-Orient est une expression forgée en 1902 et renvoyant aux intérêts britanniques sur la route des Indes. En dépit d’une définition géopolitique fluctuante, le jury considère que cet espace correspond aux États actuels suivants : Arabie saoudite, Bahreïn, Égypte, Émirats arabes unis, Irak, Iran, Israël, Jordanie, Koweït, Liban, Palestine, Qatar, Syrie, Sultanat d’Oman, Turquie et Yémen. Il y aurait peu à redire à cela, si ce n’est deux choses. . [1] [4] George N. Le Hezbollah en pleine mutation : d’un mouvement de libération nationale à une alliance stratégique régionale avec l’Iran. Première partie : l’ascension du Hezbollah au sein du régime libanais.

Evolution du Hezbollah jusqu’à son intervention dans la guerre civile syrienne en 2013 La légitimité du Hezbollah au Liban s’appuie sur la lutte contre l’armée israélienne présente au Sud-Liban depuis le 15 mars 1978.

Le Hezbollah en pleine mutation : d’un mouvement de libération nationale à une alliance stratégique régionale avec l’Iran. Première partie : l’ascension du Hezbollah au sein du régime libanais

Après plus de deux décennies d’occupation, l’armée israélienne se retire sans conditions du Liban en mai 2000. Cette première victoire d’une puissance militaire arabe face à l’Etat hébreu depuis 1948 repose sur l’idéologie particulière du Hezbollah qui prône ce que l’on appelle chez les musulmans chiites le djihad défensif (2), qui reflète toutes les formes de résistance menées par les musulmans contre une oppression extérieure ou intérieure. L’idée du martyre est inséparable de la conception du djihad défensif. L’Islam chiite érige le martyr au rang d’intermédiaire entre le héros et le Saint, ce en quoi il s’apparente au martyre chrétien.

Le 12 juillet 2006, le Hezbollah provoque l’Etat hébreu en kidnappant deux soldats israéliens sur la ligne de cessez-le-feu. Notes : Documentaire Arte 2016 & Les mille et une Turquie & La cote de la Mer Noire. Clinton, Juppé, Erdoğan, Daesh et le PKK, par Thierry Meyssan. Publié en 2013, le plan Wright reprend les éléments du plan Juppé pour la Libye, la Syrie et l’Irak.

Clinton, Juppé, Erdoğan, Daesh et le PKK, par Thierry Meyssan

Cependant, Robin Wright va plus loin en incluant des projets pour l’Arabie saoudite et le Yémen. En arrivant au pouvoir à Ankara, en 2003, le parti islamiste AKP a modifié les priorités stratégiques de la Turquie. Plutôt que de se baser sur les rapports de force post-« Tempête du désert », Recep Tayyip Erdoğan ambitionnait de sortir son pays de l’isolement dans lequel il se trouvait depuis la chute de l’Empire ottoman. S’appuyant sur les analyses de son conseiller, le professeur Ahmet Davutoğlu, il préconisa de régler les problèmes en suspens depuis un siècle avec ses voisins et de devenir progressivement l’incontournable médiateur régional.

Il lui fallait pour cela à la fois devenir un modèle politique et construire des relations avec ses partenaires arabes sans perdre son alliance avec Israël. C’est alors que tout bascula… Comment la France a fait basculer la Turquie.