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Oral TPE antho 2. Intro tpe oral. Diapo oral tpe Greg. Diapo oral tpe gran II. Oral tpe. Diapo oral tpe. Dede4. Donald Trump s’attaque au bilan environnement de Barack Obama. La nouvelle administration a déjà supprimé des réglementations adoptées par les démocrates, mais le sort de l’accord de Paris n’est pas encore tranché. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (Washington, correspondant) L’assaut n’en est qu’à ses débuts, mais il promet d’être systématique.

La nomination à la direction de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) du climatosceptique Scott Pruitt, ancien procureur général de l’Oklahoma proche du lobby pétrolier, et réputé pour ses attaques passées contre la structure qu’il dirige désormais, avait donné une idée des projets de la nouvelle administration américaine en matière d’écologie. Ils commencent à se traduire dans les faits. Le peu de considération pour l’agence devrait se traduire par des coupes claires dans ses moyens. Lire aussi : Le « Monsieur écologie » de Donald Trump est un climatosceptique Divisions Lire aussi : « Trump menace l’édifice international construit par les Etats-Unis depuis 1945 » Avec M. La fin du « soft power »américain et le retour du « hard power »? – Forum Diplomatique Stratégique. Alors que la campagne américaine pour l’élection des primaires bat son plein, deux candidats semblent tirer leur épingle du jeu: côté démocrate, Hillary Clinton est annoncée favorite pour l’investiture, côté républicain, Donald Trump prend le large dans les sondages et semble être en pôle position pour remporter l’investiture républicaine.

Néanmoins, ce dernier concentre de nombreuses critiques au sein même de sa famille politique de par ses déclarations incendiaires et le danger qu’il représente en cas d’accession à la présidence des Etats-Unis. A cet égard, une lettre ouverte, co-signée par des conseillers républicains à la sécurité nationale pointent du doigt la vision du monde de Donald Trump et appellent à ne pas soutenir le candidat de leur propre camp à l’investiture pour la présidentielle américaine. . « Sa vision de l’influence et de la puissance américaine dans le monde est follement incohérente et ne correspond pas à la réalité.

Il est fondamentalement malhonnête. WordPress:

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Donald Trump présente son premier budget « America first » Dans son projet de budget présenté jeudi, le président américain prévoit d’augmenter de 19 milliards de dollars les dépenses de défense, au détriment du département d’Etat et de l’Agence de protection de l’environnement. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (Washington, correspondant) Un projet de budget est avant tout une question d’affichage. Celui de l’Etat fédéral américain n’échappe pas à la règle puisque la majorité des dépenses (73 %) est consacrée à des secteurs incompressibles (la santé et la dette), auxquelles s’ajoutaient encore, en 2016, environ 15 % pour la défense.

C’est encore plus le cas à Washington parce qu’il est très peu probable, compte tenu de l’accueil qu’il a reçu jeudi 16 mars, que ce projet ressortira en l’état de son examen par le Congrès, souverain en la matière. « Hard power » Interrogé sur le fait que certaines coupes dans les programmes d’aide internationale affecteront « les personnes parmi les plus vulnérables au monde », M.

Plan oral tpe. Donald Trump, président des États-Unis : à quoi faut-il nous attendre ? FIGAROVOX/TRIBUNE - Alors que Donald Trump vient dêtre élu 45ème président des Etats-Unis, le journaliste américain Jonathan Mann nous livre son analyse. Jonathan Mann est journaliste et présentateur de Political Mann sur CNN International. Political Mann est diffusé sur CNN International, tous les samedis à 20h. Retrouvez une couverture complète des élections américaines sur CNN International et CNN.com. A quoi doit s'attendre avec le monde avec Donald Trump élu président des Etats-Unis? Le candidat le plus inattendu de l'Amérique va passer au rang de Commandant en chef le plus inattendu de l'Amérique. «Nous allons cesser d'être les imbéciles», annonçait-il aux électeurs fin février. «Je ne pense pas qu'il déborde de savoir concernant ces questions,» commente l'ancien diplomate américain Christopher Hill. » EN DIRECT - Suivez notre live de l'élection présidentielle américaine en temps réel «Le Mur» » À lire aussi: Trump et Clinton, grands vainqueurs du Super Tuesday L'Etat islamique Israël.

