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PROJET AGRICULTURE

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Dailyinfographic.com. The Weirdest Foods You Can Grow In Your Garden. The Vertical Farm Project - Agriculture for the 21st Century and Beyond. Système d’Intensification des Cultures (SIC) Search: agriculture. Jeunes agriculteurs d'Afrique: ensemencer l'avenir - Français - IPS Inter Press Service. Horn of Africa: on the brink of a humanitarian crisis - The Big Picture. One of the worst droughts in a century, compounded by high food prices and unremitting political strife, is spawning an immense humanitarian crisis on the Horn of Africa. Thousands of Somalis are fleeing their homeland each week; most of those who survive the brutal journey end up in refugee camps in neighboring Kenya. Aid agencies are calling it the worst drought in 60 years. Although centered on Somalia, which lacks a functioning government and suffers from constant battles with Islamic rebels, the crisis has also affected people in Djibouti, Ethiopia, Kenya, and Uganda.

Reports suggest parts of Somalia may already be on the verge of famine, a repeat of the emergency situation two decades ago. With a population of 370,000, Dadaab is the world's largest refugee camp. Bayer CropScience / France - Produits et Solutions / Hygiene Publique. Www.spipm.cgiar.org/c/document_library/get_file?p_l_id=17829&folderId=18466&name=DLFE-1514.pdf. Les insectes ravageurs de la carotte. Table des matières Introduction Les trois ravageurs les plus importants de la carotte en Ontario sont : a) la mouche de la carotte, Psila rosae (Fabricius); b) le charançon de la carotte, Listronotus oregonensis (LeConte); c) la cicadelle de l'aster, Macrosteles quadrilineatus (Forbes). Les larves des deux premiers percent des galeries à l'intérieur de la racine, rendant les carottes invendables. La cicadelle, pour sa part, porte et transmet le mycoplasme de la jaunisse de l'aster (AY-MLO), maladie qui frappe non seulement la carotte mais une vaste gamme de cultures.

Les ravages de ces insectes sont particulièrement inquiétants dans les terres noires du marais Holland et des marais avoisinants où se concentre plus de 80 % de la production de carottes de la province. Les trois insectes sont, par ailleurs, présents à divers degré dans une bonne partie du sud de l'Ontario. Identification des dégâts Figure 1. Figure 2. Mouche de la carotte Cycle vital et moeurs Figure 3. Figure 4. Figure 5. Www.cirad.fr/var/cirad/storage/original/application/af9759c6a4118b7739b8f15561a2177b.pdf. Produire plus avec moins - Un nouveau modèle d'agriculture. Avant-propos Avec la publication de Produire plus avec moins, en 2011, la FAO a proposé un nouveau modèle de production agricole intensive, à la fois très productif et durable sur le plan de l’environnement. L’Organisation a constaté que, au cours de ces cinquante dernières années, une agriculture basée sur l’utilisation intensive d’intrants avait permis d’accroître la production mondiale d’aliments et la consommation alimentaire moyenne par habitant.

Ce faisant, toutefois, ce type d’agriculture a entraîné la surexploitation de bon nombre d’écosystèmes, mettant en péril la productivité future, et provoqué une augmentation des émissions des gaz à effet de serre responsables du changement climatique. Elle n’a en outre pas permis de réduire le nombre de personnes qui souffrent de faim chronique, nombre aujourd’hui estimé à 870 millions. Nous devons faire en sorte d’asseoir la production et la consommation alimentaires sur une base véritablement durable. Remerciements Auteurs Comité directeur. Produire plus avec moins: 6. La protection des plantes. Les pesticides éliminent les ravageurs, mais aussi leurs ennemis naturels, et une utilisation excessive peut présenter des dangers pour les agriculteurs, les consommateurs et l'environnement.

La première ligne de défense est un écosystème agricole sain. On pense souvent que les ravageurs des plantes sont des facteurs externes, introduits dans la production agricole. Il s'agit là d'une idée erronée car, dans la plupart des cas, les ravageurs sont présents naturellement dans l'écosystème agricole. Les ravageurs et les espèces qui les accompagnent – prédateurs, parasites, pollinisateurs, concurrents et décomposeurs – sont des composantes de la biodiversité agricole associée aux cultures, qui remplissent tout un éventail de fonctions écosystémiques. Les stratégies de lutte contre les ravageurs doivent faire partie intégrante de l'intensification durable des cultures, car celle-ci entraînera une augmentation de la nourriture disponible pour les ravageurs.

