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Egalité Filles Garçons

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Sheryl Sandberg, la femme aux 2 milliards d'amis. Réponse à la loi anti-IVG de Trump : il est désormais interdit d'éjaculer hors procréation aux USA — Potinfaux. La mesure anti-avortement vient d’être signée par le nouveau Président des États-Unis Donald Trump ce 23 janvier, rétablissant le décret Global Gag Rule. Cette loi bloque les financements américains pour toute ONG soutenant l’avortement (IVG). Alors que le monde entier contemple la photo de la signature affichant 7 hommes autour de Trump*, nombreuses sont les personnes à s’interroger sur la légitimité de leur action : comment un homme peut-il oser restreindre et interdire l’accès aux droits reproductifs sans être physiquement concerné puisqu’il est homme justement ? Pourquoi et comment des hommes peuvent décider de l’avenir d’un enfant porté par une femme ? A cette mesure, Hillary Clinton a répondu en promulguant une nouvelle loi touchant directement les bourses de ces messieurs : il est désormais interdit aux USA d’éjaculer sans procréation.

En bref, finies les branlettes et les éjacs faciales pour les américains. Hors procréation, point d’éjaculation. Vous avez aimé ? HeForShe : une campagne déclinée au masculin féministe. En 1908 paraissait un opuscule délicieusement drôle, auquel les éditions Autrement ont eu l'excellente idée de donner une nouvelle vie. Dans son Catéchisme féministe, rebaptisé Petit bréviaire du parfait féministe pour faire plus XXIème siècle, le journaliste anticonformiste Jean Joseph-Renaud entendait tordre le cou à tous les clichés assénés aux féministes.

Non, une féministe n’est pas laide, et non, le féminisme ne masculinise pas les femmes… L’écrivain français libre penseur n'était pas le premier mâle à s'engager résolument aux côtés des pionnières de la libération des femmes. Cinquante ans plus tôt, à Saint-Pétersbourg, alors capitale de l’Empire russe, un philosophe emprisonné à la forteresse Pierre-et-Paul parvenait à faire sortir le manuscrit de Que faire ? (Chto Dielat ?) , un roman qui allait devenir le vade-mecum d’une génération de révolutionnaires, à commencer par Lénine. Ces féministes qui s'ignorent Vers le million de signatures Trois questions à Yoram Perez Malgré elles... Pourquoi devenir entrepreneure ? Les motivations pour entreprendre dépendent de chaque individu. Plusieurs réponses possibles : pour gagner plus d’argentpour être plus libre, plus indépendantpour me réaliser professionnellementpour me bâtir un patrimoineparce que je n’ai pas d’autre choix que de créer ma propre activité Une introspection personnelle est nécessaire pour bien déterminer vos motivations pour entreprendre.Parlez à votre famille, à vos amis, à d'autres entrepreneurs.

Allez dans les salons, sur internet et étudiez bien ce film de témoignages, tout y est dit. Avec les témoignages de Françoise Savès, Anne-Cécile Fournet-Fayard, Nedjma Boutlélis,Agnès LoJacomo, Martine de Richeville, Isabelle Marchand, Carole Jacquin, Isabelle Rimbaud,Elisabeth Guillaumond, Dominique Tillé, Martine Claret, Murielle Guiraud. Pas assez de femmes sur Wikipedia, mais ça va changer ! L’encyclopédie Wikipédia serait-elle sexiste ? Oui, selon Claudia Wagner, une chercheuse allemande qui avait planché sur le sujet en 2015. Après avoir analysé des milliers d’articles, elle constatait que le traitement accordé aux femmes et aux hommes n’étaient pas exactement le même.

Pointé du doigt notamment, le vocabulaire utilisé pour décrire les uns et les autres. Trop souvent, des adjectifs dits « féminins » ou renvoyant à la maternité des femmes étaient utilisés pour les décrire. Comment expliquer ce parti pris sur Wikipédia ? En tout cas, la bonne nouvelle c’est que ça va changer ! *selon une étude publiée en 2012 à retrouver ici. Extrait 10mots chronologie Droits Femmes. Mesdames & Messieurs.