L'élection de Donald Trump : le « hard » au détriment du « soft » En 1990, Joseph S. Nye a théorisé à raison que la puissance d’une nation ne dépend pas uniquement de sa force armée ou de l’état de son économie – qui n’en demeurent pas moins deux éléments cruciaux du « hard power » – mais également de sa capacité à influencer le monde au travers de la culture et de ses valeurs politiques, au sein de ses frontières comme à l’international – et il s’agit là du « soft power ». A partir du moment où l’on sait que pour atteindre ses objectifs, un gouvernement peut soit utiliser la coercition (le bâton), soit ses investissements (la carotte), soit justement son attractivité (le « soft power »), il est aisé de comprendre l’intérêt de ce dernier.

En effet, si une nation est capable de se montrer suffisamment attractive, elle peut faire l’économie de l’emploi du bâton et de la carotte. Un « hard power » en plein forme … Certes, le « hard power » se porte très bien, et avant même d’avoir prêté serment, M. . … mais un « soft power » à la traîne. « L’industrie américaine a perdu son hégémonie » - La Croix. Depuis la victoire de Donald Trump, plusieurs entreprises, dont l’opérateur de téléphonie Sprint, ont annoncé vouloir relocaliser leurs activités aux États-Unis. Entretien avec Thibaut Bidet-Mayer, économiste, coordinateur de l’ouvrage « L’industrie américaine : simple rebond ou renaissance ? » (1) La Croix : Depuis la victoire de Donald Trump, plusieurs entreprises ont annoncé vouloir relocaliser leurs activités aux États-Unis. Que faut-il en penser ? Thibaut Bidet-Mayer : Sur le sujet des relocalisations américaines, il faut se méfier des effets d’annonces basées sur des promesses, surtout lorsque la politique s’en mêle.

À lire : Y aurait-il un « effet Trump » sur l’emploi aux Etats-Unis ? On a tendance à l’oublier, mais Barack Obama avait lui aussi axé sa campagne de 2012 sur la réindustrialisation du pays, ce qui lui avait d’ailleurs permis de gagner les neuf « swing states » – ces États qui décident de l’élection – dont cinq parmi les plus industrialisés, et de finalement l’emporter. L’élection de Donald Trump va être un séisme pour le monde. Le candidat républicain a fondé sa campagne sur la promesse de « rendre sa grandeur à l’Amérique ». Quelles conséquences pour le reste du monde ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Sylvie Kauffmann Si le vote pour le Brexit, le 23 juin, a été un séisme pour l’Union européenne, l’élection de Donald Trump à la tête des Etats-Unis, première puissance militaire, est un séisme pour le monde. Lire notre direct sur la victoire de Donald Trump Le candidat républicain a fondé sa campagne sur la promesse de « rendre sa grandeur à l’Amérique ». Cette grandeur, cependant, ne s’entend pas par la projection de la puissance américaine à l’extérieur, mais plutôt sur une priorité donnée au retour du bien-être et de la prospérité des Américains chez eux.

Le pays « est en ruines », dit M. Placer « les intérêts américains en premier » Donald Trump est critique de l’interventionnisme américain à l’étranger et du cycle d’opérations militaires lancé par l’administration George W. Berlin répond à Trump et affirme ne pas avoir de « dette » à l’égard de l’OTAN. La passe d’armes se poursuit entre les dirigeants américain et allemand après leur première rencontre, vendredi. La ministre allemande de la défense, Ursula von der Leyen, a rejeté, dimanche 19 mars, l’accusation de Donald Trump selon laquelle l’Allemagne devrait d’importantes sommes d’argent à l’OTAN et aux Etats-Unis du fait de dépenses militaires insuffisantes. Le président américain, Donald Trump, s’était livré à une diatribe contre l’Allemagne samedi, affirmant que Berlin devait payer plus pour profiter du parapluie protecteur de l’OTAN et de Washington. L’Allemagne « doit d’énormes sommes d’argent » à l’OTAN et aux Etats-Unis qui lui « fournissent une défense très puissante et très coûteuse », avait tweeté le chef de l’Etat moins de vingt-quatre heures après sa première rencontre avec la chancelière allemande, Angela Merkel, à la Maison Blanche.

Lire aussi : Entre Berlin et Washington, deux visions du monde qui s’affrontent Pas de « dettes au sein de l’OTAN » Passe d’armes. Tpe magazine 1.