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Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces français adeptes de la consommation collaborative ? L’ADEME a publié, jeudi 25 avril, une enquête sur les Français et la consommation collaborative.

Bobos, aventuriers, écolos : qui sont ces français adeptes de la consommation collaborative ?

Objectif : mieux cerner les valeurs, les modes de vie, de consommation et les critères socio-démographiques des français qui adoptent ces nouveaux modes de consommation. Résultats : les motivations sont très diverses, ces consommateurs sont plutôt jeunes, actifs, et les critères socio-démographiques ne sont pas discriminants. Voyons cela de plus près. Des caractéristiques communes L’enquête a été effectuée à partir de l’échantillon de l’observatoire des modes de vie et consommation d’IPSOS : « Les 4500 ». La consommation collaborative from adesias. on Vimeo. Première observation, ces consommateurs partagent quatre caractéristiques communes : Seconde observation, ces consommateurs sont partagés entre la recherche de bons plans de consommation et des motivations collectives liées à des préoccupations collectives, écologiques, etc.

Six profils différents. The Sharing Economy. Au CO-tidien. Nous reproduisons sur cette page la typologie des services de partage et de consommation collaborative que nous avons élaborée dans le premier chapitre du livre.

Au CO-tidien

Nous la compléterons au fur et à mesure, car de nouveaux services apparaissent tous les jours ! Merci à la graphiste Nelly Mary pour les 4 pictogrammes illustrant notre typologie. La diffusion de cette liste est soumise au Creative Commons (libre reproduction, non commercialisation et citation de l’auteur). Une organisation ou un particulier partage l’usage d’un bien et se fait rémunérer pour cela. On peut partager… Co-élaboration Certaines logiques regroupées ici sont fort anciennes, comme les projets associatifs, coopératifs et mutualistes : c’est l’échelle de valeurs et le degré d’engagement formel qui permettent de différencier les approches. Le troc Je peux échanger : Co-habitation La logique de don est remise au goût du jour : don entre personnes mais aussi au sein d’une communauté d’appartenance. Nathan Stern : « La vraie valeur est dans l’expérience » C’est un genre catégorique qui permet de rendre compte d’un certain nombre d’initiatives qui ont des traits en communs, qui sont les bénéfices économiques, écologiques et sociaux.

La consommation collaborative n’est pas un objet, c’est une idée. Elle s’apparente à une économie du partage, à des plateformes de partage qui donnent des connexions à des gens qui vendent leurs compétences ou leurs biens, ou qui vont à l’étranger dormir chez des gens qu’ils ne connaissent pas par exemple. Pour moi on est clairement dans un mouvement qui a commencé avec Ebay, il y a une quinzaine d’années. Ebay s’en tenait aux objets de la vente, donc ici on est pas vraiment dans le cadre de la consommation collaborative mais les objets ont quand même une deuxième, voire une troisième vie. C’est une forme primitive de consommation collaborative puisqu’on partage le bien que l’on a acheté avec des gens quelque part sur la planète.

La révolution est sur le collaboratif, sur le partage Crédits photos : Creative community for the Collaborative Economy. Donner plutôt que vendre : tel est le crédo du mouvement Incredible Edible (Les incroyables comestibles en français).

Creative community for the Collaborative Economy

Né en 2008 en Angleterre, cette organisation développe des potagers en libre-service qui font des émules partout dans le monde, la France y compris. Comment ça marche ? Quel est l’impact pour l’économie locale, les maraîchers locaux, et les marchands de légumes? Voici les explications de François Rouillay, coordinateur et animateur du mouvement en France. Article originalement publié sur le site de Incredible Edible. En fait, la réponse est simple. Food to share. Avec ce nouveau regard et cette nouvelle façon d’agir individuellement et collectivement, il y a un changement complet du cadre initial qui offre de nouvelles perspectives inédites. Du coup, chacun agit différemment dans son quotidien par la conscience qu’on est co-responsable et donc co-créateur du tout, c’est à dire de l’ensemble du système, de l’ensemble de la communauté locale. Le cas de l’apiculteur local.

Le blog de la Consommation Collaborative. La consommation collaborative. Comment l’économie du partage crée du lien social. Alors que les échanges marchands créent de plus en plus d'exclusion sociale et de défiance, l'économie du partage, par le don, transforme les relations grâce à la reconnaissance et l'inter-dépendance.

Comment l’économie du partage crée du lien social

Le XXème siècle aura été incontestablement celui de l’échange marchand. Jamais l’humanité n’avait autant commercé, exporté, importé. Jamais les transactions n’avaient été aussi simples et rapides. Le volume du commerce mondial a triplé depuis la chute du mur de Berlin et a connu une croissance presque exponentielle [en] jusqu’à la crise économique de 2008.

Bizarrement, alors que les hommes entraient toujours plus en interaction et devenaient toujours plus dépendants les uns des autres, ce XXème siècle aura connu un immense délitement des structures sociales traditionnelles sans création d’autres structures alternatives efficaces. Quand l’échange marchand abolit la relation Frédéric Laupiès, Leçon philosophique sur l’échange Don et contre-don Vers de nouvelles civilisations ? Photos flickr.