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Acouphènes et nerf pneumogastrique, nerf vague

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Participant Experience: Vagus Nerve Stimulation (VNS) Paired With Tones for Tinnitus. Stimulation du nerf vague et acouphène. Avant-Propos : Cet article aura pour unique but de traiter le sujet sur la Stimulation du Nerf vague, dans le cadre d’une recherche d’un traitement efficace aux personnes souffrant d’acouphènes chroniques ou non, bilatéraux ou non et quelque soit le type de son subjectif perçu en abordant dans la mesure du possible, les détails et outils nécessaires à la compréhension de cette étude.

Stimulation du nerf vague et acouphène

Il se peut que cette section contienne des informations inexactes ou vague et fera donc l’objet de mises à jours aussi régulière que possible et sera corrigé afin de rester le plus précis qu’il soit, en rapport avec les sources étudiés et récoltés, et aux contenus qu’il proposera à titre informatif pour tous. Avant de commencer à rentrer dans le vif du sujet nous allons brièvement rappeler ce qu’est le nerf vague, qu’elle est sa fonction. Ensuite nous verrons en quoi le stimuler peut-il justement espérer atténuer voir faire disparaître les acouphènes. Neurostimulation : Acouphènes. Nerf pneumogastrique. Un espoir pour guérir les acouphènes. Des essais cliniques devraient débuter en Europe dans les prochains mois pour ce traitement consistant à stimuler le nerf pneumogastrique tout en produisant simultanément une gamme de sons de différentes fréquences durant des périodes prolongées.

Un espoir pour guérir les acouphènes

La stimulation de ce gros nerf qui innerve le pharynx, le voile du palais, le larynx et l'abdomen est déjà utilisée pour soigner l'épilepsie et la dépression. Des expériences concluantes ont été menées sur des rats chez qui les chercheurs ont induit des acouphènes par un bruit aigu. Cette technique semble aider les parties du cerveau qui interprètent les sons à se reprogrammer pour retrouver leur état initial, ce qui fait disparaître la source du bourdonnement ou du sifflement, expliquent les auteurs de l'étude parue mercredi dans la revue britannique Nature.

Ils ont pu mesurer chimiquement les résultats de cette technique chez les rats.