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Féminine. La pilule pour hommes fait polémique. La pilule pour hommes laisse sceptique (DR) Un groupe de chercheurs américains travaille sur ce projet depuis des années.

La pilule pour hommes fait polémique

Leur étude publiée en août dans la revue scientifique Cell confirme que la pilule masculine fonctionnerait pour les hommes. La molécule JQ1 diminue la production et la mobilité des spermatozoïdes, de façon réversible et ce, sans porter atteinte aux hormones mâles. Scientifiquement cette pilule masculine est prête, pourtant sa mise sur le marché n’est pas encore prévue. « Les hommes vont se sentir castrés, dans leur esprit ils ne seraient plus du tout virils » pense Josie, infirmière à Cannes. Le problème serait plus psychologique et sociologique. Les hommes sont mis de coté Les femmes se sentent plus concernées par la contraception car ce sont elles qui tombent enceintes. La pilule fait déjà parler d’elle Les pilules sont remises en questions ( DR) Si cette pilule venait à être commercialisée, rien ne dit qu’elle ne présenterait pas de sévères dangers. Lucie Marmey. Androswitch, contraception masculine. Loin d’être des pionniers, les hommes utilisant la contraception dite “masculine” s’appuient sur une pratique vieille de 40 ans.

Androswitch, contraception masculine

Aujourd’hui, ils ne sont pas forcément militants et ont tous la même préoccupation : prendre en charge leur contraception, plutôt que de la déléguer à leur partenaire. Encore trop peu accessible et donc trop peu représentée, la contraception masculine répond pourtant à une demande grandissante. Quand une femme rencontre des difficultés avec les méthodes de contraception classiques, beaucoup de couples hétérosexuels se retrouvent dans une impasse contraceptive. “Si on ne veut plus avoir recours à la pilule ou au stérilet, il ne reste plus beaucoup de solutions : soit préservatif, soit abstinence… ou sinon, contraception masculine”, explique Karine, 42 ans, dont le compagnon est sous contraceptif. Partager les responsabilités En France, la méthode thermique a le vent en poupe. Des ateliers de couture et d’essayage de slips “Les hommes ont peur”

Contraception naturelle. Après avoir été le symbole de la libération des femmes, la pilule exerce aujourd’hui un effet repoussoir.

Contraception naturelle

Elle est désormais perçue par beaucoup comme trop contraignante et trop risquée, surtout depuis le scandale des pilules de 3e génération. Du coup, au lieu d’opter pour le stérilet ou l’implant contraceptif, une part croissante de la gente féminine s’en remet aux méthodes naturelles pour éviter une grossesse non désirée : 9,5% des Françaises selon une enquête de l’Institut National d’Études démographiques (Ined), contre 5,5% à l’orée des années 2000 ! Et leur nombre continue sûrement de grimper si l’on en croit la multitude de témoignages postés sur les forums internet et les réseaux sociaux. L’inquiétude des gynécologues. Etude de prévalence. Le GAMS a réalisé une étude sur la prévalence des Mutilations Génitales Féminines (MGF) en Belgique : « Estimation de la prévalence des filles et femmes excisées ayant subi ou à risque de subir une mutilation génitale féminine vivant en Belgique, 2018 » à la demande de l’Institut pour l’Egalité des Femmes et des Hommes et SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement.

Etude de prévalence

Cette étude a été réalisée en collaboration avec l’ONE, Kind & Gezin, Fedasil, Médecins du Monde, GAMS Belgique. Au 31 décembre 2016, 70 576 filles et femmes originaires d’un pays où se pratique les mutilations génitales féminines résidaient en Belgique. Parmi elles, 25 917 sont concernées par les mutilations génitales féminines (soit déjà excisées, soit à risque) dont 9 164 mineures (moins de 18 ans). Télécharger l’étude de prévalence en français – version longue ici. Télécharger l’étude de prévalence en néerlandais – version longue ici. La peau est capable de "penser" avant le cerveau. La peau possède une batterie de récepteurs sensoriels qui répondent à différents stimuli comme le toucher, le contact, les variations de température ou la douleur.

La peau est capable de "penser" avant le cerveau

La densité de ces récepteurs varie beaucoup d'un territoire à l'autre. Le visage et les extrémités sont très richement innervés.... Par exemple, il y a 2.500 récepteurs par centimètre carré rien qu'au niveau de la pulpe des doigts ! Une sorte d'"intelligence" au bout des doigts Les scientifiques pensaient que ces neurones sensoriels n'étaient pas capables d'extraire des données sur la géométrie des objets, et que seuls ceux du cerveau le pouvait : les récepteurs dits "périphériques" (car non situés dans le cerveau) se contenteraient donc de transférer une information peu précise au cerveau. Syndrome MRKH. 12 nov.

Syndrome MRKH

Qu’est-ce que c’est ? Une femme née avec le syndrome Mayer-Rokitansky-Küster-Hauser souffre d’une absence partielle ou totale du vagin ainsi que de l’utérus. Cette maladie rare provient d’un développement insuffisant de l’embryon et de la fusion des canaux de Müller entre les 4 à 12 semaines de grossesse. Toutefois, cette « malformation » n’empêche pas le bon développement des caractéristiques sexuelles propres à la femme telles que la production d’hormones à la puberté, une ovulation mensuelle et une croissance jusqu’à l’âge adulte.