FICHE D'INFORMATION No. 5 Sources 1. Solutions prometteuses pour la lutte contre les ravageurs dans les systèmes biologiques. Av Singh, Ph.D. L'agriculture biologique croit en l'importance d'édifier des sols sains en utilisant du compost et des engrais verts, la rotation des cultures (incluant les cultures en sous semis et les cultures intercalaires), et en intégrant la production végétale avec l'élevage. Ces modes de régie font également office de principal moyen de défense contre les ravageurs. Les ravageurs se définissent simplement comme les insectes, les mauvaises herbes ou les maladies qui peuvent affecter le rendement ou la qualité d'une culture.

Généralement, la stratégie de lutte contre les ravageurs comprend également des pratiques culturales telles que le travail du sol, le brûlage et la cueillette manuelle (incluant l'utilisation d'un aspirateur). Ces méthodes prennent généralement beaucoup de temps et peuvent nécessiter une grande quantité de main d'œuvre et d'outillage. Peroxyde d'hydrogène - fongicide et bactéricide à large spectre qui peut s'utiliser sur plusieurs cultures comestibles. English. LUTTE CONTRE LES INONDATIONS : Un plaidoyer international pour une solution définitive. L'observateur international des banlieues périphériques (OIBP) va publier au mois d'avril 2013 un «livre blanc» dont les grands axes sont le plaidoyer, la prévention, la prise en charge et la mobilisation pour l'assaut final contre les inondations.

Les membres de l’Observatoire international des banlieues périphériques (OIBP), un organisme créé en 2008 et qui existe en France, au Brésil et au Sénégal, ont tenu un forum samedi à Pikine, en présence de tous les mouvements et associations qui travaillent dans la lutte contre les inondations. L'occasion a été mise à profit pour le lancement d'un livre blanc en forme de plaidoyer et intitulé : ‘’Pour éradiquer les inondations de la banlieue de Dakar, et pour une gestion des eaux pluviales comme une ressource naturelle rare’’. Plaidoyer, prévention, prise en charge et mobilisation des ressources, tels sont les grands axes de ce livre, selon le professeur Sylvain Lazharus, membre de la section parisienne de l'Oibp. Adaptation aux changements climatiques au Bangladesh : | Oxfam-Québec. Les inondations catastrophiques de 2004 au Bangladesh ont frappé 38 % du pays. Elles ont causé la mort de plus de 800 personnes, détruit les trois quarts des récoltes sur pied et ravi le logis de plus de 10 millions de personnes. « Depuis 20 ans, les inondations sont beaucoup plus fréquentes et graves qu'auparavant », explique Ainun Nishat de l'Union internationale pour la conservation de la nature au Bangladesh.

Oxfam aide les gens à se préparer en vue des inondations annuelles au Bangladesh, aggravées par les changements climatiques. Maisons surélevées En surélevant le terrain au-delà du niveau qu'atteint l'eau lors des inondations, on aide à protéger les maisons. Et en plantant des herbes et des arbres autour des maisons, on prévient l'érosion. « Nous cultivons des légumes sur les toits, comme des citrouilles, et des arbres fruitiers comme le manguier et le jaquier. Nous pouvons manger ces légumes et les fruits de ces arbres pendant et après les inondations.

Eau propre Radios. Blogs : INONDATIONS QUELLES SOLUTIONS CONSTRUCTIVES. Posté par: Macgyver SENEGAL| Vendredi 31 août, 2012 10:46 | Consulté 10161 fois | 27 Réactions | Après le passage des dernières pluies et notamment les inondations qu’elles ont pu provoquée, avec les conséquences que nous déplorons (en priant pour ceux qui y ont perdu la vie), les interrogations sont nombreuses. Que faire pour éviter qu’une telle catastrophe se reproduise ?

Quelles sont les solutions ? La solidarité est certes des réponses à apporter pour l’immédiat et nous saluons l’engouement qu'elle a apporté aux populations qui se sont bien mobilisées, mais elle n’est pas la seule. Il faut une maîtrise de l’urbanisation et trouver de nouvelles solutions constructives comme celle qui ont été élaboré à la Nouvelle-Orléans suite au passage de l’ouragan Katrina et à l’inondation impressionnante qu’il avait provoqué. Espace public : « trottoir planté » Espace public : Béton perméable Maison flottante : structure en polystyrène expansé. Entre ville et soignes - Lutte contre les inondations : (enfin) du neuf. Journée Mondiale de lutte contre la désertification et la sécheresse, le 17 juin. Le 17 juin 1992, l’ONU a adopté la convention des Nations Unies sur la lutte contre la désertification (UNCCD).