« Mesdames & Messieurs », un webdocumentaire pédagogique propose un voyage dans la vie des femmes sur quatre générations. Pour les enfants du numérique, née dans les années 90, l’égalité homme-femme est un acquis. Que connaissent les jeunes de vingt ans de cette conquête pourtant récente ? Conçoivent-ils que dans de nombreux domaines, il y a encore beaucoup à faire ? Voir la bande-annonce Cinq thématiques composent « Mesdames & Messieurs » pour permettre à l’internaute de naviguer dans des fresques chronologiques d’hier à aujourd’hui ou de passer de l’une à l’autre, au hasard de sa curiosité : la vie publique, La vie familiale , La vie professionnelle, La vie à l’école et La vie intime.

Des intervenants et experts décryptent et conceptualisent les situations (historiens, sociologues, psychiatres..). Représentations sexuées dans l'audiovisuel. Mort de l’astronome Vera Rubin, mère de la matière noire. Cette théorie avait déjà été présentée par l’astrophysicien suisse Fritz Zwicky en 1933, mais c’est la chercheuse américaine qui en a confirmé l’existence. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nathaniel Herzberg Elle avait coutume de dire que les prix lui importaient peu. Manière élégante d’éviter toute polémique avec le plus célèbre d’entre eux, le Nobel, qu’on lui promettait depuis bien longtemps.

Vera Rubin, qui avait mis en évidence l’existence de la matière noire, cette masse invisible de l’univers, ne décrochera pas la prestigieuse récompense. L’astronome américaine est morte dimanche 25 décembre à l’âge de 88 ans. Lire aussi : Matière noire, la chasse au fantôme cosmique Cette décision, elle devra se battre pour l’imposer. Forcer les portes ou trouver d’autres entrées Du reste, toute sa vie durant, Vera Rubin devra forcer des portes, ou trouver d’autres entrées. Après quelques années à l’université de Georgetown, elle intègre, en 1965, le Carnegie Institution for Science de Washington. L'astrophysicienne Vera Rubin, chercheuse sur la masse invisible... et pionnière invisibilisée. Valider l’existence de la matière noire dans l’univers et vivre dans l’ombre des hommes sur terre : Vera Rubin, décédée le 25 décembre à l’âge de 88 ans dans le New Jersey, aura eu un destin de femme scientifique hélas classique.

Haut placée chaque année sur la liste des nobélisables par les bookmakers mais jamais récompensée, l’astrophysicienne américaine faisait partie de ces pionnières dont la notoriété est inversement proportionnelle à l’influence des travaux dans le domaine de la connaissance. Sa disparition a été annoncée par son fils et l’institut Carnegie, où elle réalisa la plus grande partie de ses recherches.

Dans les années 60 et 70, Rubin observe les courbes de rotation des galaxies spirales grâce au spectromètre mis au point par Kent Ford. Elle démontre que la vitesse de rotation des étoiles à la périphérie de la galaxie est aussi rapide que celles du centre - ce qui ne colle pas avec les lois de Newton. «Matière noire» «La moitié des neurones appartiennent aux femmes» Sexisme, stéréotype, rôles sexuels : quelques concepts.

Maitriser quelques concepts est indispensable avant de travailler avec les jeunes sur l'égalité des sexes. Voici quelques définitions simples. Le sexisme Ce terme, né dans les années 60, a été crée par les féministes, en se calquant sur celui de racisme. Le sexisme se définit comme une attitude discriminatoire envers une personne en raison de son sexe (souvent féminin). Il dénonce les représentations et normes véhiculées par la société qui servent à justifier ces discriminations et à légitimer la domination des hommes sur les femmes. Les stéréotypes de genre Les stéréotypes sont des représentations simplifiées, déformées, rigides, anonymes, de certaines caractéristiques attribuées à un individu ou à un groupe.

