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3 RESPONSABILITE HUMAINE SUJETS 1-8

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Plan du site - Obésité-Santé. Nutrition. Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde.

Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. Les avancées de la recherche ont précisé le rôle que jouent l’inadéquation des apports nutritionnels et l’insuffisance d’activité physique dans le déterminisme de nombreux cancers et maladies cardio-vasculaires, qui représentent plus de 55 % des 550 000 décès annuels en France. En savoir plus... Nutrition et santé. Avec la collaboration du Pr Serge Hercberg, professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Paris 13, directeur de l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam), directeur de l’unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (USEN -InVS/ISTNA-CNAM), directeur du Centre de recherche en nutrition humaine (CRNH) Ile-de-France (GIS) et du Pr Jean-Michel Oppert, chef de service au Centre de recherche et de médecine de l’obésité(Hôpital de la Pitié-Salpetrière, Paris), chercheur à l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam) - Octobre 2013.

La santé passe par l’assiette et l’activité physique © Inpes L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui. Bien manger, tout un programme Les recommandations clés sont les suivantes : Les fruits et légumes : au moins 5 portions par jour. Actualités. Nutrition - Programme National Nutrition Santé (PNNS) Manger Bouger. Assistance médicale à la procréation. Le centre d'assistance médicale à la procréation (AMP) Hôpital Paule de Viguier 330 avenue de Grande Bretagne TSA 70034 31059 Toulouse Cedex 9 Renseignements : Téléphone : 05 67 77 10 05 - Fax : 05 67 77 10 06 Ecrivez-nousSecrétariat ouvert : du lundi au vendredi de 9h à 17h, Samedi, Dimanche et jours fériés de 13h30 à16h Le Centre d’AMP fait partie du Pôle Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction des Hôpitaux de Toulouse.

Il est formé de 2 unités fonctionnelles : Stérilité Féminine et Laboratoire de Biologie de la Reproduction, regroupées dans une même entité tant au point de vue du fonctionnement qu’à celui des locaux. Personnel commun aux deux structures Accueil Mme Françoise QUADRI, Secrétaire Entretien Mme Nicole MAS, Aide Soignante Mr Frédéric POUPEL, Aide Soignant Mme Anne-Marie DE SOUSA, Aide Soignante Unité de stérélité féminine Publié le 09/03/2007 à 10h34 Unité de Stérilité Féminine Locaux 11 lits d’hospitalisation de jour 1 salle d’échographie 2 salles d’intervention Personnel Retour en haut de page. Le centre d'assistance médicale à la procréation (AMP) Assistance médicale à la procréation. Toutes les informations de référence sur le don de sang de cordon. FFDSB :: Fédération Française pour le Don de Sang Bénévole.

Etablissement Français du Sang. Etablissement Français du Sang. FFDSB :: Fédération Française pour le Don de Sang Bénévole. Don d’organes - Agence de la biomédecine. FRANCE ADOT - Fédération des Associations pour le Don d'Organes et de Tissus humains.

Toutes les informations de référence sur le don de sang de cordon. Risques solaires: SE PROTÉGER DU SOLEIL, C’EST PROTÉGER SA SANTÉ. Accueil - Institut Français Soleil et Santé - IFSS. Accueil - Institut Français Soleil et Santé - IFSS. INCa - Soleil mode d'emploi - JEU. Exposition au soleil et cabines UV : les conseils de prévention - Prévention. Soleil : risques et dangers ! Carcinome, mélanome... - Tout sur les cancers de la peau.

Obésité. Dossier réalisé en collaboration avec Arnaud Basdevant, nutritionniste et chercheur, unité Inserm U872, Institut hospitalo-universitaire ICAN (Institute of cardiology metabolism and nutrition), Paris, président du Plan National Obésité 2010-2013 - Janvier 2014. © Fotolia Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques. Ce déséquilibre aboutit à une inflation des réserves stockées dans le tissu graisseux qui entraîne elle-même de nombreuses complications.

L’obésité concerne aujourd’hui la quasi-totalité de la planète, y compris de nombreux pays émergents : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 35 % des adultes dans le monde sont atteints d’obésité ou de surpoids. Les complications associées, en particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires, entraînent le décès d’au moins 2,8 millions personnes chaque année. Mesurer l’excès de masse grasse © Inserm, D. . © Inserm, F. Sites. Cancer et nutrition. Dossier réalisé en collaboration avec l’Institut thématique multiorganismes Cancer (ITMO Cancer) et l’Institut national du cancer (INCa) - Mars 2012. Nutrition, un impact prouvé sur la survenue de cancers © Fotolia Des travaux ont mis en évidence, avec des degrés de certitude variables, le rôle de certains aliments ou comportements individuels (diversité de l’alimentation, activité physique) dans l’initiation ou le développement de certains cancers. Toutefois, aucun aliment ne peut à lui seul s’opposer au développement d’un cancer.

Pour réduire le risque de cancer, les organisations de santé française et internationale recommandent une alimentation équilibrée et diversifiée, un apport calorique adapté aux dépenses énergétiques et une activité physique régulière. (*)WCRF/AICR. Des relations convaincantes de cause à effet pour plusieurs facteurs nutritionnels Aliments ou comportements alimentaires à risque(*) Aliments ou comportements alimentaires bénéfiques(*) Recommandations internationales.

Les aliments qui augmentent ou réduisent le risque de cancers - Prévention. Date de dernière mise à jour : 06/06/2014 De nombreuses études ont mis en évidence l’influence des facteurs nutritionnels sur le risque de développer un cancer, même s’il reste des incertitudes et des débats sur le rôle exact de certains d’entre eux. Ainsi, une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, réduit votre risque de développer un cancer. L'alimentation fait partie des comportements sur lesquels on peut agir pour accroître la prévention des cancers. Elle agit à la fois comme un facteur de risque (aliments qui, consommés en excès, favorisent le développement d'un cancer) et de protection (nutriments ou aliments reconnus pour leur rôle protecteur contre certains cancers). N'hésitez pas à parler de vos habitudes alimentaires avec votre médecin. Des interrogations sur l'alimentation « bio », les pesticides, l'aspartame, les modes de cuisson... ?

Limiter les aliments « à risque » Favoriser les aliments « protecteurs » Enfants et alimentation. Plan du site - Obésité-Santé. Manger Bouger.