Cette journée a pour but de nous rappeler les dangers de la désertification et de la sécheresse dans le monde. Tout d’abord, il est important de souligner que les déserts ne sont pas uniquement des lieux où l’on trouve des dunes de sables et des nomades les parcourant (et Tintin aussi ! Mais là c’est une autre histoire). Ainsi l'Antarctique, ou le grand Nord, sont des espaces désertiques, parce que l'eau y est prise en glace. Deuxièmement, l’homme n’est pas responsable, a l’origine, des déserts mais aujourd’hui il y contribue.

Selon les critères de l’UNCCD, la désertification est la dégradation des sols dans les zones arides et semi-arides. Quand les sols sont fragilisés, le couvert végétal s'amenuis et le climat impitoyable fait le reste. Cela représente 4 milliards d’hectares de terres émergées (soit 1/3 de la surface du globe) ou encore 1/5ème de la population mondiale. Des solutions contre la sécheresse. Des solutions durables sont nécessaires pour lutter contre la sécheresse dans la corne de l'Afrique. Des solutions durables sont nécessaires pour lutter contre la sécheresse dans la corne de l'Afrique , La Corne de l'Afrique connaît sa pire sécheresse depuis plus de 60 ans. Après deux saisons des pluies sans aucunes précipitations, les récoltes ont été mauvaises et une grande partie du bétail n'a pas survécu.

Par ailleurs, on observe une hausse de prix des denrées alimentaires de base dans certaines parties de l'Ethiopie, au Kenya, au Djibouti, en Somalie et en Ouganda. Dans ce contexte extrême, plus de 11 millions de personnes ont besoin d'une aide urgente, et ce dans toute la région. Alors que la communauté humanitaire internationale s'échine à sauver des vies dans les zones touchées, la nécessité de rechercher des solutions durables pour éviter une récurrence de cette situation, aussi bien à moyen terme qu'à long terme, est de plus en plus apparente.

Ce n'est pas la première fois que la sécheresse ravage la région. Lutte contre la sécheresse : un solution durable ? (Google / La Nation.dj) | Sécheresse/Désertification. Lu au site : Alerte Google – sécheresse Lutte contre la sécheresse Vers une solution plus durable ? Moussa Omar Youssouf A Daïmoli et à Ripta (Tadjourah), lassés de scruter le ciel pour la pluie, les éleveurs se mobilisent. Partout dans le secteur rural, à mesure que la sécheresse perdure, la situation devient de plus en plus inquiétante. Que faut-il faire ? C’est dans cette optique qu’un "projet pilote d’adaptation à la sécheresse" a été initié à Daïmoli, dans le mont Mabla, localité située à 13 km de la ville de Tadjourah. La luzerne, plus connue sous le nom alfa-alfa, semble très bien adaptée au contexte pédo-climatique local. De toute évidence, le cas de Daïmoli est un bon exemple de projet pilote réussi.

L’action a été communautaire et venait directement de la base. (continue) Like this: J'aime chargement… Www.fntp.fr/upload/docs/application/pdf/2011-08/prevenir_les_inondations_2011-08-21_18-07-56_866.pdf. Comment régler définitivement le problème des inondations à Dakar: Par Ibrahima Diaby Gassama.

Les inondations survenues dernièrement à Dakar et dans les régions ont occasionné plusieurs dégâts, perturbant sérieusement la vie quotidienne des Sénégalais. Compte tenu de l’étendu de ces inondations, chaque Sénégalais y est allé de sa propre analyse de la situation. Les hommes politiques en tête, excepté les spécialistes de l’aménagement urbain et des travaux publics. En tout cas, on les a peu entendus.

Pourtant, leur avis, du moins leur expertise sur le sujet, est important dans de pareilles circonstances. Ce mutisme n’est pas pour autant surprenant, à mon avis, pour deux raisons. Face à une telle situation, j’ai décidé d’apporter ma part de contribution dans la recherche de solutions durables, et cela après quelques jours de réflexion. Un projet de construction doit être bénéfique socialement, respectueuse de l’environnement, et profitable sur le plan économique. Quid pour le Sénégal dans tout ceci ?