Les stéréotypes de genre sont des caractéristiques arbitraires (fondées sur des idées préconçues) que l'on attribue à un groupe de personnes en fonction de leur sexe. Ces stéréotypes ont un impact sur les rôles attribués aux hommes et aux femmes dans la société. Les rôles sexuels. Les inégalités de salaires entre les femmes et les hommes : état des lieux. 27 mai 2016 - Tous temps de travail confondus, les hommes gagnent 23 % de plus que les femmes. Près de 11 % des écarts de salaires entre les deux sexes sont inexpliqués et relèvent d’une discrimination « pure ». Le salaire mensuel net moyen des hommes, pour un poste à temps plein, est de 2 410 euros en 2014, celui des femmes de 1 962 euros, soit un écart de 448 euros, presque un demi-smic. Les hommes perçoivent donc, en moyenne et en équivalent temps plein [1], un salaire supérieur de 22,8 % à celui des femmes (voir plus bas notre encadré méthodologique sur la façon de mesurer l’écart).

Ou, ce qui revient au même, les femmes touchent en moyenne 81,4 % du salaire des hommes (1 962 divisé par 2 410), ou ont un salaire inférieur de 18,6 %. Plus on progresse dans l’échelle des salaires, plus l’écart entre les femmes et les hommes est important. Salaires en équivalent temps plein. Les écarts dépendent aussi de la catégorie sociale Salaires en équivalent temps plein. Le féminisme ne fait pas l'unanimité chez les jeunes Français. La lutte pour l’égalité hommes-femmes ne fait pas l’unanimité notamment auprès des moins de 35 ans. Pourtant, elle reste d’actualité. Mais pour revenir dans un cercle vertueux, il faut réinventer son approche. OpinionWay pour TEDxChampsElysées women décrypte le ressenti des Français à propos du féminisme et de ses mouvements. Alors que l’ONU suscite un vif émoi -auprès de ses employés et de mouvements féministes- en désignant, avec le concours rémunéré de Time Warner, la super héroïne, Wonder Woman, sur une année, comme ambassadrice honoraire pour incarner sa campagne en faveur de l’égalité des sexes et de l’émancipation, Opinion Way pour TEDxChampsElysées Women s’interroge sur les nouveaux équilibres du féminisme en France (*).

Quant aux résultats du sondage OpinionWay pour TEDx ChampsÉlyséesWomen, ils sont en effet édifiants, révélateurs parfois de paradoxes laissant penser qu’il faut certainement revoir la copie pour que le féminisme entre dans un cercle encore plus vertueux. Primaire de gauche : le PS fera sans parité. Samedi, la presse est invitée à la maison de la Mutualité, à Paris : Thomas Clay, le président de la Haute Autorité des primaires citoyennes - organisées par le PS -, annoncera les candidats officiels. Ils sont neuf à postuler : Jean-Luc Bennahmias (Front démocrate), Gérard Filoche (PS), Benoît Hamon (PS), Arnaud Montebourg (PS), Vincent Peillon (PS), Sylvia Pinel (PRG), François de Rugy (Parti écologiste, lire page 15), Manuel Valls (PS) et Fabien Verdier (PS). Ça risque d’être (très) tendu pour Filoche et Verdier. Ils n’ont pas le nombre de parrainages suffisant : 5 % des membres du Conseil national du PS, 5 % des parlementaires socialistes, 5 % des conseillers régionaux et départementaux socialistes ou 5 % des maires socialistes de villes de plus de 10 000 habitants.

Du coup, la primaire devrait se jouer à sept têtes. Au programme, trois débats télés et deux tours : 22 et 29 janvier. Une chose est certaine : Sylvia Pinel sera la seule femme derrière le pupitre. Recul. «Casse-pipe». Quand les femmes deviennent indésirables dans les lieux publics. Ces terrasses de café et ces rues qui ont un point commun : les femmes semblent effacées. Dans certains quartiers populaires, les hommes occupent les lieux publics et les femmes subissent. France 2 a suivi deux militantes de La Brigade des mères dans une banlieue de la région parisienne. Nadia Remadna et Aziza Sayah se battent pour la liberté des femmes dans ces quartiers. Pour démontrer la réaction des hommes, elles les filment en caméra cachée. Dans ce bar, il n'y a que des hommes peu accueillants. Le patron n'a pas envie de discuter et d'autres hommes sont choqués de voir ces femmes.

"Il fallait briser cette loi du silence", explique à franceinfo Caroline Sinz, journaliste à France 2 et auteure de cette enquête. Le JT JT de 20h du mercredi 7 décembre 2016 L'intégrale Les autres sujets du JT. (20+) Six jeunes femmes racontent le sexisme ordinaire. Sophia, 23 ans, Marseille «Les voir avec leurs poussettes en bas de chez moi me rend malade» «Comme souvent le week-end, je vais rendre visite à mes parents qui habitent ce que l’on appelle une "cité sensible", dans le sud de Marseille. J’ai grandi là. Seulement, dès que j’ai pu être assez autonome pour la quitter, j’ai pris mes jambes à mon cou et je suis partie à quelques kilomètres de là, dans le centre-ville. «Ce qui me chagrine, c’est qu’une grande partie de ces filles avec qui j’ai grandi, avec qui j’ai joué, sont aujourd’hui enceintes, voire déjà mères. «J’ai une profonde empathie pour elles mais les voir en groupe avec leurs poussettes dans les escaliers en bas de chez moi me rend malade.

«J’espérais que nous fassions notre chemin de vie plus ou moins en parallèle, comme le font tous les autres amis d’enfance qui fêtent leurs diplômes, leurs crémaillères et se présentent petit à petit leurs conjoints. Carole, 22 ans, étudiante, Poitiers «Je ne suis pas ton jouet» Zep et «Libé» Ahmed Madani : «Ce sont elles les expertes de leur jeunesse, de leur féminité» Dix femmes sur scène. Après Illuminations, en 2013, un spectacle avec des hommes, vigiles originaires de banlieue, Ahmed Madani poursuit une aventure artistique intitulée «Face à leur destin» avec des jeunes habitants des quartiers populaires. Les F(l)ammes ont toutes grandi dans des quartiers sensibles. Il y a Ludivine, de Boulogne-Billancourt («Les immeubles, le béton, le goudron,/ Ne peuvent rien contre la forêt qui est en nous»), Anissa A., 28 ans, voilée, cinq enfants, qu’on obligeait à jouer le cheval à l’école primaire de riches, la Guadeloupéenne Laurène («Les Antillais doivent toujours prouver qu’ils sont Français/ Alors qu’ils sont Français depuis bien plus longtemps»)… Tour à tour défilent des tranches de vies de jeunes femmes en quête d’identité et de reconnaissance.

De petites scènes cassent le risque de litanie. Les œuvres sur le grand écran du fond du vidéaste plasticien Nicolas Clauss infusent une respiration poétique. Tout n’est pas millimétré. Frédérique Roussel. En première, montrer aux filles qu'elles peuvent devenir astrophysicienne ou chimiste. Ils sont enseignants et débordent d’idées et d’envie. Dans leur classe, ils tentent de nouvelles manières d’enseigner, en inventent ou réinventent. Parfois ça foire, parfois ça marche. Aucune solution ne résoudra d’un coup de baguette les maux de l’école, ils le savent. Mais ils essaient. Résolution de rentrée à Libération : mettre en avant une initiative concrète au sein de l’Education nationale. Septième épisode : Véronique Gomez, professeure agrégée de sciences de la vie et de la terre (SVT) à Strasbourg, qui fait travailler ses élèves sur les femmes scientifiques, trop souvent oubliées des manuels.

Un projet qui a obtenu le label «Sexisme, pas notre genre» du ministère des Droits des femmes. A (re) lire le sixième épisode : «Ce petit robot, ce n’est qu’un outil, un prétexte pour apprendre des tas de choses» L’établissement. L’idée. J’en ai parlé à une de mes collègues, très sensibilisée à la lutte contre le sexisme. Le résultat. Juliette Deborde. Charlotte Marchandise, de la campagne virtuelle à une candidature réelle? Mes parents me disaient que je pouvais réaliser ce que je voulais, je suis devenue la première femme PDG chez Nissan. Le «manterrupting» démontré sous vos oreilles ébahies. Tous féministes… ou presque. Pourquoi les filles manquent dans les sciences. Inégalités de salaires : la triple pénalité des femmes.